Monsieur le jeune parasitologue du précédent message,
Vous seriez bien aimable de sortir un peu des sentiers éculés où vous ne faites que trouver les mêmes miasmes qui vous conviennent si bien : la peur des cocos, les comparaisons de bas étage que certains utilisaient, en des temps obscurs, du côté d’Auschwitz Birkenau ou de Sobidor.
Les cocos, où sont-ils à notre époque ? Vous les voyez où ? Vous devriez pourtant avoir une bonne vue en tant que parasitologue ? Ils sont si dangereux que cela, ces cocos ? Dans les quelques malheureuses villes qu’ils gèrent encore, il n’y a pas de commerces, pas de banques, pas de propriétaires terriens ou immobiliers, c’est ça ? Dites-moi ?
Serait-ce plutôt que vous avez les poches tellement remplies que vous craindriez d’en perdre quelques miettes ? Cela me rappelle cette histoire du Paquebot Lusitania qui a été coulé par un sous-marin allemand. Un richissime passager transportait ses lingots d’or sur lui. Il n’a pas voulu s’en défaire et a coulé avec au moment du naufrage. Risible.
Vous pouvez garder ce qui remplit vos poches, vous ne les emporterez pas de toute façon, là où les parasites, qui vous inspirent tant, vous boufferont. Ils existent d’autres valeurs que l’argent.
Cependant, l’auteur de l’article n’a pas tort. Un peu de solidarité nous éviterait peut-être le chaos qui se prépare et que l’histoire a déjà connu avec les invasions migratoires incontrôlés ou les désordres destructeurs.
Enfin Monsieur le jeune parasitologue, si les cocos vous font si peur, allez vous installer dans l’une de ces dictatures anticommunistes qui existent dans le tiers-monde. Elles vous attendent à bras ouvert avec leur cortège de misère et de corruption. (Lisez les rapports d’Amnistie Internationale lors de vos moments de détente.)
BP