C’est quoi cette nouveauté basique qui fait qu’il n’y aurait qu’un choix manichéen entre les socio-libéraux et les libéraux.
Quel est cet abrutissement qui veux que le libéralisme quel qu’il soit puisse être bon pour une société ?
Entendre ce genre d’ineptie « la racine de l’humanisme libéral » tendrait, au nom de la société humaine, à vouloir faire prendre les armes.
Le libéralisme est le pire dévoiement au mot « LIBERTE ».
Un dit : « Le Marché c’est justement la liberté, la loi de l’offre et de la demande, la seule loi valable depuis le commencement de l’humanité. C’est la loi naturelle », est il possible de pouvoir écrire une telle invraisemblance putride, incohérente et dangereuse ?
Asservir l’homme à de tels penchants naturels est tout bonnement une falsification de l’état naturel de la société humaine, et pire à créer un naturel individualiste de l’humain dont l’essence même est d’être grégaire.
L’idée de « LIBERTE » n’a aucun lien avec une théorisation fallacieuse de la nature rabaissée au seul caractère qu’est l’instinct.
Les idéaux mercantiles libéraux n’ont de cesse que de faire croire qu’il n’y a pas de juste limite entre la liberté des uns et le pouvoir des autres, or le déséquilibre poussé à son extrème prouve bien (délocalisation, dérégulation, stock-otions, chomage, déséquilibre nord-sud, apauvrissement des ressources) que cette perversité anaturelle est vouée à la ruine planétaire.
La force de cette « idéologie » est de s’appuyer sur les carences éducatives qu’elle a elle même induites, et pour celà elle use du stratagèmes qui ferait croire au bon peuple que son interprétation ne serait qu’un dérivé de sa noblesse.
Même son nom tente de tromper en mélant l’esprit de « liberté », au concept « libertaire » ceci noyé dans un nuage de « libération ».
NON et encore NON, le Libéralisme n’est pas une sainte chose sensuelle et pulpeuse, NON ce n’est pas une voie qui nous promet le soleil, NON ce n’est pas un paravent à la désolation.
Et honte à vous d’associer Montesquieu à vos fadaises, le liberalisme c’est l’implacable certitude, la névrose du profit, la gourmandise des actions, l’appat du pouvoir, l’indigestion d’argent, l’empire des abus, et en Picsou vous croyez ...