« Sur le RMI je crois malheureusement que le travail ne suffit pas il faut réellement de l’insertion pour nombres de personnes qui n’ont pas travaillé depuis des années... »
OUI, c’est malheusesement vrai pour beaucoup. Simplement ce que je veux dire qu’ayant moi-même connu des périodes longues et désespérante de recherche infructueuse, cela ne m’a jamais empêché de percuter dés que j’ai repris un emploi. Donc méfions nous des idées fixes. On demande du Travail, de la reconnaissance pas de la charité ou de la compassion larmoyante. On a peut-être besoin d’un accompagnement pour reprendre des marques, mais attention à ne pas étouffer, sinon le remède devient pire que le mal. Voilà ce qui l’apparait important de préciser.
Pour l’ANGLAIS, mes propos ne sont pas un excès de FRANCHOUILLARDISE anti-langue étrangère. On doit parler une langue n’ont pas parce que c’est un outils technique ce qui appauvrirai et la langue et la réflexion, mais parce que c’est un moyen de mise en relation. Cela suppose donc une parfaite maitrise des rhétoriques dans la langue utilisé.
Je préférerai parler le Russe, le polonais, le tchèque, le hongrois, .... bref tous ces pays qui était totalement hermétique il y a une quinzaine d’années. Quant aux Anglo-Saxon, au vu du côté hégémonique de tout ce qu’ils entreprennent, franchement, ILS NE DONNENT VRAIMENT PAS ENVIE QU’ON APPRENNE LEUR LANGUE autrement que comme outils technique. Donc minimum, minimum.
J’attends donc qu’en matière de LANGUE, on revienne à une notion MULTIPOLAIRE.
Cela nous évitera le 1984 d’ORWELL et son ANGSOC.