voilà c’est tout, de la haine en briques. Du mauvais estudiantisme il semble au vu du verbe éloquent, mais le creux de l’estomac jamais rassasié, le coeur vide de tout amour, dévoré par les germes de maladie ressassant leur cruauté reptilienne.

Très bel article, très bien écrit, lucide et généreux, tout le contraire de certains commentaires que tu reçois par des malades très apparemment qui avalent à grandes louches la mystification stupide, qui érigent la haine en vertu civilisationelle, les enfants gâteux du bon salaire à papa et qui se targuent d’être ceux qui connaissent la rue, déversant leur fiel, adorant par-dessus le mensonge éhonté et la cruauté qu’ils peuvent dégueuler. Votre France fait pleurer et après vos élections ridicules vous vous plaindrez encore et encore et qui que ce soit d’ailleurs on vous entendra et on vous lira, il faudra encore laver vos offenses ingrates au vivant, il nous faudra encore laver le vomis de votre bile. Ce qui est très étonant c’est pourquoi vous ne vous suicidez pas si vous détestez la vie et que les fautes sont impardonnables et que vous n’êtes pas Dieu donc strictement rien pour juger, ça doit être dur... pourquoi vous échinez-vous ? pourquoi restez vous en vie si elle ne vous apprend rien et que vous n’avez que rage et haine à lui rendre ? Vous dénaturez tellement le corps qui vous a été offert et vous vous l’accréditez en plus ? Voici moi ?  Vous ne vous appartenez pas et celà vous enrage, alors que vous pourriez tout aussi bien voir la libération que celà représente, mais vous aimez votre prison, persuadé que ce seront toujours d’autres qui en pâtiront, mais c’est vous qui vivez dedans, ce que vous souhaitez aux autres court déjà vers vous. Vous ne l’avez toujours pas compris ? Vous ne voulez pas appliquer les remèdes qui existent, tant sur le plan de la civilisation que dans le plan personnel, qu’est-ce qu’on pourrait faire pour vous ? Rien. 

Enfin, merci encore pour un article qui pose un ressenti précieux, un vrais partage, pas de problème, un vrais témoignage et qu’on l’aime ou pas celà reste très précieux. Continue à écrire, tu es très doué je trouves.