Sal’té de film, glauque et écoeurant, que j’ai vu hélas qui a dû faire bander la gauche de st germain des prés kassovitz est un nul cinéaste tape à l’oeil et immature quel merdier ce film !!!
quand on pense au cinéma américain on a HONTE !!!
faut-il être imbu de soi même pour se la jouer grand cinéaste quand on ne mérite même pas de porter la chaise de monsieur eastwood ou de mr de palma.
Je rêve d’un cinéma français CLASSIQUE avec des arabes et des noirs parlant (SE FORCANT A PARLER) un français parfait. C’est en imitant la beauté qu’on peut l’approcher, c’est le rôle de l’art. Doillon, kasso, kechiche et tous leurs clones donnent envie de vomir par leur FORME, s’ils veulent parler des banlieues qu’ils aillent apprendre leur métier chez grangier audiard ou duvivier. De plus kasso appartient à une génération de gosses (besson). Sa lamentation bétifiante et doloriste est une insulte au cinéma de toujours, ADULTE, les plus petits faiseurs du grand hollywood doivent se retourner dans leurs tombes, à voir les étrons de ce nain français de gauche.
J’ai vu 20 minutes des rivières pourpres et j’en suis resté là de ce cinéaste nullissime qui n’aurait sans doute jamais fait de film s’il n’avait été du sérail.
Quand je pense que le génial dantec a vendu son bouquin babylon babies à ce con, faut-il donc qu’il ait eu besoin d’argent ou qu’il soit dépassé en affaires.
En tous cas ce ne sont pas les idées qui les unissent, jamais vu deux types aussi opposés : un génie et un nul.
Mais qui sait ? je n’ai pas vu tous les films de kasso (peu nombreux au demeurant), notamment son dernier film américain, je suis peut-être mauvaise langue. (d’ailleurs je change parfois d’avis quand je revois les films, mais pour la haine c’est cuit, je ne reverrai jamais cette horreur). Contrairement à tous les antifaschistes de profession qui condamnent les jeunes skinneads pour l’éternité, je pense que tout est possible dans la vie et que rien n’est irréversible, et que même une petite merde de réalisateur égocentrique peut finir, avec le temps, avec l’expérience, en laissant venir à lui la modestie, l’humilité, l’admiration et le respect des valeurs des anciens, à faire quelque chose de convenable.
ps : souvenir du sourire géné de de niro à deauville, à qui on montrait le passage « ressemblant » avec taxi driver...