Je suis consternée de lire ces insultes non argumentées (débile, imbécile, etc.) envers l’auteur de l’article.
Que l’on critique d’accord, c’est tellement facile et jouissif... mais avec des arguments au moins.
Degré zéro de la politique ? Pfff et alors... C’est celà la politique, et chacun est le « degré zéro » de quelqu’un d’autre. C’est le jeu. du bla bla et du bla bla. Une guerre pour le pouvoir (un pouvoir d’apparât tant le nerf de la guerre on le connait) dont les armes sont les mots.
Le degré zéro de la critique on peut le constater ici également.
Tout le monde dans le même sac ? Oui dans le sac « politique ». Tout comme on a beaucoup de gens dans le sac « football ». Des gens bien différents les uns des autres, mais qui devant un match se ressemblent tous et se comportent de manière identique.
Qu’est-ce que vous avez à monter sur vos grands chevaux parce qu’il parle de « social-nationalisme » ? On dirait une bande de juges et de censeurs de l’inquisition... Police de la langue ! Ou comment des noms communs (nationalisme, socialisme, social) sont implicitement retirés de notre lexique utilisable en société en étant assimilés à des noms propres (Hitler).
Concernant la politique... et bien je trouve intéressant de réfléchir au nationalisme aujourd’hui, à l’heure de la mondialisation libérale, de la grande et magnifique culture unique web/macDo/prosac/HGM (humain génétiquement modifié) qui se met en place tranquillement sans que personne n’y trouve à redire.
Evo Morales ou Hugo Chavez en Amérique du Sud font de la résistance nationaliste, et du social. Et je dis bravo.