Si comme je le crois aussi, ce sont « des minorités parfaitement identifiées et qui, laissées impunies, dégradent et attaquent, volent et brûlent et, par contagion, entraînent » il faut réfléchir à la raison qui pousse les politiques depuis si longtemps à les laisser prospérer.
S’il s’agit de leur fond de commerce, celui qui assure leur élection ou leur réélection : il faut, par notre bulletin dans l’urne, renvoyer ceux qui sont responsable de cette situation planter des choux ailleurs que dans les ministères ou à l’assemblée nationale.
Si le problème inavoué est que la situation réelle est beaucoup plus grave, qu’on ne peut effectivement pas rentrer dans certaines cités pour faire le ménage dans les caves, pourquoi ce problème n’est-il pas révélé et débattu comme il se doit ? A quel point est-il impossible de faire autre chose que des gesticulations médiatiques dans les cités ? le problème dépasse t-il les capacités d’intervention de la police nationale ?
Que ce soit à la serpillière ou au karcher il faudra bien faire le ménage et empêcher de nuire ces « minorités parfaitement identifiées » pour que la majorité des habitants des cités qui aspirent à la tranquillité, quelle que soit la couleur de leur peau et leur pays d’origine, puissent vivre en paix, saluer avec respect un policier parce qu’il aide à maintenir l’ordre et réciproquement.