Bonjour, Décidemment, on revient avec les idées farfelues tous les ans. Les nanars ont la vie dure. Il y a un an à peut près, même tentative. Je ne me rappelle pas du titre. Peut-être même auteur aussi. Je me rappelle que la discussion avait même dévié sur des idées franco-françaises.
J’avais donné mon avis que je vais ressortir une partie de l’article et mon commentaire :
L’article à l’époque :
"Fondamentalement tout le monde, médias, sponsors, spectateurs et téléspectateurs, semble avoir accepté le fait que les coureurs cyclistes puissent être dopés et que cela faisait partie du jeu. Alors bien sûr on constate chaque année le déclin des coureurs français qui sont soumis à des contrôles anti-dopage plus stricts et semblent donc hors course au sens propre et figuré, mais cela n’est finalement pas très grave car le spectacle continue et c’est cela qui compte.
On attend donc avec impatience le jour où en bonne logique on aura deux catégories officielles de coureurs, les contrôlés et les autres, ou bien dans un souci de vraie équité sportive un seul peloton, mais pour lequel on s’abstiendra de toute restriction en matière de préparation dite « scientifique ». L’important étant bien que le meilleur gagne."
>>>Indigné, je m’étais empressé de répondre :
« ...banaliser le dopage, pas d’accord. Pourquoi ne pas organiser des courses avec des cyclistes propres, d’autres frelatés ou bioniques avec vélos à pédales ou à moteur. Tout serait donc bon pour gagner sa place sur le podium avec les juteux prix qui l’accompagnent. Ce sont des Hommes ’Cyclistes’ qui méritent l’équité que l’on doit juger dans les courses, pas la qualité des produits qu’ils ingurgitent. Croyez-vous que les spectateurs courraient voir ces courses « nouvelles modes » pour encourager des coureurs et voir la transpiration sur leur front non plus à cause de l’effort mais grâce à des catalyseurs moins nobles. Non, le spectacle ne continue pas de la sorte, l’important n’est pas de seulement gagner ! On oublie Tom Simpson qui, le 13 juillet sur le Ventoux, s’est affalé en pleine course, mort, dans l’ascension du col, imbibé de ses produits qui devaient lui apporter la victoire. »
Je n’ai pas changé d’avis.