Apocalypse Woke, Destinée Manifeste et Golden Age revisités : le retour de D. Trump
Ces expériences ont contribué à me convaincre que la civilisation européenne dépendait du maintien de frontières nationales et que l'UE - qui est un complot pour dissoudre ces frontières - était devenue une menace pour la démocratie européenne. Par la supervision des cours européennes et la forme de sa législation, l'UE a créé une classe politique qui n'est plus comptable auprès des citoyens. La Commission européenne elle-même adopte des lois qui ne peuvent être outrepassées par les parlements nationaux, à la suite d'une discussion à huis clos entre des bureaucrates qui jamais ne sont appelés à répondre de leurs décisions.
Roger Scruton, De l'urgence d'être conservateur : Pourquoi il faut accepter notre histoire i
Paris, Ed. Toucan, l'Artilleur (2016)
On écoutera ci-après, avec sa traduction, la déclaration d'investiture prononcée par D. Trump ce 20 janvier 2025 :
Le célèbre tableau de John Gast intitulé American Progress (1872), allégorie de la « Destinée manifeste ii » représentée par Columbia – la personnification féminine des États-Unis au XIXe siècle – portant l'Etoile de l'Empire au front et guidant les valeureux colons américains vers les ténèbres sauvages de l’Ouest pour y apporter la Lumière (et en profitant au passage, tenant un livre dans la main droite, pour tirer de la main gauche le fil du télégraphe), est de nouveau à l'ordre du jour depuis ce 20 janvier 2025.
« Marquées par une surenchère performative qui tient autant du grand show trumpien que d’une mise au pas musclée de l’appareil d’Etat, les premières heures suivant l’investiture du 47è président des Etats-Unis furent dévouées – entre les halls du Congrès jusqu’au Bureau ovale, en passant par une parade devant ses milliers de fanatiques massés dans l’arène Capital One – à décliner méthodiquement un programme de liquidation systématique de l’héritage Biden et de reprise en main des doctrines de l’exécutif américain.Une table rase symboliquement amorcée par la révocation de 78 directives de son prédécesseur », écrit le quotidien Libérationiii avec un dépit certain qui traduit la rancoeur comme l'abattement face à l'évidence d'une situation nouvelle radicalement opposée à la doxa jusqu'alors triomphante comme à la mentalité qui ruinent la France et l'Europe depuis quatre décennies.Le fait est que le retour fracassant et réussi de D. Trump après avoir surmonté de réels obstacles jusqu'à une tentative d'assassinat ratée - mais dont la réussite aurait à n'en pas douter donné satisfaction à beaucoup de gens-, vient désormais balayer tout un monde qui se révèle en creux aux Etats-Unis mais surtout en Europe et en France, suscitant avec raison de réelles craintes de voir disparaître et s'effondrer dans sa mentalité, ses structures, son fonctionnement, ses pseudo-valeurs, une Europe et une France rendues malades, affaiblies et minées par les orientations politiques et comportements de dirigeants ineptes, usés et incapables. Et voilà que dans son éditorial publié dans le même quotidien, Thomas Legrand, constatant que « l’extrême droite a le vent en poupe dans quasiment tous les pays européens », souligne cet « étrange paradoxe que celui qui voit les tenants de la « Nation », solution la moins en phase avec notre temps, se développer à contre-courant du nécessaire : la constitution d’une Europe plus forte pour concurrencer les empires américains, chinois et russes. Les partisans européens de Donald Trump - Giorgia Meloni, Viktor Orbán, Alice Weidel, Eric Zemmour, Marion Maréchal, Eric Ciotti et, de façon plus prudente, Marine Le Pen - ont en commun avec le Président américain un mélange de populisme et de nationalisme. Le problème, écrit l'éditorialiste, c’est que le nationalisme de Donald Trump, basé sur la puissance des Etats-Unis d’Amérique et de son armée industrielle technologique hégémonique, a pour but la vassalisation, ou tout du moins la chosification, du reste du monde pour le seul profit de leur pays (« America first »). Le nationalisme des Européens a pour siège chacune des nations qui composent l’UE, plus celles qui n’y sont pas. Le cercle le plus important de nos légitimités reste, en Europe, la nation. Nous sommes tous Français, Allemands, Hongrois, Polonais, avant d’être Européens. Le problème est que, dans le monde de 2025, pour traiter les grands sujets qui déterminent la vie des Européens – environnement, commerce international, industrialisation, immigration… – la dimension des Etats européens est inopérante. »
L'affirmation est plus que discutable. En effet, dire que la circonscription nationale qui ne dépasse pas 84 millions d’habitants en Allemagne (pays le plus peuplé de l'UE) et 550 000 kilomètres carrés en France (pays le plus vaste), n’est pas de taille à rivaliser avec la circonscription des Etats-Unis qui représente un peu plus de 341.000.000 d'habitantsiv , c'est oublier un peu rapidement que malgré une décroissance prévisible, l'Europe (UE) est forte de ses 455.000.000 d'habitantsv, ce qui n'est pas rien, montant qui, démographiquement, fait corps avec les 143.000.000 d'habitants de la Fédération de Russievi , et que malgré de réelles difficultés, cette même Europe représente encore une réelle puissance économique.
C'est précisément parce que l'Amérique de D. Trump est parfaitement consciente de cette autre puissance démographique, industrielle, technologique européenne comme du ou des nationalismes européens (qui sont loin de vouloir jouer le rôle d'idiots utiles du trumpisme), et qui pourraient bien rétablir une puissance comme un autre hégémon européens, que Donald Trump vient de réaffirmer ce qui représente effectivement une politique de vassalisation et de chosification du reste du monde pour le seul et unique profit des Etats-Unis et de leur puissance.
Mais c'est là confondre désir et réalité dans la mesure où il est plus que probable et certain que les bouleversements profonds qui modifient l'ordre du monde actuel et à venir risquent fort d'entrer en friction avec la volonté de rétablir la mythologie de la « Destinée Manifeste » vii et de restaurer et revivre le « Golden Age »viii
Trump est considéré par la presse comme le grand perturbateur.
Tout se passe comme s'il allait modifier le cours de l'histoire !
Mais en réalité, comme l'écrit l'économiste Bruno Bertez, c'est l'inverse dont il s'agit.
Le cours de l'Histoire est ce qu'il est et c'est lui qui a produit Trump et le Trumpisme.
Le cours de l'Histoire a en effet buté sur les limites des évolutions anciennes et il tâtonne, pour en explorer de nouvelles.
Le cours de l'Histoire, si on veut le formuler ainsi, a changé de cheval et il a, face aux antagonismes, choisi un nouveau cheval. Il a modifié la coalition au pouvoir et a fait chuter les démocrates pour choisir une coalition , choisir un attelage hétéroclite formé des oligarques et d'une partie des masses populaires.
Singulier attelage, certes, mais produit tout à fait logiquement par le dysfonctionnement délirant de Washington la Folle.
Le système américain a touché ses limites. Il joue les prolongations, ayant épuisé les bienfaits de ses atouts issus de la Seconde Guerre mondiale. Il est "Sur la Pente", sur la mauvaise pente, c'est-à- dire celle de la facilité si bien décrite par Emmanuel Todd.
Cette pente est symbolisée, rendue palpable, rendue visible, illustrée par la courbe de l'endettement global du pays , par la dette de tous les agents économiques, dette qui a décollé, puis progressé, puis enflé , puis explosé au point d'être maintenant incontrôlable.
Le système ne survit en effet qu'en s'envoyant en l'air, qu'en abandonnant l'orthodoxie, les bonnes pratiques, en soufflant dans des bulles de reports, de kick the can, de promesses, de mensonges qu'il ne peut tenir que par la production de dettes/fausse monnaie.
Le système américain - pour tenir encore -, a besoin d'imposer un imaginaire, un ensemble de récits, un simulacre de prospérité et de force qui, en fait, le fragilisent, le détruisent encore plus sûrement et irrémédiablement tant ils sont coûteux et déconnectés des réalités.
Ils sont déconnectés des réalités mais la pesanteur du réel, la gravitation, obligent à sans cesse gonfler, injecter, souffler. Le simulacre impose "le coûte que coûte" , puis le "marche ou crève".
Il n'est pas sûr que l'ensemble du rêve trumpien se passe comme prévu et se déroule dans une nuit calme.
Le fait est que le Destin veille, avec ses doigts crochus, et que l'incertain comme l'imprévu sont toujours des paramètres fondamentaux tant il est vrai que les choses ne se déroulent jamais comme on le souhaite.
Et l'Europe, et la France, dans tout cela ?
Hé bien, quoique l'on puisse penser, l'Europe et la France sont encore bien présentes et il est fort probable, plus que probable même que, pleines d'énergie, de vitalité, de ressources, elles puissent aussi saisir l'occasion et vouloir se débarrasser des boulets qui la ralentissent et l'entraînent vers le fond en procédant à une révolution complète des mentalités.
Rien n'interdit de penser, croire ou espérer que le retour de D. Trump puisse servir de détonateur et de prise de conscience pour mettre un terme à ce chaos rampant devenu chaque jour plus insupportable pour beaucoup de gens en Europe comme en France.
J'invite ici le Lecteur à prendre connaissance et lire attentivement des propos qui traduisent, au moins pour la France, ce que pensent déjà et vont finalement finir par penser beaucoup de gens, tous désireux d'échapper au grand suicide collectif.ix
Sous la plume du chroniqueur Albert Nollet :
« J’ai aimé le discours d’investiture de Donald Trump.
J’ai aimé sa façon d’humilier Joe Biden, Kamala Harris, mais également Barack Obama qui est venu sans son épouse, la grosse Michelle, qui n’a plus voulu jouer les hypocrites.
J’ai aimé sa façon de leur rappeler toutes leurs saloperies, alors qu’ils étaient là, forcés de l’écouter en leur rappelant les choses les plus simples et pleines de bon sens.
J’ai aimé sa façon subtile de les torturer, et j’ai aimé leurs mines déconfites.
J’ai aimé le fait que les gauchistes se sentent impuissants.
J’ai aimé qu’il commence à signer les décrets.
J’ai aimé que Marine Le Pen, et Jordan Bardella en soient réduits, en France, à regarder l’investiture à la télévision car Trump sait qu’ils ne sont pas à la hauteur.
J’ai aimé que cette investiture soit un crachat sur la dictature woke.
Bref, je pourrais continuer encore longtemps : j’ai aimé. »
Source : https://ripostelaique.com/investiture-de-donald-trump-jai-tout-aime-et-meme-plus-que-ca.html
Donald Trump est le nouveau Président des USA
« Pour tous les patriotes, c’est une bonne nouvelle. Toutefois, il ne faut pas croire que nous avons tout à gagner à cette victoire et je pense bien sûr à nos agriculteurs qui ont déjà fort à faire avec la traîtresse de Bruxelles qui se moque pas mal des « cul-terreux » de France, de Navarre et d’Europe.
Trop occupée à faire de la France un pays vert, sans usine, sans tracteur, sans voiture au diesel, et avec pleins d’arbres partout et des pistes cyclables dans le moindre quartier de Paris, Bordeaux, Grenoble et Lyon. Il serait question de faire de la France un immense parc où pourront se déchaîner les OQTF, les délinquants immigrés, et s’esbaudir les écolos islamisés, etc.
Tandis que ce qui reste de travailleurs gaulois devra, le soir venu, rentrer très vite chez lui, baisser la tête dans les rues, changer de trottoirs et éviter de regarder dans les yeux les chances de la France sous peine de se ramasser une lame bien placée.
Le danger que représente Trump pour nos industries, les viticulteurs, les agriculteurs est une réalité et nous allons souffrir de sa politique économique qui ne nous fera pas de cadeaux.
Nos dirigeants ont fait des choix politiques économiques désastreux en nous soumettant à Bruxelles ! Il faudra que les Français comprennent enfin que les USA ne sont pas et n’ont jamais été nos amis. Par contre, le vent libéral antiwoke, le genrisme, est une bénédiction qui finira par libérer notre espace civil français, comme les médias, les universités et y compris les entreprises !
Trump est cette pilule amère que nous aimerions tous avaler si, en contrepartie, on pouvait voir les aéroports Charles de Gaulle, Orly, Beauvais, Tarbes, Bordeaux, Lyon faire le plein de voyageurs pour la remigration de tous nos OQTF, nos illégaux et tous les sorties de nos prisons surchargées.
On l’avalerait avec plaisir si, en contrepartie, les aides sociales de type AME (Rocard), les APL, l’APSA, les Allocations familiales et autres facilités pécuniaires délivrées aux chances et aux diverses richesses de la France pouvaient sortir de notre territoire français.
On aimerait aussi mettre au défi les employeurs qui décident à la place des Français de faire venir d’Afrique des malléables et des corvéables qui travaillent sur les chantiers de constructions du BTP, dans les cuisines étoilées, chez les boulangers-pâtissiers, dans les bistrots, les entreprises de gardiennage, comme femmes de ménages… sous le prétexte qu’ils ne trouveraient pas de salariés payés à trois francs, six sous.
Une chose est de soutenir et d’aider celui qui chute, qui est exclu un moment, une autre est de permettre à des individus de vivre toute leur vie aux crochets de l’aide publique. Il est anormal qu’une personne refuse un travail sous prétexte qu’elle perdrait des aides sociales telles que le RSA et autres APL.
L’aide oui, l’assistanat non !
La réalité est que les gosses de ces exploités et autres vivent aux crochets de municipalités, dans les HLM, restent seuls et poussent comme de l’herbe folle et des orties et finissent par vendre de la cocaïne, du shit et pour les plus idiots, à servir de boucliers humains pour les dealers.
Nous avons, en France, un certain nombre d’îles en Outre-mer, dont l’île du Diable qui pourrait reprendre du service. La Guyane est un vaste territoire qu’il faudrait exploiter, défricher avec tous ces prisonniers qui ne travaillent pas. La gauche, les syndicats gauchisant comme la CGT, Sud, FO, la CFDT et autres hurleront aux travaux forcés ! Pas de souci !
Trump a raison, il faut faire le ménage et cela passe par mettre au pas tous ceux qui refusent de remettre le pays à la verticale.
La Police et son administration, la Justice et ses syndicats, les institutions à fric pour les planqués, ces ex-politiques recasés. Les agences inutiles qui sont des doublons avec les services de l’État.
Commençons par interdire, au minimum, les syndicats dans le système judiciaire. Qu’un tribunal de magistrats puisse juger les délires des juges gauchistes avec des représentants civils issus du peuple. Cela devrait en calmer quelques-uns de ces juges gauchistes !
Cela passe aussi par virer les sangsues à tous les niveaux qui vivent de l’immigration. Couper les vivres aux associations d’immigrés. Examiner les comptes des cabinets d’avocats qui se font des milliers d’euros sur la trahison de la France au nom de l’humanisme.
Donald Trump va nous faire du mal économiquement, mais il va surtout, à terme, nous libérer de ces médias contrôlés par la bien-pensance et l’hypocrisie.
Bonjour à la liberté d’expression et que les parasites qui se goinfrent sur le dos de la France soient virés. »
Source :
Sous la plume du chroniqueur Cyrano :
« Dire que, depuis dix ans, ils l’insultent et le calomnient ! Dire qu’il y a 4 ans, ils lui ont volé sa victoire. Dire qu’ils ont osé lui couper la parole en plein direct, quand il dénonçait ces fraudes ! Dire qu’ils ont essayé de l’assassiner ! Et, à la grande fureur des mondialistes, des wokistes, des minorités, des climatistes, des laboratoires pharmaceutiques, des immigrationnistes et de l’État profond, il est de nouveau soutenu par le peuple américain, président des États-Unis.
Qui n’a pas senti monter les larmes d’émotion à l’entrée de Donald Trump dans le Capitole, sous les cris de « USA, USA ! » Qui n’a pas vibré à l’écoute de son discours d’amour à son peuple, à son pays, à son histoire, à ses traditions et à sa civilisation ?
Qui n’a pas rêvé, en l’entendant dire qu’il allait expulser des millions et des millions de personnes qui n’ont rien à faire aux États-Unis ? Qui n’a pas eu envie d’applaudir quand il a dit qu’il n’y avait que deux genres, un homme et une femme ? Qui n’a pas approuvé le bon sens du nouveau président quand il a annoncé qu’il allait sortir de l’Accord de Paris qui plombe toutes les industries occidentales ? Qui n’a pas vibré en l’entendant annoncer que la dictature des juges, c’était terminé. Qui n’a pas rêvé en l’entendant expliquer que la dictature de la bureaucratie, cela allait changer. Qui n’a pas frémi en l’entendant remettre la défense de la liberté d’expression au premier plan de son discours ? Qui n’a pas frémi en l’entendant parler de l’âge d’or de l’Amérique ? Que d’émotion dans ce passage où il remercie Dieu de l’avoir sauvé de l’attentat qui l’a visé, pour qu’il redonne à l’Amérique sa grandeur. Qui n’a pas été excité à l’idée que, comme ils sont allés sur la Lune il y a plus de soixante ans, il envisage que son pays puisse aller sur Mars ? Qui n’a pas été séduit par la qualité du discours de Trump, mais surtout pas son volontarisme et sa détermination au service d’un pays qui veut conserver sa grandeur ?
Et bien sûr, Trump s’est entouré des meilleurs, dans tous les domaines, même si on voit surtout le génial Elon Musk et le formidable Robert Kennedy. Il a mis sur pied une équipe à la hauteur de son personnage, et de ses ambitions pour le pays. Il a compris que le discours était un message fort envoyé au pays, en lui disant qu’il appliquerait le programme pour lequel il a été élu. Il sait que c’est maintenant qu’il faut taper, utiliser les cents premiers jours pour montrer qu’il fera ce qu’il a dit, et qu’il ne fera aucune concession à ceux qui ont voulu l’abattre. Pour mettre en place ce qu’il appelle la révolution du bon sens, il va s’appuyer sur la mobilisation de toute la Nation pour redresser le pays.
Cette journée du 20 janvier 2025 est inoubliable, mais en même temps terrible pour nous autres, Français, car, après avoir entendu un tel souffle, et vu un président de la République signer des dizaines de décrets, pour être efficace tout de suite, à quoi allons-nous assister ? Nous allons devoir subir le freluquet de l’Élysée, qui est tout le contraire du 47e président des États-Unis. Lui, il n’aime pas son pays, il méprise son peuple, et il est mis là pour détruire la France, ce qu’il fait remarquablement bien depuis huit ans. Nous allons devoir subir le mou du genou de Matignon. Les journalistes de CNews, cruellement, faisaient la comparaison entre le discours de Bayrou, qui se paumait dans ses notes, et celui de Trump. Et nous allons devoir continuer à subir les discours haineux du traître Mélenchon, qui, au nom de sa Nouvelle France, rêve ni plus ni moins de détruire la France – et là-dessus ils se retrouvent avec Macron – et de changer notre peuple, en rêvant pour cela d’utiliser la violence révolutionnaire contre ses opposants mais aussi contre les Français. Le discours de Trump rendra insupportable aux Français les propos du traître Macron, les discours de faux-cul de Wauquiez, les bégaiements de Bayrou, les vociférations de Mélenchon et les stupidités de la Tondelière et de la Rousseau.
Mais que dire des débats parlementaires qui s’annoncent ? Pendant des semaines, nous allons entendre le cinéma de Bayrou, d’Olivier Faure, de Mathilde Panot, de Chassaigne, d’Attal et de tous leurs guignols, qui vont s’écharper pour savoir comment économiser 60 milliards, tout en laissant en place toutes les tares de notre économies que Trump va régler par un simple décret ! Pathétique pour la France !
Seule consolation, nous ne pouvons qu’être fiers de savoir que Sarah Knafo, Éric Zemmour, Marion Maréchal, Louis Aliot ou Julien Sanchez aient été présents, ainsi que nombre de dirigeants patriotes d’Europe et du Monde. Par contre, Macron, Scholz, Starmer et von der Leyen ont été évincés.
Nous sommes certains que Jean-Marie Le Pen aurait aimé ce discours…
Source :
Et encore, sous la plume du chroniqueur Jacques Guillemain :
Trump envisage aussi de revoir le statut des étudiants étrangers, nombreux dans les universités américaines.
La conclusion de tout cela est que l’Europe aurait bien besoin d’un Donald Trump pour maîtriser des flux migratoires qui déstabilisent nos sociétés, plombent les finances publiques, appauvrissent les classes moyennes, font exploser l’insécurité et nivellent le pays par le bas. Il suffit de voir le faible niveau scolaire des zones à forte densité d’immigrés pour mesurer l’ampleur du désastre migratoire.
Comme le disait en 2017 Luc Ferry, ancien ministre de l’Éducation nationale :
“Si on supprimait les 15 % de quartiers pourris en France, avec des établissements dans lesquels il y a 98 nationalités, où on n’arrive pas à faire cours, eh bien nous serions classés numéro 1 à PISA”
Et depuis, le niveau scolaire des petits Français n’a fait qu’empirer.
Mais France et Europe ont fait le choix du grand suicide collectif. »
Non. De grands mouvements dans la tectonique des plaques géopolitiques ont commencé.
Car rien n'est figé.
Excellentes nouvelles : le wokisme et la "cancel culture" sont morts. Leurs adeptes et partisans sont déjà moribonds.
Tout comme l'Europe telle qu'elle existe encore actuellement, même si les zélateurs continuateurs d'une Union Européenne construite sur une imposture politique et une escroquerie électorale vont tenter de résister en un dernier et vain combat.
La guerre en Ukraine est aussi perdue -comme elle l'était déjà avant d'avoir commencé - perdue pour ceux qui l'ont initiée, perdue pour ceux qui en sont morts, perdue pour les survivants d'un pays européen dévasté pour n'avoir pas su résister aux sirènes outre-atlantistes, et il n'est pas sûr que l'OTAN lui survive, fort heureusement, pas même dans le rêve trumpien d'en laisser le financement futur aux idiots européistes ruinés mais qui seront invités à financer des achats d'armement américain et d'énergie américaine tandis que cette même Ukraine tentera d'échapper au pillage général.
Les visées expansionnistes énoncées par D. Trump sous forme de reconquête du Canal de Panama (Ferdinand de Lesseps laissé aux oubliettes) , de changement de nom géographique (Golfe d'Amérique en lieu et place du Golfe du Mexique), d'annexion du Groenland (Norvégien puis Danois depuis plus de mille ans), de visées sur le Canada, ne se feront pas sans sérieux obstacles.
Pourquoi la France ne récupèrerait-elle pas la Louisiane, après tout ? Pourquoi la Russie ne récupèrerait-elle pas non plus l'Alaska ? Et quid du Mexique amputé de tout l'ouest américain ?Après tout, Espagne, France et Russie sont chez elles en Amérique, sauf à prendre aussi en considération les premiers autochtones présents depuis 40.000 ans et dont les descendants pourraient eux aussi formuler quelques avis.
https://www.axl.cefan.ulaval.ca/amnord/usa_6-4histoire.htm
https://www.worldhistory.org/trans/fr/1-22171/peuples-autochtones-damerique-du-nord/
On laissera Columbia dérouler tranquillement le fil du Télégraphe vers l'Ouest (même si l'allégorie est superbe) pour concéder une part de rêve avec la conquête de Mars annoncée par D. Trump, exploit toujours possible si l'on considère l'allant et l'intelligence de ce réel génie qu'est Eon Musk, mais peut-être aussi avec le risque d'être surpris, un beau matin, par la nouvelle de l'arrivée sur ladite planète Mars d'un vaisseau spatial chinois.
Nul doute que cette année 2025 a commencé à nous dévoiler un nouveau spectacle du Monde assez extraordinaire.
Sources, notes et références :
i Roger SCrUTON, [« How to be a Conservative »] (trad. de l'anglais), Paris, Éditions du Toucan - L'artilleur, coll. « TOUC.ESSAIS », 2016, 280 p. (ISBN 978-2-8100-0710-3)
iiEdouard VUIART, https://www.les-crises.fr/destinee-manifeste-exceptionnalisme-americain-14-histoire/
iiiLibération, https://www.liberation.fr/international/amerique/cascade-de-decrets-de-trump-la-frenesie-executive-de-ses-premieres-heures-de-presidence-20250121_IHHJHWX7WZG77MZIHA2YJFMZVM/?at_creation=NL_Libe_Matin_21-01-2025&at_campaign=NL_Lib%25C3%25A9_Matin&at_email_type=acquisition&at_medium=email&actId=%7Ea9LObDhxLLl76jYE0n—0PrLIQwfzewwyLfSqrTtwtAdCxNy8BBZV79EngdGf8Ko8wsWaY03SMcHAS1QCbIT3aLjEXSdIJVoldAGvbgHIJhzH0w85BgiV&actCampaignType=CAMPAIGN_MAIL&actSource=543148
ivhttps://www.census.gov/popclock/
v https://www.lesechos.fr/2005/07/la-population-europeenne-devrait-baisser-a-partir-de-2025-612588
vihttps://www.populationpyramid.net/fr/russie-f%C3%A9d%C3%A9ration-russe/2025/
viihttps://les-yeux-du-monde.fr/actualites-analysees/amerique/23764-le-mythe-de-la-destinee-manifeste
viii https://blogs.baruch.cuny.edu/his1005spring2011/tag/golden-age/
voir aussi :
https://www.politico.com/magazine/story/2014/06/the-myth-of-americas-golden-age-108013/
ix Douglas MURRAY, https://www.babelio.com/livres/Murray-Letrange-suicide-de-lEurope/1029260
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