L’Italie et les Etats-unis sont aujourd’hui obligés, sous la pression du nombre d’immigrés entrés illégalement sur leur territoire, de régulariser massivement, faute d’avoir su établir des barrières à cette véritable invasion migratoire, et n’étant pas en mesure de mener une coûteuse chasse aux clandestins pour les renvoyer vers leurs pays d’origine.
Si leur lutte contre la migration massive et clandestine reste sans solution, ils seront contraints de refaire la même chose dans 5, 10, 15 ans, etc... et c’est sans doute aussi ce que la France se retrouvera obligée de faire si les conditions d’entrée sur le territoire restent ce qu’elles sont (absence de frontières, de contrôles, etc...).
Arrivera un moment où les immigrés régularisés auront d’ailleurs un poids électoral tel dans le pays d’accueil, qu’il sera impossible aux indigènes de faire valoir leur point de vue dans leur propre pays. J’en veux d’ailleurs pour preuve ce qui se passe dans certaines municipalités espagnoles où le nombre des allemands venus s’y installer est tellement important que les locaux sont devenus minoritaires lors des élections.
A ce propos, on peut se demander ce qui se cache derrière la volonté de certains politiques d’attribuer un droit de vote aux étrangers vivant sur le sol national...
Les manifestations monstres vues aux Etats-unis montrent sans conteste l’ampleur du phénomène. Il convient donc avant de décider des orientations à prendre en matière d’accueil sur notre territoire, d’en mesurer toutes les conséquences possibles, comme l’augmentation du travail dissimulé par exemple... ou le maintien des pays d’origine des migrants dans le sous-développement.