La réforme que je propose est sans doute inaccessible.
1- Je demande seulement le respect des règles et de la loi par une administration qui devrait être la première à donner l’exemple.
- Il n’est pas acceptable qu’un chef d’établissement soit participe à la diffamation d’un professeur en apportant son soutien écrit à un diffamateur, soit dénigre un professeur en écrivant lui-même une lettre secrète à une fédération de parents d’élèves.
- Il n’est pas normal non plus que les quatre échelons hiérarchiques ( du ministre au chef d’établissement) détournent avec préméditation le pouvoir disciplinaire en inventant des fautes de services et en violant la procédure, pour nuire à un professeur qui s’oppose à leur arbitraire.
- Il n ’est pas acceptable non plus que la hiérarchie de l’Éducation nationale refuse d’appliquer la loi organisant la protection statutaire quand un fonctionnaire est attaqué à l’occasion de ses fonctions.
- Il n’est pas pensable non plus que cette administration puisse se servir des petits malfrats, dit « élèves en difficulté », pour nuire à un professeur...
2- Enfin, il est intolérable que la loi du 12 avril 2000 protège les délateurs au détriment de leurs victimes. Une telle loi entre les mains d’une administration-voyou laisse présager le pire !
Voyez, ce serait si simple si la loi et les règlements étaient respectés, avec en partciulier le respect des droits de la défense ! Mais je vous l’accorde, je suis en train de rêver le monde à l’envers !
Le seul respect des règles et de la loi changerait pourtant beaucoup de choses : la confiance renaîtrait ! Paul VILLACH