On ne peut pas m’écarter du sujet comme ça ;)
Blabla ou pas, il faudra passer par un amplificateur pour passer de la nanotech à la l’echelle humaine, et ça risque de limiter l’importance de ce genre de curiosité.
Je vais encore m’illustrer par mon ignorance mais je persiste à penser qu’on dévéloppe tres difficilement un algorithme dont on ne connais pas le résultat. Comment fait on pour vérifier l’algorythme ? hum ? Pour faire la différence entre un état d’acceptation et un état puit ?
Et le code on le compile, on l’interprete ? Quel théorie de dessous de tout ça ? et on code en quel langage ? en Q++ ? En hard ? allez je me tais si j’ai ses précision !
60 nanos c’est pas quantique, ça ? ou c’est trop gros ? parce que c’est la finesse de gravure d’un µprocesseur à l’heure actuelle. L’architecture du processeur est toujours là même, Von Neumann revu par intel compatible 86x. Et pas fumeusement quantique.
Peut être suis-je du même niveau que les contemporains à Einstein, mais je suis curieux. Le mot quantique ne m’impressionne pas. Je ne sais pas ce que ça veux dire. ( moi j’ai pas peur ;)
La seule chose que je sais c’est qu’a partir de l’atome on ne peut pas prévoir un comportement d’un seul element. Et que le comportement le l’individu est tres différent du comportement d’un individu dans le groupe. Faire une machine avec truc qui ne font pas ce qu’on souhaite ? génial enfin un vrai générateur de nombre aléatoire !!!
Je me défausse sur une question philosophique, à quoi sert-il de batir des outils qui ne font pas ce qu’on leur demande ?