Petite histoire illustrative
Deux jeunes regardent une belle voiture garée.
Le premier dit : « Moi dans une dizaine d’année, quand j’aurai suffisament gagné d’argent, je m’en offrirait une comme celle-là ».
L’autre répond : « Z’y va. Comme il a du truander c’uilà pour une caisse pareille ; l’a du en faire exploiter du monde ; j’vais la lui torcher sa caisse ».
Morale :
Une poignée de misérables fait un tort énorme à l’ensemble d’un communauté - française de souche ou d’origine étrangère - qui dans son ensemble n’a rien à se reprocher.
Une poignée de misérables, cultivant avec un acharnement une image de barbares, stigmatisent des banlieux qui ne devraient être que des villes comme les autres.
Ils demandent tous à s’en sortir. Mais comment aider des jeunes qui se cagoulent, traffiquent, ne savent pas aligner une seule phrase correctement syntaxée.
Comment leur donner du travail.
Si la police n’est pas toujours lisible dans son approche, il n’en reste pas moins qu’un individu normal, qui n’a rien à se repprocher, n’a rien à craindre de la police.
Autre question :
Que font des mineurs à 16h00 seuls si loin de leur domicile ? Où sont leurs parents ?
Ces jeunes - mais d’abord leurs perents - sont responsables du sort qui leur est fait.
Je crois à la responsabilité personnelle.
Chacun a le choix de sa conduite et de ses actes.