« Ce préambule pourrait indiquer que la République reconnaît les unions que la Nature rend possible, comme l’hétérosexualité ou l’homosexualité, »
Si l’union NATURELLE de deux êtres n’est pas synonyme de fonder une famille par le mécanisme de la reproduction sexuée alors ce mot n’a plus aucun sens. Autant entériner l’union entre un garagiste et sa bagnole. Aprés tout, peut-être que lui aussi manifeste sa volonté de se marier avec elle.
D’autre part, quand on traite de l’adoption par un couple d’homme ou de l’insémination artificielle par un couple de femme, on ne regarde que le petit désir égoïste de parentalité chez des gens qui la refusent de tout leur être et on oublie bien-entendu l’enfant qui devra vivre dans ce milieu anormal. L’enfant n’est pas une marchandise. Je suis déjà tout retourné quand je vois ces bien-pensants qui vont acheter des petits noirs en Afrique et qui les élèvent. Voilà des déracinés qui vivront toujours avec la frustration d’avoir été abandonnés par leur parents, que les biens-pensants forcent à perdre leurs habitudes, leur culture et jusqu’à leur propre langue, qui auront toujours des questions vitales sans réponses et tout cela en échange d’un bonbon Kinder qu’ils n’auraient pas eu dans leur bidonville. C’est dégueulasse.
Toutes les déviances font malheureusement parti de la société et on doit les accepter mais ce n’est sûrement pas le rôle de l’Etat de les renforcer par l’appareil juridique.
La « normalité » a un sens et elle est régie par la loi. Si les actes anormaux deviennent légaux alors pourquoi interdire toutes les autres déviances que la loi estime nuisible à la société ? Jetons tout par la fenêtre et vive l’anarchie !
Les couples homosexuels n’ont NATURELLEMENT pas d’enfants. Laissons leur cette distinction.