Pincez-moi, je cauchemarde !
Le racisme quotidien d’une classe plus ou moins nantie, au pays des lumières, est la négation des valeurs de la république démocratique.
Quand on ne sait plus saluer son voisin le matin, pourquoi vouloir être respecté par la jeunesse. L’exemple donné par la classe moyenne en France n’est pas toujours un exemple de paix sociale et de fraternité.
Manipulé par les médias, focalisé sur ses petits maux d’existence, toujours près à punir ceux qui ne moutonnent pas en rang, certains individus ont tourné le dos aux autres. Salissant l’idéal de liberté populaire qui n’est plus qu’un lointain souvenir, piétiné trop souvent au cours de l’histoire moderne de la France par une frange peu reluisante de la population bien pensante.
Le triste parti de l’ordre a bien souvent joué du désordre afin d’asseoir ses sanglants appétits de pouvoir.
Il attise la haine au quotidien. Celle des juifs, pour des prétextes économiques, celle des Africains pour des questions de territorialité. Il serait temps de sortir de notre caverne et de tenter de partager cette aventure humaine avec un peu plus de panache et de grandeur d’esprit, non ?
Il est donc complètement contre-productif de fustiger ceux qui souffrent du délit de sale gueule au quotidien.
Ouvrons leurs notre cœur, moi je l’ai fait et je n’ai depuis aucun problème avec quelque jeune que ce soit, croisé où que ce soit et à n’importe quelle heure.
La violence engendre la violence, car la violence est emètrice de signaux non-verbaux qui agresse celui vers qui elle est dirigée. Alors, contre cette violence que vous décriez tant, armez-vous de votre plus sympathique sourire et surtout : rappelez-vous comme vous vous êtes fait avoir durant votre jeunesse avec des concepts auto-destructeurs de productivités, de compétitions et autres déviances libérales qui détruisent le monde de demain !
Pensez-y longtemps avant de vous sentir obligé de répondre à ce message