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Commentaire de Mervis Nocteau-Seysan

sur Les Passions du Dieu exclusif, spiritualité du Grand Dépit


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Mervis Nocteau-Seysan Mervis Nocteau-Seysan 21 janvier 13:32

@SilentArrow. Reprenons.

> À la limite, leurs allégories en art classique sont pas mal.
Et dans les bandes dessinées. Par Toutatis, par Belenos.

Vous n’avez pas compris ce que je disais. Vous voulez des gais lurons : je vous dis que ce n’en sont pas — les Dieux & Déesses — encore qu’un Liber Pater, en est certainement plus un — de gai luron — qu’un Odin. Au reste, sur Astérix, j’ai ça. Vous ne voulez qu’en faire à votre tête : le gai luron, ici, c’est vous !... Ce n’est pas mal, mais ce n’est pas le truc.

C’est parce que les dieux de l’antiquité étaient déjà morts que le culte de Mitra puis le monothéisme a pris racine dans l’empire romain.

Hem. Euh. Comment vous dire. Mithra est un Dieu de... nan mais laissez tomber. (Ce faisant, je fais mon Arthur d’Astier.)

Ce qui vient après le monothéisme, ce n’est pas un retour au polythéisme, mais une entrée dans le zéro-théisme.

Mouais, un zéro j’en vois ailleurs (Arthur d’Astier, si tu nous lis...). Vous évoquez, pour remonter aux principes et nommer les choses convenablement, au nihilisme d’Anarcharsis Cloots. La sociologie religieuse planétaire, lui (et vous) donne(nt) tort.
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