« Toujours ramener tous les sujets à un clivage politique et à Sarkosy ! »
« M’opposer le sempiternel néolibéralisme, c’est trés gentil, mais cela ne fait pas avancer le sujet. »
Je n’ai fait intervenir l’exemple de Nicolas Sarkozy que pour illustrer mon propos, et donc le renforcer, et qui était le suivant : il est de plus en plus courant d’accuser à tort de pensée unique les personnes avec qui l’on n’est pas d’accord, contre qui on veut lutter.
La comparaison entre vous et Nicolas Sarkozy (ou l’ultralibéralisme) s’arrête là, pour ce que j’en sais du moins. Je ne vois pas pourquoi vous semblez avoir compris que la pertinence de cet exemple porterait selon moi sur le fond plutôt que sur la forme. Je précise donc lourdement que cet exemple ne visait pas à lancer une polémique sur l’ultralibéralisme ou sur Nicolas Sarkozy (qui soit dit en passant, et je souhaite pouvoir le dire sans être taxé de pédanterie, s’écrit avec un z), mais bien à souligner une rhétorique (en l’occurence commune à vous et à Sarkozy) qui selon moi se doit d’être dénoncée, car elle nuit à un échange de points de vue honnête.
Quant à la question « Mais qu’est ce Sarko vient faire dans tout cela ? », puisque vous la posez, je pense justement que, comme il y a une probabilité non négligeable qu’il soit amené à diriger la 6è puissance économique du monde dans les 5 prochaines années, vous jugerez peut-être de vous-même qu’il ne serait pas forcément aussi stupide ou hors-sujet qu’il n’y paraît de se pencher un peu sur sa vision des choses sur ces problématiques.