Bonjour,
Naturellement il n’est pas question d’accuser de mauvaise foi ,ceux qui affirment ce qui semble être un syllogisme parfait : « travailler plus pour gagner plus »
Mais n’est-ce pas en fait une incantation ?
Pourtant il me semble que c’est oublier un peu vite que ce n’est pas le salarié qui décide de la longueur ou de la brièveté de son emploi du temps
Le patron ,le donneur d’ordre ;arc-bouté sur l’étude de son marché, armé du P.E.R.T.,acharné ,perpétuellement , à la recherche du « sentier direct »
Obéissant ,même malgré lui ,à la logique de l’ingénieur(faire plus avec moins)donc réduire
Il n’est malheureusement pas de jour que les organes de communication que nous annoncent, des supressions d’emplois !
A cette logique le politique peut-il opposer une logique différente : Que faire avec ceux qui sont de fait des exclus du circuit ?(formation ,cela paraît être indispnsable)
Revenu minimum d’activité sans doute, en prenant toutefois garde de ne pas chasser sur les terres des entreprises déjà établies
Pardonnez-moi une référence ancienne, peut-être même obsolète
et parce que la fête de Pâques vient opportunément de me le rappeler : « que se passerait-il si la logique de l’ingénieur aidée d’une façon d’ailleurs exponentielle par l’informatique, était quelque peu disons édulcorée ?en considérant que le salaire quel qu’il soit doit finalement aboutir à la satisfaction des besoins élémentaires des individus , des familles
Rappelez-vous, !C’était hier ,le prédicateur devait expliquer à l’assistance la notion du salaire minimum introduite dans l’histoire du monde « la parabole des travailleurs de la vigne »
On peut rêver ?