Laissant l’histoire des pseudos de coté. Chacun a ses raisons, représailles ou recherche d’espace pour s’illustrer. Bref, les raisons ne manquent pas et personne n’a à se justifier ou à justifier quoi que ce soit.
Condensé : « Vers 1850 av. J-C, les Hébreux tentent de s’installer en Palestine. Ils sont repoussés en Egypte par les Cananéens. Vers 1300 av. J.-C., les Philistins s’installent sur la côte. Ils donnent leur nom à la région : en arabe « Falastine ». La Palestine connaît de nouvelles occupations. La population palestinienne est donc née du brassage de ces différentes composantes : Cananéens, Amorites, Phéniciens, Philistins, Hébreux, Assyriens, Perses, Grecs, Romains. La domination romaine est relayée par l’occupation byzantine jusqu’en 636. A partir du VIIème siècle, après le siège de Jérusalem (638), la Palestine passe dans l’orbite Arabe. L’islam s’y développe ainsi que la langue arabe qui supplante les langues régionales. De 1099 à 1190, les croisades embrasent le M-O pour le contrôle des routes commerciales. Quatre Etats Latins voient le jour. En 1244, le sultan kurde Saladin reprend Jérusalem et invite les Juifs à rentrer en Palestine. C’est la fin des conquêtes franques. De 1516 à 1917, les Ottomans (Turcs) occupent la Palestine... »
En Israël il y a des ethnies qui souffrent, si, si !. En Palestine il y a un peuple qui souffre. D’un coté comme de l’autre il y a des générations qui sont élevées dans la haine des uns les autres - au point d’un « non retour » et c’est malheureux pour les deux parties - le rapport de force étant indiscutable et l’issu improbable.
Alors que l’on ne me parle pas de PAIX ! Surtout pas de ceux qui l’acceptent ou de ceux qui la refusent ! Je milite depuis assez longtemps (sur le terrain et non derrière un clavier)pour en connaître « quelques » tenants et « quelques » aboutissants. J’ai des traces physiques et morales de cet engagement...Mais bon !
Bien à vous.