Danses provençales : le Passé, le Vrai, le Beau, la Poésie à l’honneur !
Des jupons qui volent, des tissus provençaux aux motifs variés, des coiffes à l'ancienne, de savants chignons, des dentelles... pour un spectacle de danses traditionnelles de Provence, organisé dans un cadre prestigieux : les Jardins de la Fontaine à Nîmes.
Un spectacle rythmé par les instruments traditionnels de la Provence : des fifres, des tambourins, des galoubets...
Un spectacle empli de charme, et d'élégance : des costumes chatoyants, des danses d'autrefois, des musiques douces, harmonieuses qui nous transportent dans le passé...
Après une petite introduction musicale, ce sont des fillettes qui ouvrent le bal : on admire leurs robes colorées, leurs sourires, leur application dans l'exécution de la danse...
Pas de fête provençale sans farandole : et c'est la farandole technique que nous offrent danseurs et danseuses. La farandole est une danse traditionnelle, considérée comme la plus ancienne, la plus caractéristique et la plus représentative de la Provence.
On est charmé encore par la danse des jardinières avec leurs arceaux de fleurs, une danse qui accorde certains attributs magiques aux arceaux. Cette danse était à l'origine, liée aux festivités de printemps...
Quelle fraîcheur encore avec la danse des chapeaux ! Une bien jolie ronde où les chapeaux virevoltent entre les mains des danseuses...
La Mazurka souto li pins nous fait ensuite entendre la belle langue de Provence...
Refrain
Venès, que l’ouro s’avanço,
Es fèsto au mas d’Escanin.
La mazurka, gènto danso,
La faren souto li pins. (bis)
Venez, que l’heure s’avance,
C’est [la] fête au mas d’Escanin.
La mazurka, gracieuse danse,
Nous la ferons sous les pins. (bis)
1er couplet
Galanti chatouno,
Amourous jouvènt,
La roso boutono,
Ansi nous counvèn.
Aujourd’uei qu’es fèsto,
Anen la culi,
Qu’en danso moudèsto
Devèn trefouli.
Charmantes jeunes filles,
Amoureux jeunes gens,
La rose boutonne,
Ainsi (cela) nous convient.
Aujourd’hui (que) c’est fête,
Allons la cueillir,
Qu’en danse modeste (sage)
Nous devons tressaillir de joie (nous égayer).
La danse des fileuses nous montre que la quenouille était l'arme de la femme. La Provence était région d'élevage et de regroupement des bergers. Aussi la laine a une grande importance et les fileuses un grand pouvoir magique, faisant et défaisant les liens de la vie quotidienne et ceux de la destinée. Les danses à liens évoquent le système solaire et la dépendance des planètes par rapport au soleil.
Les jeunes bergers qui venaient conter fleurette à ces fileuses étaient bien vite remis à leur place et proprement ficelés ! La danse des fileuses est liée à la séduction : un berger qui courtise un groupe de fileuses.
Dans la Volte, le cavalier fait virevolter sa partenaire...
Au pays des marins-pêcheurs, la danse simule la pêche avec des filets et des paniers pour recueillir les poissons et les produits de la mer... La danse simule aussi les gestes propres à la navigation afin d’attirer les bonnes grâces des divinités, de la mer ou des éléments.
Les Cordelles mettent en scène la roue, emblème solaire. Les Cordelles font partie de ce que l’on appelle les danses astrales ou cosmiques (liées au Soleil, à la Lune…) Elles figurent également une danse de métier, les Cordelles représentant le tressage de la corde.
Autre accessoire utilisé : Les Grelots. Munies de grelots, les danseuses exécutent des figures variées.
Le Pas Grec associe maîtres et élèves qui exécutent des pas compliqués en alternance.
Les Filles de Marbre ou le Ballet Provençal sont une danse très ancienne dont la reprise dans une pièce de théâtre de 1850 : "Le Ballet des Filles de Marbre", a été tellement popularisée que finalement le nom de la pièce a prévalu pour désigner la danse. Les danseurs forment un cercle dans lequel les mouvements de va-et-vient se font de droite à gauche qui représente la marée et l’influence lunaire puis chacun avance à son tour au centre du cercle en faisant l’enchaînement de pas qu’il réussit le mieux. Entre chaque solo, l’ensemble des danseurs reprend le pas du début.
Un autre accessoire utilisé : Le Tambourin : les danseurs frappent sur un petit tambourin pour chasser le mauvais sort.
La Mazurka est une danse d’origine polonaise qui s’est répandue en Europe au milieu du 19ème siècle, comme la polka ou la valse. Et on a le plaisir de découvrir la Mazurka de Nîmes...
Quel bonheur encore d'entendre la Coupo Santo, le merveilleux hymne provençal ! Le passé, la poésie, le vrai, le beau mis à l'honneur !
Coupe sainte
Provençaux, voici la coupe
Qui nous vient des Catalans
Tour à tour buvons ensemble
Le vin pur de notre cru.
Coupe sainte
Et débordante
Verse à pleins bords
verse à flots
Les enthousiasmes
Et l'énergie des forts !
D'un ancien peuple fier et libre
Nous sommes peut-être la fin ;
Et, si les Félibres tombent
Tombera notre nation.
D'une race qui regerme
Peut-être sommes nous les premiers jets ;
De la patrie, peut-être, nous sommes
Les piliers et les chefs.
Verse nous les espérances
et les rêves de la jeunesse,
Le souvenir du passé
Et la foi dans l'an qui vient.
Verse nous la connaissance
Du Vrai comme du Beau,
Et les hautes jouissances
Qui se rient de la tombe.
Verse nous la Poésie
Pour chanter tout ce qui vit,
Car c'est elle l'ambroisie
Qui transforme l'homme en Dieu.
Pour la gloire du pays
Vous enfin nos complices
catalans, de loin, ô frères,
Tous ensemble, communions !
Et cette jolie fête s'achève avec une grande farandole à laquelle les spectateurs sont invités à participer...
Bravo à tous les groupes qui ont participé à ce spectacle : Le Cordon Camarguais, Flour d'Immourtalo, Le Temps du costume Nîmes, Farandoleurs Cheminots Nîmois...
Le blog :
http://mtcn.free.fr/lyrics/mazurka-pins.php?lng=fr
https://www.gavaresse.fr/blog-lemasdelagavaresse/chanson-et-histoire-de-la-coupo-santo-la-provence
Vidéos :
49 réactions à cet article
-
Ça ne vaut pas la riverdance, mais ça permet de fantasmer sur le troussage à l’ancienne !
Z’avez pas intérêt à être des éjaculateurs précoces nos papys, le temps de déballer le colis...
-
@Clocel
ah, Monsieur est un fétichiste du jupon ?
parce que c’est quand même pas ces tromblons (à part deux ou trois gamines innocentes) qui t’émoustillent ?
si ?
alrs, c’est de la perversion pure -
-
«
le Passé, le Vrai, le Beau, »Émotion réactionnaire mais tolérée par la bien-pensance.
-
@Montdragon
On n’a plus trop l’habitude, avec la culture de la laideur qui prédomine actuellement...sous prétexte de faire « populaire »...
-
"Charmantes jeunes filles,
Amoureux jeunes gens,
La rose boutonne,
Ainsi (cela) nous convient.
Aujourd’hui (que) c’est fête,
Allons la cueillir,
Qu’en danse modeste (sage)
Nous devons tressaillir de joie (nous égayer)."
Pas très metoo tout ça.
J’espère que toutes les profs de français ont fait au moins 3 enfants pour perpétuer leurs antiennes misogynes.
-
Très bel article. Qui invite à la danse littéraire et un futur article sur les Félibres (ou fées libres).
La triple déesse (assimilée à la Lune) est aussi représentée sous un autre aspect.
En grec, ce sont les Moires, en latin, ce sont les Parques ou Fata (c’est à dire les Destinées), nommées aussi les Tristes Filandières.
Ce sont les trois déesses du destin, en rapport avec les trois phases de la Lune, le nom de Moire signifiant « quartier » (ou « phase ») de la Lune.
Les Moires sont la personnification de ces trois phases.
http://lunamoon.free.fr/les_parques.htm .
a triple déesse (assimilée à la Lune) est aussi représentée sous un autre aspect.
En grec, ce sont les Moires, en latin, les Parques ou Fata (c’est à dire les Destinées, nom qui donna le mot fatalité ), dites aussi les Tristes Filandières.
Ce sont les trois déesses du destin, en rapport avec les trois phases de la Lune, le nom de Moire signifiant « quartier » (ou « phase ») de la Lune.
Les Moires sont la personnification de ces trois phases.
Elles se nomment Clôtho, « la Fileuse », Lachésis « le Sort » et Atropos « Qu’on ne peut tourner ».
En fait, elles symbolisent l’aspect astrologique de la Lune, la fatalité que représente cette dernière par sa position dans le ciel lors de la naissance d’un individu.
-
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
MERCI pour ce message...
-
oh oh oh oh c’est pas du rosemar ça, c’est du Fergus !!!!!!
allo oui .....
Fergus c’est des photos de bretons et ici ce sont des vidéos de provençaous.
Ah ben oui zavez réson c’est bien du rosemar alors
bon j’vous quitte j’ai messe au vélodrome à Marseille
-
@Bendidon ... Wind Pilgrimer
tu dois être surmené avec toute cette route : hier au diner de Vrsailles avec Carles, aujourd’hui à Marseille avec François
t’arrives quand même à te reposer, j’espère ?
fais gaffe au burn out quand même -
Bonjour, Bendidon ... Wind Pilgrimer
Faux ! Je n’ai jamais illustré un article avec des photos de danseurs traditionnels bretons, ni publié de vidéos de ce genre de danses dites « folkloriques » version an dro ou laridé !
-
@Bendidon ... Wind Pilgrimer
Tu vas devoir pédaler avant d’arriver au vélodrome !!! fait gaffe aux pèlerins que tu vas reconnaître facilement...ils z’ont des ABAYAS toutes neuves !
-
Bonjour, rosemar
A propos de mazurka, je vous invite à écouter la plus belle, superbement interprétée par l’excellent groupe Mont-Joia : Mazurca de Sant-Andiou. Magnifique !
-
Cela dit, même à Nîmes le « folklore provençal » ne fait plus recette à en juger par l’assistance étique.
Personnellement, je n’ai rien contre ces groupes de danseurs traditionnels (toutes provinces confondues), mais je me demande s’il est bien raisonnable de rester figé sur des costumes du 19e siècle... -
@Fergus il vrai que les japonnaises...
-
Bonjour, Mélusine ou la Robe de Saphir.
Lesquelles ? Les adeptes du style harajuku auquel j’ai consacré mon dernier article ? Les geishas telles qu’on les rencontre dans certains quartiers ou villes, notamment à Kyoto ? Ou bien celles qui s’habillent à l’européenne pour aller bosser ou vaquer à leurs occupations ?
-
@Fergus je parle bien sûr de cette horreur : harajuku
-
@ rosemar
Allez, pour le plaisir, cet autre morceau de Mont-Joia : La finforleta (inclus le rigaudon de Fos). Superbe !
A toutes fins utiles, je vous suggère de vous intéresser également, entre autres groupes, à Perlinpinpin Folc et à Rosina de Peira, avec ou sans sa fille Martina. -
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Je vous taquinais, j’avais bien compris.
Cela dit, vous auriez tort de tout rejeter dans le harajuku : il y a des jeunes filles et jeunes femmes qui sont superbement habillées dans des robes longues (souvent blanches) agrémentées de rubans et de dentelles. -
@Fergus
Y’a aussi les déguisements en écolière à couettes avec minijupe...
-
@Fergus
J’suis snob
J’suis snob
C’est vraiment l’seul défaut que j’gobe
Ça demande des mois d’turbin
C’est une vie de galérien
Mais quand je sors avec Hildegarde
C’est toujours moi qu’on regardeJ’suis snob
Foutrement snob
Tous mes amis le sont
On est snobs et c’est bonChemises d’organdi, chaussures de zébu
Cravate d’Italie et méchant complet vermoulu
Un rubis au doigt de pied, pas celui-là
Les ongles tout noirs et un très joli p’tit mouchoirJ’vais au cinéma voir des films suédois
Et j’entre au bistro pour boire du whisky à gogo
J’ai pas mal au foie, personne fait plus ça
J’ai un ulcère, c’est moins banal et plus cher -
@Fergus
Personnellement, je n’ai rien contre ces groupes de danseurs traditionnels (toutes provinces confondues), mais je me demande s’il est bien raisonnable de rester figé sur des costumes du 19e siècle...
Il me semble que la culture populaire, car il s’agit de cela, est diverse, multiple et variée. Ces danses, ces costumes, ces usages, ces pratiques, .. ne sont souvent qu’une vision « idéalisée » d’un passé révolu sans aucun témoin. Comment pourrait-il en être autrement.
Par définition, la culture populaire laisse peu de traces, elle existe dans la mémoire des anciens, transmises de génération en génération, elle se transforme en une vision « folklorique ».
Ce qui est gênant, fréquemment, c’est de voir le dédain exprimé par certains pour nos traditions face à l’enthousiasme proclamé pour celles d’ailleurs ... Dédain d’une certaine frange de la société qui confond conservatisme et réaction...
-
Bonjour, Seth
Dans les sex-shops, peut-être.
Au Japon, mini-jupe ras-la-craquette avec la mode Kogal, mais pas de couettes. -
Bonjour, Aristide
Je partage vos réflexions.
-
@Fergus
Vous avez raison, le Hip Hop c’est un progrès, l’avenir c’est d’adopter la danse des ghettos noirs de New-York, pour la peinture les tags, et pour la conversation les fucker mothers traduits en français par Arthur dans les 4 tomes de Ta mère.
-
@Aristide
Reportez-vous dans la fin des années 70 et début 80. C’était surtout « la gauche » qui voulait se recoller aux traditions. On l’oublie vite. on lisait : GIONO, CLAVEL, BARJAVEL, l’Epervier de Maheux, BOSCO. ,.. D’autres préféraient la mouvance sartrienne. Berceau des futurs « bobos ». Qui ensuite tombèrent dans le tout à l’informatique. -
@Fergus
Au Japon, mini-jupe ras-la-craquette avec la mode Kogal, mais pas de couettes.
Ca dois plaire à Dutroux, sur ^^
Et peut etre meme à d’autres ici
Faut dire qu’entre ca ou le sac poubelle
J’vais finir par comprendre le wokisme et les LGBTQIA+
Ou faut un mix des deux pour certains carrément comblés genre ca ^^ -
Bonjour, Ouam (Paria statutaire non vacciné)
-
@Fergus
La météo n’était pas du tout favorable : elle avait annoncé de fortes pluies sur la région... mais finalement pas de pluie.
-
@Fergus
Ce sont de bien jolis costumes, pourtant !
-
Je vais de temps en temps au festival de Gannat consacré aux folklores du monde entier, l’intention est louable et les rencontres/spectacles/ateliers intéressants, cependant ce qui subsiste de ces traditions ne constitue pas dans la plupart des cas un témoignage d’une culture encore vivante.
En effet il y a deux sortes de groupes :
-les uns sont des groupes « artistiques » composés d’étudiants, d’universitaires, de personnes s’intéressant aux traditions anciennes, il y a un travail artistique et de mise en scène qui cherche à séduire, intéresser le public.
-Les autres moins spectaculaires au sens artistique, mais tout autant au sens de pittoresque ou de témoignage culturel comme un groupe d’Indiens amazoniens qui n’étaient jamais sortis de la forêt, sont « bruts de décoffrage », ils représentent ce qui reste encore de la vieille culture traditionnelle populaire.
Dans tous les cas les costumes sont remarquables, le vêtement fait partie du message.
-
Voilà, j’ai retrouvé le vinyl que j’écoutais en boucle en 1982. Quand je pensais m’enfuir à la Couvertoirade : https://www.google.com/search?sca_esv=567989033&rlz=1C1YTUH_en-GBBE1070BE1070&q=disque+de+danses+proven%C3%A7ales&tbm=isch&source=lnms&sa=X&ved=2ahUKEwi9uZb_j8OBAxWI1wIHHRGqD5wQ0pQJegQIDBAB&biw=1280&bih=619#imgrc=K7X0OkrLoGw0KM
-
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
Bine que ce soit très joli, s’« enfuir à la Couvertoirade », il faut avoir une mentalité d’ascète pour cela.
Car il n’y a rien sur place, hormis des brebis hors les remparts et une très belle lavogne. Mais surtout il ne faut pas plus de 15 à 20 minutes sans se presser pour en explorer toutes les ruelles et l’extérieur des remparts.
Cela dit, j’apprécie beaucoup le Larzac, notamment parce qu’on peut encore y admirer de superbes bergeries traditionnelles, avec d’impressionnantes voûtes. -
@Fergus
Parfois, on rêve d’évasion. En 1985, je suis malgré tout descendue dans le Lubéron. Deux mois à Banon pour ensuite monter sur Paris. A l’époque où le Pont Neuf était emballé. Merveilleuse période. J’ai vendu mon métier tisser... pour aller vers la peinture. -
@Fergus c’était l’époque des Cardabelles. Un trophée solaire venant du Sud de la France. Un peu comme les Roses de sables en provenance du SAHARA.
-
@Fergus
De 1979 à 1983, la Couvertoirade et le LARZAC étaient très recherchés et vivants... Une image paradisiaque. Ensuite la région s’est éteinte. Bien que des proches s’y sont accrochés. Certains en donnant des cours de peinture dans des Académies. -
@ Mélusine ou la Robe de Saphir.
La cardabelle, que j’appelle personnellement de son autre nom, carline, était jusqu’à un passé récent clouée sur les portes des maisons pour les protéger. Ce qui était nettement mieux que clouer des chouettes pour le même usage.
-
@Fergus
C.Malaparte rapporte qu’en Ukraine dans les années 43 les fascistes ukrainiens clouaient des gens aux arbres ....cf « La peau » . -
C’est chiant la Provence comme Occitanie... Ils parlent une langue qui sonne comme du Français occitanisé prononcé à l’angle droite sans finesse ni nuance, une espèce de folklore pour touriste. Pour faire local facile, vous ajoutez ia à chaque fin de mot frôôônçais et hop !
Pour la danse et la musique du bled (hors des importations, mazurkas et autres valses), c’est toujours pareil. Comme la bouffe coréenne, c’est toujours la même chose et les mêmes épices, instrumentation pauvres et petits sautillements sans intérêt.
On a du mal à comprendre cette Occitanie-là qui se prétend presque en être la perfection. Mais ils avaient le Frédéri autrefois !
Et petite question, Mlle Rosemar est-elle occitane ?
-
@Seth venant de vous, rien ne m’étonne.... vous êtes totalement incapable de saisir les nuances. Grossier personnage.
-
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Les Occitans donnent leur avis sur les autres Occitans, cele ne regarde pas les Belges natives de Renaix et ex d’Olivier... aghulon, nyssen, souzenelle, etc, etc...
Pour votre jugement, je préfère être un grossier personnage qu’une allumée qui se la joue en faisant rigoler tout le public.
-
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Et en plus vous devriez savoir que Seth n’est pas le dieu le moins agressif ni le plus raffiné, vous qui savez tout sur ce qui n’existe pas !
-
@Seth
Face à la castrophe annoncée, le rire est encore la meilleure thérapie.Un psychologue face à 70% de jeunes en dépression suite aux prévisions climatiques alarmistes n’a pas beaucoup d’outils pour les sortir de leur état. Nier le réel n’est pas la solution. Reste le détachement, la mythologie et le rire. Donner de faux espoirs est tout aussi dangereux. Juste apprendre aux jeunes à « ruser » avec le fatum. -
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Pour soigner une dépression, il vaut mieux aller voir le psychiatre qui va bien, croyez en mon expérience. On vous écoute mais en plus, il y a d’excellents anti-dépresseurs, on a dépassé le Prozac. Alors les psychologues...
-
@Seth Bref, un échec total. Quand le comprimé remplace la parole, c’est que la civilisation est bien en bout de course. Faites attention malgré tout. Prozac ou autres bidules peuvent accélérer l’ALZHEIMER. Le travail du psy étant un travail de MEMOIRE. Le « con » primé, lui aurait plutôt tendance à freiner celle-ci...
-
@Seth
LOL j’adore ton humour naturel et pas du tout quand tu es sous l’emprise d’un médicament inter-sidéral ! -
En plus, les études ont démontré que ceux qui utilisent des antidépresseurs ont bien plus de difficultés à avoir accès à la richesse de leurs rêves dans lesquels ils peuvent puiser une force pour résoudre leurs problèmes (quand le psy est capable de les analyser...). Et pour analyser, la base est de connaître l’histoire du monde et la mythologie.
-
Bla bla bla bla bla... Quand il y a urgence, les parlottes, pffff.....
Ce sont les anciens trucs des années 70 hippys.
Et ce ne sont pas les antidépresseurs qui annihilent les rêves mais les hypnotiques.
Et puis d’ailleurs je ne sais pas pourquoi je parle de truc sérieux.
-
Vivement la tenue arc en ciel avec une plume de paon dans le fion !
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON
