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Commentaire de To

sur Violences juvéniles et « pathologies de l'agir »


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To (---.---.139.70) 29 juin 2006 15:06

Un virus n’est pas malveillant en tant que tel, c’est à dire qu’il ne réfléchit pas, il ne fait que agir et malheureusement est amené à tuer son hôte parfois.

Le connaître (le virus) nous permet de mieux le cerner et le comprendre.

Mais dans ce cas là le comprendre, n’a qu’un seul objectif : le vaincre en toute circonstance. Sommes nous des criminels de vouloir nous débarasser d’agresseurs même s’ils n’ont pas de rancoeur à notre égard ? Doit-on se laisser gentillement infectés ?

Je crois que vous aurez compris le parallèle avec la délinquance, sauf que pour cette dernière la malveillance n’est pas une chimère.

Des témoignages de victimes, vont dans ce sens (hors contexte du traumatisme qui est forcément partisan), où non content d’avoir agressés pour un vol, un viol (...) le/les délinquant(s) humilie la victime à terre (quand elle n’est pas morte) en lui faisant bien remarquer leur supériorité voir même (chose bizarre quand on les compare à des imbéciles) leurs connaissances des lois et leurs confiances facent aux interventions hypothétiques des forces de l’ordre.

Je veux bien, d’un remède « miracle » qui conduirait la plupart sur le bon chemin, mais dans l’immédiat je crains qu’il ne puisse être rapidement mis en place.

Et vous, si vous aviez un choix, qui privilégier : les victimes (passées / présentes et à venir) ou les délinquants (potentiellement inconscients de leurs actes) ?

N’oublions pas le couteau rentrant dans les chairs et butant sur l’os, après une telle douleur, peut-on ne pas à avoir à faire de choix ?


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