Chris Welch - The man who Led Zeppelin ...
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La formation pour devenir manager du plus grand groupe de rock n’roll lourd du monde ? catcheur, puis manager de Chuck Berry, des Everly Brothers et de Gene Vincent. Finalement c’est presque à la portée du premier venu, si ce n’est que Peter Grant est loin d’être le premier venu. Sens des affaires et méthodes convaincantes feront effectivement de lui un manager hors norme, respecté de son groupe, on ne peut plus hors norme et incarnation la plus crédible qui puisse être d’un zeppelin plombé humain. On se doute qu’avec pareil CV, la biographie de l’homme doit être plutôt passionnante et insolite. 12 ans au service de Led Zep, il doit bien en rester quelques anecdotes croustillantes comme des groupies à point.
C’est là que le livre déçoit quelque peu… D’anecdotes rock n’roll et, plus encore, d’anecdotes inédites sur le groupe, on ne trouve finalement ici que très peu de trace. Bien que le personnage abordé soit un monument historique de cette culture et un témoin privilégié, un acteur privilégié aussi tant il était directement lié au groupe, on a vraiment beaucoup de mal à s’interresser au récit bien sage de ses aventures au sein du rock n’roll circus. Non vraiment, c’est à peine si les jets de TV par la fenétre des hotels sont abordés et, quand on connait le nombre de légendes qui courent sur les after shows du groupe, on reste complétement sur sa faim. Voilà pour le fond. Quant à la forme, on peut parler d’une forme de littérature télévisuel, le récit de la vie de Peter Grant étant sans cesse émaillé de témoignages divers et variés, rapportés tels quels entre 2 guillements qui rend, surtout quand les témoins d’une même scène sont nombreux, difficile le suivi du récit et pour le moins haché. Même avec la plus mauvaise foi du monde, il est difficile d’imputer ce genre de problème au traducteur, comme il est de coutume lorsque l’on trouve qu’un livre est mal écrit et que l’on voudrait quand même croire qu’il n’est pas si mauvais que cela.
Malheureusement donc, malgrè un titre excellent, une couverture de toute beauté et un sujet en or, riche de promesses, ce Man who led zeppelin tombe un peu à plat. Il y a suffisament de livres dédiés au groupe comme çà pour que vous ne perdiez ni votre temps, ni votre argent avec celui-ci, ce qui est finalement bien dommage car l’approche proposée pouvait laisser espérer beaucoup mieux.
C’est là que le livre déçoit quelque peu… D’anecdotes rock n’roll et, plus encore, d’anecdotes inédites sur le groupe, on ne trouve finalement ici que très peu de trace. Bien que le personnage abordé soit un monument historique de cette culture et un témoin privilégié, un acteur privilégié aussi tant il était directement lié au groupe, on a vraiment beaucoup de mal à s’interresser au récit bien sage de ses aventures au sein du rock n’roll circus. Non vraiment, c’est à peine si les jets de TV par la fenétre des hotels sont abordés et, quand on connait le nombre de légendes qui courent sur les after shows du groupe, on reste complétement sur sa faim. Voilà pour le fond. Quant à la forme, on peut parler d’une forme de littérature télévisuel, le récit de la vie de Peter Grant étant sans cesse émaillé de témoignages divers et variés, rapportés tels quels entre 2 guillements qui rend, surtout quand les témoins d’une même scène sont nombreux, difficile le suivi du récit et pour le moins haché. Même avec la plus mauvaise foi du monde, il est difficile d’imputer ce genre de problème au traducteur, comme il est de coutume lorsque l’on trouve qu’un livre est mal écrit et que l’on voudrait quand même croire qu’il n’est pas si mauvais que cela.
Malheureusement donc, malgrè un titre excellent, une couverture de toute beauté et un sujet en or, riche de promesses, ce Man who led zeppelin tombe un peu à plat. Il y a suffisament de livres dédiés au groupe comme çà pour que vous ne perdiez ni votre temps, ni votre argent avec celui-ci, ce qui est finalement bien dommage car l’approche proposée pouvait laisser espérer beaucoup mieux.
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