Dans les yeux d’Emilie...
L'amour qui suit le rythme des saisons, le bonheur d'aimer assimilé à un soleil rayonnant, ce sont là des thèmes traditionnels que l'on retrouve dans cette chanson de Joe Dassin dont le texte a été écrit par Pierre Delanoë et Claude Lemesle, et la musique composée par Yvon Ouazana et Vivien Vallay.
Les auteurs ont su renouveler ces motifs par l'évocation de paysages et de saisons contrastés...
Le texte nous emporte dans un quartier du vieux Québec, où les rues chantent l'accent de ce pays et sont personnifiées, dotées de vie. On perçoit un pays de contraste où se côtoient tradition et modernité, avec de vieilles maisons et l'évocation de l'an 2000.
La description de l'hiver qui suit est saisissante : le fleuve Saint Laurent apparaît "prisonnier" de l'hiver, image très forte qui suggère bien les rigueurs de la saison...
Les jours et les nuits se ressemblent alors et on éprouve bien des difficultés à croire au retour de l'été : désespoir, tristesse, obscurité règnent en maîtres.
Mais, le refrain vient montrer que l'amour défie les saisons, il apporte au poète, malgré le froid, un soleil présent dans les yeux de la femme aimée, prénommée Emilie...
Des jeux d'opposition, "jour et nuit, mélancolie et joie de vivre" soulignent le miracle opéré par le sentiment amoureux : il transcende le monde, le sublime et le bonheur l'emporte sur tout.
Le printemps tant attendu par tous arrive enfin, symbolisé par la couleur verte, par "les gens qui sortent de la terre", par le renouveau du Saint Laurent.
Mais l'amour d'Emilie s'est évanoui et désormais, le froid envahit le poète : chaleur et lumières ont disparu... malgré l'arrivée du printemps. On retrouve des contrastes très forts entre le paysage et l'état d'âme du poète...
Ainsi, la chanson montre que l'amour est essentiel : il peut ensoleiller des jours tristes et une fois perdu, il fait oublier tous les bonheurs de la vie...
La mélodie endiablée insiste sur le tourbillon provoqué par le sentiment amoureux : un rythme rapide scande le texte et souligne la joie de vivre perdue...
Les sonorités de sifflantes, de chuintante dans le refrain traduisent la douceur associée à l'amour...
"Moi, j'avais le soleil
Jour et nuit dans les yeux d'Émilie
Je réchauffais ma vie à son sourire
Moi, j'avais le soleil
Nuit et jour dans les yeux de l'amour
Et la mélancolie au soleil d'Émilie
Devenait joie de vivre"
Cette chanson nous émeut, par sa simplicité, par ses jeux de contrastes, par cette association entre soleil et amour, par des images qui personnifient les paysages...
Cette chanson de Joe Dassin a plus de 45 ans, et pourtant elle n’a jamais autant été écoutée qu’aujourd’hui. Dans les yeux d’Émilie est en train de devenir l’hymne officieux de la Coupe du monde de rugby 2023.
Le texte :
https://www.paroles.net/joe-dassin/paroles-dans-les-yeux-d-emilie
Le blog :
http://rosemar.over-blog.com/2021/07/dans-les-yeux-d-emilie.html
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50 réactions à cet article
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Pfff !
une oeuvre, ça se ressent, ça se décortique pas
on dirait un cours de chimie . . .
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@Gégène
« Autopsie d’Emilie ». Charmant. -
@Opposition contrôlée
pourquoi avais-je ce même mot d’autopsie en tête ?!?
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Paroles de la chanson Le Petit Bonheur par Felix LeclercC’est un petit bonheur
Que j’avais ramassé
Il était tout en pleurs
Sur le bord d’un fossé
Quand il m’a vu passer
Il s’est mis à crier :
« Monsieur, ramassez-moi
Chez vous emmenez-moi ».
Mes frères m’ont oublié, je suis tombé, je suis malade
Si vous n’me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade !
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture"..
Que j’sifflais ce refrain,
Mon bonheur est parti
Sans me donner la main.
J’eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
Lui montrer le grand trou qu’il me faisait au fond du coeur,
Il s’en allait toujours, la tête haute, sans joie, sans haine,
Comme s’il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
J’ai bien pensé mourir-
Rosemar, si vous aviez été un seul jour au Québec, vous sauriez que l’exclamation favorite des Québecois à propos des Français, c’est « Maudits Français ».
Il est vrai que l’attitude parfois méprisante et arrogante de certains Français (des Parigots surtout, ils ont d’ailleurs la même attitude envers les « régions » françaises) à l’égard des Québecois, qu’ils considèrent comme des paysans à peine évolués, explique cela.
La même attitude envers les Suisses francophones explique aussi le rejet des Français en Suisse romande.
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@amiaplacidus
envers les belges, c’est pas mal non plus . . .
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@Gégène
Je l’imagine, mais je ne connais pas vraiment la situation franco-belge.
En revanche, j’ai étudié et vécu à Montréal un peu plus d’une année, il y a maintenant 55 ans, et les Français n’avaient pas vraiment bonne presse.
J’habite à 3 km de la frontière franco-suisse, et je dois dire que le comportement de certains Français explique le rejet des Suisses.
Et je dois dire que ce comportement est le même à l’égard des Haut-Savoyards « de souche », pour certains, nous sommes des « tout petits Savoyards »
(https://www.paroles.net/andre-claveau/paroles-etoile-des-neiges).Et après, les mêmes, s’étonnent de ne pas être bien accueillis.
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@amiaplacidus
tu connais sûrement Pierre Tourniaire, alors ?
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@amiaplacidus
PS j’interdis à rosemar d’étudier cette chanson !!!
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@Gégène
La réponse est oui.
Non seulement il chante bien Brassens, mais ses propres chansons sont merveilleuses.
Bref, tout pour plaire. -
@Gégène
Faut demander à Mélu...
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Vous êtes comme l’eau de Javel, vous enlevez toute la couleur d’un beau texte avec votre analyse insipide farcie de clichés. La fiche de wikipedia sur la chanson est plus réussie, c’est dire !!!
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@ZenZoe
« Après le succès international phénoménal de sa chanson d’amour L’Été indien de 19756, des paroliers Pierre Delanoë et Claude Lemesle, sur le thème de l’été indien en Amérique du Nord, d’où il est originaire, vendue à plus de 800 000 exemplaires en France et 2 millions dans le monde, Joe Dassin récidive entre autres avec le nouveau grand succès de cette chanson d’amour des mêmes paroliers, sur le thème des souvenirs à la fois nostalgiques et enflammés de son histoire d’amour avec Émilie, du Vieux-Québec, au bord du fleuve Saint-Laurent, au Québec »
extrait de wikipedia... vous aimez les chiffres !
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@rosemar
Au moins on apprend quelque chose. -
@rosemar
Mais il y en a des tonnes d’autres belles chansons.
Par exemple :
https://www.youtube.com/watch?v=iDNtxRoQIeg -
@ZenZoe
Passionnant, le nombre d’exemplaires vendus ! Il est vrai qu’on vit dans une société d’hyper consommation...
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@rosemar
Hyper cons, cela suffira ! -
@ZenZoe
Quelle tristesse ! On ne pense qu’à la consommation !
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@rosemar
Ce qui m’attriste, c’est vos réponses à côté de la plaque. -
@rosemar
Toujours à geindre sur un système auquel vous avez largement participé à établir !
Vous êtes totalement incohérente et vous enseignez ! -
@ZenZoe
Ce qui me consterne, c’est la platitude des réponses de Rosemar. Je pense que lorsqu’elle écrit « cliché » sur la copie d’un élève, elle sait parfaitement de quoi il s’agit, c’est une experte en la matière.
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@ZenZoe
Je complète :
Lorsque je lis les productions de Rosemar, je pense inévitablement à cette citation :
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Ceux qui savent faire font, ceux qui ne savent pas faire enseignent, ceux qui ne savent pas enseigner enseignent aux enseignants et ceux qui ne savent pas enseigner aux enseignants font de la politique.
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Muriel Barbery in « L’Élégance du hérisson ». -
@troletbuse
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@amiaplacidus
Ceux qui savent recherchent ; ceux qui ne savent pas enseignent ; ceux qui ne savent pas enseigner écrivent des livres de pédagogie.J’ai entendu une autre version dans une cafeteria universitaire :
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Ne les écoutez pas rosemar, c’est une très belle chanson !
(Surtout si l’on compare avec les chanteurs, chanteuses et ectoplasmes bizarres d’aujourd’hui !)
Pour certaines, on dirait que j’ai marché sur la queue de mon chat...
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@Bonjour cevennevive
Personne ne critique la chanson, qui est très belle en effet, ce serait plutôt le traitement qu’elle subit sous la plume pas très inspirée de Rosemar qui cloche.
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@cevennevive
Sinon, d’accord avec vous sur les ectoplasmes d’aujourd’hui.
Sauf exceptions. Un proche m’a fait découvrir la chanteuse Hoshi, et je la trouve pas mal du tout, avec des textes inspirés qu’elle écrit. Enfin, des goûts et des couleurs... -
@cevennevive
Et aussi : vous marchez sur la queue de votre chat ??? -
@cevennevive
bien sûr que c’est une très belle chanson,
mais lui ouvrir le ventre pour voir l’intérieur,
c’est-y pas obscène ? -
@ZenZoe, bonjour,
Vous avez raison, c’est une très belle chanson, mais même une belle chanson souffre d’être décortiquée.
C’est le « travers » de rosemar qui ne voit les choses qu’à travers son métier d’enseignante...
Quant à mes chats (j’en ai deux) je ne marche pas sur leur queue bien sûr, mais je connais leurs cris : Juliette Armanet par exemple lorsqu’elle chante « le dernier jour du disco »
Mais c’est une affaire de goût. Je ne la supporte pas (parmi d’autres...) -
@Gégène
Pourtant :
http://rosemar.over-blog.com/2018/01/je-n-en-finirai-pas-d-ecrire-ta-chanson-ma-france.html
Elle est obscène ?
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@Gégène
sur agoravox :
https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/je-n-en-finirai-pas-d-ecrire-ta-204103
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@Gégène
Pourvu qu’elle ne remonte pas jusqu’à la conception de l’auteur ou de l’interprète !
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@rosemar
Mais je n’ai pas besoin qu’on m’éclate les parties
pour me faire aimer le tout !
Il suffit de dire « écoute ça » « lis ça » « regarde ça »
et que les chansons que j’aime me bercent littéralement,
me font ressentir L’INDICIBLE (voir la définition de ce mot) -
@Gégène
il y a des chanson si belles, j’en oublierais de respirer . . .
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@cevennevive
Ah, Juliette Armanet ! Je ne sais pas pourquoi, je n’ai pas envie du tout de découvrir cette chanteuse, bizarre non ?
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@rosemar
Vous voir faire référence à Jean Ferrat, c’est certainement une obscénité.
La France de Ferrat, c’est :
...
Cet air de liberté au-delà des frontières
Aux peuples étrangers qui donnaient le vertige
Et dont vous usurpez aujourd’hui le prestige
Elle répond toujours du nom de Robespierre
Ma FranceCelle du vieil Hugo tonnant de son exil
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle dont monsieur Thiers a dit qu’on la fusille
Ma FrancePicasso tient le monde au bout de sa palette
Des lèvres d’Éluard s’envolent des colombes
Ils n’en finissent pas tes artistes prophètes
De dire qu’il est temps que le malheur succombe
Ma FranceLeurs voix se multiplient à n’en plus faire qu’une
Celle qui paie toujours vos crimes, vos erreurs
En remplissant l’histoire et ses fosses communes
Que je chante à jamais celle des travailleurs
Ma FranceCelle qui ne possède en or que ses nuits blanches
Pour la lutte obstinée de ce temps quotidien
Du journal que l’on vend le matin d’un dimanche
A l’affiche qu’on colle au mur du lendemain
Ma FranceQu’elle monte des mines, descende des collines
Celle qui chante en moi, la belle, la rebelle
Elle tient l’avenir, serré dans ses mains fines
Celle de trente-six à soixante-huit chandelles
Ma FranceC’est aussi la France des riens, de ceux qui doivent traverser la rue, de ceux qui sont écrasés par, en ce moment, le macronisme, bref, celle des exploités.
.
C’est l’antithèse de votre France, celle du conformisme, de l’à-plat-ventrisme, du ronron, de l’alignement, des idées reçues, des Bouvard et Pécuchet, des Franchouillards, etc.
Alors oui, lorsque vous faites référence à Jean Ferrat, c’est une obscénité.
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@amiaplacidus
« ma France »....Jean Ferrat...
C’est une de mes chansons préférées, qui me remue les tripes a chaque fois.....
(« nuit et brouillard » bouleversante aussi...).... -
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@amiaplacidus
Mais heureusement, certains ne sont pas de votre avis !
« Merci rosemar
On pourrait vous dire qu’il suffit d’écouter la chanson pour en mesurer toute la richesse et toute la justesse.
Mais non, à moi qui l’ai écoutée 100 fois avec émerveillement, votre analyse phrase par phrase, expression par expression m’apporte beaucoup, et je ressens plus encore la véritable perfection de ce chef-d’oeuvre populaire. »
Commentaire reçu sur Ma France...
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@Pauline pas Bismutée
Pareil pour moi.
Ferrat, un grand parmi les grands, les Brassens, Ferré, Brel, Lavilliers et autres Reggiani.
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@amiaplacidus
un commentaire reçu sur Agoravox...
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@rosemar qui dit : « Mais heureusement, certains ne sont pas de votre avis ! »
La différence est sans doute due au fait que m’attache au fond, pas à la forme.
Je suggère à la petite bobo enseignante que vous êtes de consacrer vos prochaines vacances à faire le travail d’une caissière de supermarché, pardon, d’une hôtesse de caisse, si vous n’êtes pas trop regardante sur le salaire, vous devriez trouver un CDD.
En 2 à 3 semaines, vous pourriez commencer à envisager le début du commencement de la compréhension de la condition ouvrière.
Condition qui n’a strictement rien à voir avec les bonbons roses sucrés dont vous nous abreuvez. Le monde ouvrier, ce n’est pas les éditions Harmattan. -
@amiaplacidus
comme si le salaire d’une enseignante était mirobolant ! Vous rêvez !
Quant à la condition ouvrière, j’ai pu en voir toutes les difficultés : mon père était un simple ouvrier qui travaillait sur des chantiers maritimes. -
@amiaplacidus
Ou de, oserais-je, « technicienne de surface », ou encore brancardière, aide-soignante, infirmière (les « trop cons pour être toubib », comme la gentille « drouaaate » nous appelle sur ce site).Bon courage.
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@rosemar
Merci pour cette chanson que je ne connaissais pas.
Moi le gros bourrin qui n’aurais jamais l’idée d’aller au théâtre ou dans une salle de concert, je me suis un jour laissé traîner par ma femme pour assister à un concert de Joe Dassin. Le pauvre homme avait la grippe et devait avoir une fièvre de cheval. À un moment, j’ai cru qu’il allait s’effondrer. Mais le spectacle a continué.
Chapeau.
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@SilentArrow
MERCI pour ces souvenirs...
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@Rosemar,
Bein moi les zyeux d’Emilie, les ai jamais vus.
La levrette a ça de bon. Pas de pollution occulaire.
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