2/2. Nous
voilà au point d’arrivée et du sauve-qui-peut généré par le suivisme des
classes dirigeantes européennes mises un peu brutalement devant l’impasse où elles nous ont conduits.
Leur nouveau champion pour qui elles ont
pavé la route par leurs inconséquences et soumissions et qui leur
propose d’instrumentaliser les effets et désordres produits par leurs propres politiques communes en en faisant des causes et en opposant une
partie des victimes à l’autre partie. Une martingale de casino. Une de plus. Avec un prix à payer. Moi d’abord. Seule
solution dit-il quand on veut continuer de faire tourner une économie au service de la
concentration des richesses, du gaspillage des ressources, de la perversion de
l’usage de la science et des technologies et de l’escalade militaire nécessairement.
Le tout ayant abouti à la
concentration du pouvoir médiatique et politique dont l’avenir de plus en plus
proche sera ici, si nous n’y portons pas remède, celui de nos oligarques
nationaux pressés d’imiter des Musk et Zukenberg . Communiant dans la
grande fraternité des « élus » avec la petite clientèle des utiles, si révélatrice, présente à l’investiture d’un Trump qui a tous les défauts d’un Biden
plus les siens. Eric et Marion mais aussi Louis Aliot, le gentil maire de
Perpignan, bras droit de MLP et aussi, tiens donc, le plus riche de nos
milliardaires, Bernard Arnault en personne et un de ses fils, propriétaire du numéro un mondial du luxe LVMH
(Dior, Louis Vuitton, Sephora, Kenzo, Fenty etc...) ainsi que d’un certain
nombre de titres de presse parmi lesquels le groupe Les Echos-Le Parisien, dont un directeur Dominique Seux nous
explique l’économie 5 jours sur 7 ( #
nous ne travaillons pas assez en étant trop payés avec des qui fraudent et d’autres
qui font rien ) à France Inter depuis des dizaines d’années .Bernard, l’héritier
et ses fondations, l’homme qui a soutenu
Macron en 2017 et 2022.
Tout ce
petit monde espère que le bal des dupes va continuer à leur avantage grâce aux jokers qu’ils
rhabillent au gré des circonstances avec
l’aide de la puissance des médias, instituts d’opinion, réseaux sociaux qu’ils
contrôlent. Elle est pas belle la vie ? À nous de voir si cela suffit à
nous contrôler , nous diviser et nous abuser encore longtemps en nous
dissuadant de vouloir mettre en place une démocratie de citoyens correctement
informés, respectés et avec les moyens de l’être. Se réclamant d’un partage
équitable des richesses produites de façon responsable.