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Deux magazines mensuels dont la vie fut courte, « Gnose » et « Don Quichotte », à vocation scientifique et dont les rédacteurs étaient, notamment, des physiciens, avaient eu le temps de démontrer que trop regarder la télévision nuit gravement à la santé. Assurément, le rayonnement lumineux doit avoir un effet pervers sur les nerfs optiques et partant, agir sur le cerveau.
Certes l’homme homo sapiens sapiens a de sérieux défauts de fabrication : il est hyper agressif, capable de fabriquer des bombes et de se grouper en armées pour exterminer ses semblables. Et l’agressivité innée des hordes de mâles humains est immémoriale.
Or, justement, c’est l’éducation qui est censée « canaliser », voire « sublimer » cette agressivité. La télévision, en offrant des images de réalisation de fantasmes les plus vils (argent facile, sexe facile, starac, loft story et autre abrutissements) ne fait que réactualiser les jeux du cirque que les empereurs utilisaient pour satisfaire la plèbe. On a vu ce que ça a donné (décadence). Et dynamiser l’agressivité latente des « jeunes ».
En somme, la télévision est un poison.
Vivre c’est agir. Lorsqu’on regarde la télé, on ne vit plus, du moins on ne vit plus que par procuration. Et cette absence de créativité-activité rend « nerveux »...
La télévision reflète la misère mentale de l’humanité. Pour 5% de Arte (et équivalent) les programme contiennent 95% de crétinisier...
Pour paraphraser un dicton, « une bonne télévision est une télévision en panne ».