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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Le long sanglot des musulmanes...

Le long sanglot des musulmanes...

Bel hommage aux musulmanes, à leurs douleurs, leur vie de soumission, leur courage, cette chanson de Michel Sardou évoque, avec tendresse et émotion, le destin de ces femmes vouées à l'anonymat, la solitude, l'enfermement...

La chanson s'ouvre sur une évocation poétique et symbolique des paysages du désert : "Le ciel est si bas sur les dunes", "ciel et dunes" semblent se confondre, si bien qu'on a l'impression de "pouvoir toucher la lune"... Ce désert qui se mêle au ciel, c'est peut-être, aussi, une façon de mettre en évidence la toute puissance de Dieu, dans cet univers...

Ces paysages grandioses sont, ainsi, restitués dans leur beauté étrange et mystérieuse, paysages mystiques, et incendiés de soleil, si bien que la chaleur a l'air de sourdre de la terre : "pierres brûlées" et "toits" incandescents de blancheur de la ville algérienne de "Ghardaia" le suggèrent...

Puis, vient l'évocation des femmes, images traditionnelles de musulmanes voilées, cachées, entourées de silence... des images fortes d'enfermement dominent : elles sont "cernées d'un silence absolu, dans des jardins clos de solitude".

On perçoit, aussi, leur beauté hiératique, elles deviennent des "vierges de pierre, aux corps de Diane", déesse traditionnellement associée à la chasteté...

Mais on entend, aussi, leur "long sanglot", à travers des chants répétés, psalmodiés, le youyou des musulmanes.

Le refrain revient sur cette monodie "un cri, un chant", à la fois... L'antithèse souligne toute l'ambivalence de leur vie, une vie âpre dans des paysages de désert, l'amour, mais, aussi, la "gloire des hommes" auxquels elles doivent se soumettre.

On entrevoit une vie consacrée à l'homme qu'elles doivent servir, au risque de côtoyer la "mort".

Joie et douleurs sont mêlées dans ce chant : joie de l'amour, des enfants qui naissent, mais aussi souffrances et peurs qui viennent des "hommes et du ciel", en même temps. Cette association de ces deux termes permet de montrer la toute puissance des hommes assimilés à des dieux... On perçoit, aussi, "toutes les fureurs" de ces femmes : ce mot très fort met en évidence toutes les raisons qu'elles pourraient avoir de se révolter...

Leur courage est souligné et magnifié puisqu'on les voit "debout sur champs de ruines", "sous le vent glacé des collines"...

Elles sont comme des images figées, pour lesquelles "le temps s'est arrêté", une sorte de "crépuscule" qui les condamne à l'oubli... Le "crépuscule de Sanaa", ville du Yémen les recouvre comme leurs vêtements sombres.

Le dernier couplet est un véritable hommage aux musulmanes, à leur abnégation, leur beauté, leur douleur symbolisée par un cri, un "long sanglot", alors que "leurs amants s'endorment" paisiblement.

Le contraste est saisissant entre la douleur des femmes et l'impassibilité des hommes.

Les sonorités de gutturales, à la fin du texte, viennent souligner toutes les violences et les contraintes subies par les musulmanes : "un cri, la douleur, toutes les fureurs, elles portent, la peur, les forêts..."

Le texte est ponctué de quelques noms propres exotiques aux sonorités évocatrices d'un univers oriental : "Ghardaia, Sanaa, les forêts du Liban"... Ces mots ajoutent beauté et mystères à l'évocation de ces musulmanes.

La musique elle-même souligne le courage de ces femmes anonymes, elle s'intensifie dans le refrain : on perçoit comme un cri de révolte, une envie de vivre envers et contre tout...

 

Le blog :

http://rosemar.over-blog.com/article-c-est-un-cri-c-est-un-chant-125431521.html

 

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32 réactions à cet article    


  • bedeau bedeau 14 septembre 2019 20:26

    Ici, en France, elles nous disent que « c’est leur choix, leur liberté de femmes » d’être « voilées, cachées, entourées de silence... »

    faudrait savoir...


    • Aimable 14 septembre 2019 20:54

      @bedeau
      Haaaa mon brave Mr , les femmes ne sont pas a une contradiction près , c’est même une de leurs spécialités . smiley


    • Sozenz 16 septembre 2019 11:42

      @Aimable
      wouahahahah , encore un misogyne de base 


    • njama njama 14 septembre 2019 22:35

      Sardou comme vieux réac il mérite la Palme d’or, ex aequo peut-être avec son pote Delon


      •  Adibou Adibou 15 septembre 2019 10:33

        @njama

        Exact, sa chanson qui le représente le plus : la rupture tranquilou

         smiley


      • Aimable 15 septembre 2019 21:04

        @OMAR
        Dans son milieu les mots font , ce qui est parmi toutes autres considérations le plus important pour eux , marcher le tiroir caisse .


      • bebert titi 16 septembre 2019 15:27

        @OMAR
        Et si tu mettais les stats des pays musulmans on exploserait le compteur d’agoravovo


      • Decouz 15 septembre 2019 10:58

        A titre d’info :

        "La première prière mixte dirigée par deux femmes imames, Anne-Sophie Monsinay et Eva Janadin, a eu lieu ce samedi 7 septembre à Paris. Le projet Sīmorgh porté par le mouvement Voix d’un islam éclairé (VIE) s’est concrétisé par cette première cérémonie.

        "

        Une égalité entre les femmes et les hommes 

        Une égalité entre les imams et les fidèles

        Toute femme est libre de porter ou non le voile qui n’est ni interdit ni obligatoire mais relève du choix personnel.


        Tous les sermons sont prononcés en français et toute formule arabe est systématiquement traduite pour garantir la compréhension du discours par les fidèles.


        Aucune discrimination en raison de l’orientation sexuelle, du genre, de l’origine ou de la religion d’un individu n’est tolérée dans les discours et dans l’accueil.

        Tous les sermons sont prononcés en français et toute formule arabe est systématiquement traduite pour garantir la compréhension du discours par les fidèles.

        https://oumma.com/france-la-premiere-priere-mixte-dirigee-par-deux-femmes-imames/


        • Pascal L 16 septembre 2019 15:16

          @Decouz
          Ces femmes ont ma sympathie pour ce qu’elles ont le courage de faire, mais je crains qu’elles ne représentent qu’elles-même et un petit groupe de suiveurs. Il n’est pas facile de trouver des justifications de leur position dans le Coran. Elles sont en fait écartelées entre une admiration pour la société française et la tradition de l’Islam et la situation n’est pas confortable.
          Comme beaucoup de Musulmans dits « modérés », elle font un constat justifié mais n’arrivent pas à aller jusqu’au bout du raisonnement à cause de l’enfermement dans lequel elle ont été placée dès l’enfance.
          Les exégètes islamiques produisent des dizaines de milliers de pages pour interpréter chaque verset du Coran, mais le fondement même du Coran ne peut être discuté parce que le Coran est réputé être la parole même de Dieu qui ne peut se tromper. On oublie entre temps que le Coran nous a été transmis par des hommes qui ont très bien pu y mettre ce qu’ils voulaient pour stabiliser leur propre pouvoir. Dans ces conditions, apostasier, ce n’est pas rejeter Dieu, mais rejeter ceux qui ont transmis le Coran. Bien entendu, aucun de ces transmetteurs ne peut être associé à Dieu, car ce serait un plus grand péché que le meurtre (s. La Vache 191, s. La Vache 217)... La conclusion est que Dieu n’a jamais confirmé le texte du Coran et que personne ne peut être forcé d’y croire. 


        • Loatse Loatse 15 septembre 2019 11:27

          « Elle avait par mégarde ou par fatigue je ne sais, renversé la soupe. Mais l’offense était là, dans la tête de cet homme que tous ses collègues estimaient mais à qui , semble t’il il s’était mis à vouloir démontrer que chez lui, il était le chef !

           »Ah je ne vous dis pas comme elle s’est mangé le mur, MA FEMME...« .(avec respect tout de même ; il n’a pas dit »l’idote ou l’imbécile« )... ajouta t’il en riant, riant, riant... (un rire frais, bon enfant, presque communicatif ...

          C’était pourtant un bon p’tit gars, très sympathique, un bon travailleur consciencieux, bosseur...a do rable me précisa le témoin de cette navrante histoire : »on lui aurait donné le bon dieu sans confession« 

          Les murs des cités ne parlent pas, les fenêtre ouvertes l’été laissent échapper des gémissements, des plaintes, des cris parfois qu’entre soi on tait le jour venu, entre femmes...honteuses.

          Parfois bonhomme s’oublie et corrige l’indocile hors les murs... Un ami, gentleman s’est ainsi empressé un jour de venir au secours de la corrigée... »vous n’avez pas honte ? s’écria t’il avant d’empoigner bonhomme qui, sur de son bon droit, tenait la pauvre femme par les cheveux, la secouant comme un sac de froment en lui filant des coups..

          C’est alors que la victime se jeta sur lui, en lui criant : Lachez mon mari !

          Mais madame, s’exclama mon ami, surpris de cette réaction, si je le lache il va vous tuer... !!!

          Melez vous de vos affaires, il a le droit : C’est MON mari !

          ............

          Le jeune K...35 ans, célibataire de mon quartier, qui voulait à tout prix me séduire, (jai l’âge d’être ta mère, tout de même !), et à qui je demande M’enfin tu n’as pas d’amie  ?

          -Oh j’ai eu. Mais voilà, elle voulait sortir, aller en boite avec ses copines

          Moi : et alors ? tu n’avais pas confiance ?

          -si, c’est pas ça, chez nous, l’homme il peut sortir, pas la femme. c’est comme ca !

          et puis, de toute façon, jamais ma mère ne l’aurait acceptée comme belle fille..

          Ah bon mais pourquoi ?

          -bin, elle était plus vierge !

          .....


          • njama njama 15 septembre 2019 13:20

            @Loatse

            Il y a le même genre de trucs débiles chez les Juifs ...
            le Mikvé toi connaître ? pour être « fréquentable » par ton mari ?
            https://fr.wikipedia.org/wiki/Mikv%C3%A9

            et les femmes juives qui une fois mariées doivent porter perruques pour sortir dehors...

            en fin de compte je me demande si les rites juifs qui eux-mêmes hérités d’autres plus lointains, n’ont pas influencé profondément (cf Paul de Tarse et les femmes), chrétien(ne)s et musulman(e)s...
            autre exemple, la circoncision attribuée à un soi-disant Commandement de Dieu ! ...
            tant que la religion ne sera pas débarassée de ses auto-proclamés hiérophantes ( rabbins, prêtres, imams, pasteurs...) leurs fidèles seront cornaqué(e)s par ces parasites opportunistes qui croient mieux comprendre Dieu (YWH, Allah) que le commun des mortels.


          • Étirév 15 septembre 2019 13:16

            Dans toutes les formes de la grande religion de la Nature qui régna si longtemps, dans l’univers tout entier, nous voyons à l’aurore de tous les cultes : la Femme
            La Femme-Esprit, chez les anciens Arabes, c’est l’Almée, en arabe Almet, d’Alam (savoir).
            L’Almée, c’est « celle qui sait ». Elle représente l’âme, c’est-à-dire la vie, que l’on appellera plus tard Alma, et dans certaines langues l’homme parlera encore à la femme en l’appelant Alma mia, mon âme.
            Nous trouvons aussi la Femme appelée Almageste (la très grande), mot dérivé du premier et dont on fera en grec Mégistê au féminin et mégistos au masculin, superlatif de Mégas (grand). Inutile de faire remarquer que c’est de ce mot qu’on fera Majesté. Après ce nom générique donné à la Femme, nous trouvons des désignations particulières telles que :
            - Allah-Taola, Divinité suprême adorée au Hedjaz.
            - Al-Lat, (l’Alilat d’Hérodote), dont le sanctuaire était à Tayt (Taïf), près de la Mecque.
            - Monat (Manat ou Manah), adorée à Codayd (Qudayd).
            - Al-Ouzza (Al-Uzza ou Al-Ozzâ), adorée à Makhla (Nakhlah).
            - Sawâha, Déesse adorée à Rohat, dans le Tihâma.
            - Shams, Déesse du Soleil (en hébreu Shemesh).
            Voyons ce que deviennent les femmes après l’islamisme.
            Les évolutions sociales sont lentes, les changements progressifs. Le coran avait inscrit l’avilissement de la femme dans ses lois ; mais les mœurs ne l’avaient pas encore accepté. Les femmes continuèrent encore à briller pendant quelque temps, en dépit du Prophète, de son Dieu et de sa loi.
            L’époque des khalifes qui succèdent à Mohammed est particulièrement brillante par les femmes de valeur qui s’y distinguent.
            L’histoire a gardé les noms de Badhlah, la poétesse qui chante une douce chanson dans les jardins de Baghdad, de Zubeïdah, femme du khalife Haroun Ar-Rashid, qui exprimait, dans des poésies délicieuses, l’amour et la douleur. C’était une étoile de première grandeur qui brillait dans le monde des lettres. Le chroniqueur Madouzi, qui a gardé sa mémoire, a exagéré son luxe et sa prodigalité. Le nom d’Abbassah, sœur du même khalife, est aussi resté dans le souvenir des anciens Arabes. Une autre femme poète, Oleïah, joua un grand rôle à cette époque. Par les accords de sa lyre, elle calmait les fureurs tyranniques du khalife Haroun Ar-Rashid. On raconte que, un jour, transporté de plaisir en entendant la belle voix de la chanteuse, il jeta tout le contenu de sa caisse sur la tête de celles qui accompagnaient la Diva, près de 6 millions.
            Renan nous apprend que « l’Islamisme lui-même eut une auréole pour Hind, fille d’Othobah, qui chantait à la tête d’un chœur de femmes, à la bataille d’Ohed, et contribua puissamment à la victoire des croyants ».
            Le khalife El-Motassem eut la pensée d’organiser un « Paradis terrestre », suivant les données du Coran. Ce livre faisait, en Arabie, le même effet qu’avait fait la Bible à son apparition. il faisait perdre la tête aux hommes. Dans les jardins de Zamara, sur le Tigre, il réunit les plus belles femmes qu’il put trouver ; singulière transformation d’une idée ! L’ancienne conception d’un lieu de délices où règne la vie spirituelle, devient un lieu de débauche où règne l’amour profane ! C’est ainsi que ces hommes dégénérés comprenaient le Paradis. Cela amena un changement profond dans les mœurs. La femme libre perdit sa valeur, et ce furent les esclaves qui se soumettaient aux caprices des hommes qui furent les plus estimées. Ces femmes esclaves coûtaient des sommes folles, surtout dans le Paradis de Zamara, où on dépensait le revenu de tout le royaume pour les amours du khalife.
            Il y avait à Médine une célèbre école de chant, d’où sortit la remarquable chanteuse Djemilah, qui évaluait chaque note de sa voix à un prix fantastique, ainsi que l’avait déjà fait, du reste, la célèbre Salamah, chanteuse esclave à Zamara.
            Salamah, Rabéïah, Soueïkah et d’autres régnaient en maitresses sur le cœur du khalife. Les villes les plus saintes d’Arabie, la Mecque, Médine, étaient des centres de luxe restés renommés dans les derniers temps des Abbassides.
            Les khalifes de l’Arabie étaient à la fois chefs spirituels et temporels (khalifat signifie vicariat). Ils se disputaient entre eux le pouvoir, et, pendant qu’ils étaient occupés de leurs intrigues, leurs femmes, profitant de la liberté qui leur restait, s’exerçaient dans toutes les branches de la science et des arts.
            C’est ainsi qu’on vit les femmes des khalifes provoquer une renaissance de la science. Une d’elles, Chodah, s’y fit surtout remarquer. Sa vie austère, livrée à l’étude, contraste avec celle des autres femmes de son temps, si occupées des soins corporels que réclamait l’entretien de leur beauté.
            Avec elle devaient s’éteindre les derniers élans de l’esprit féminin en Arabie.
            Quand les Mongols attaquèrent Baghdad et mirent fin au luxe des khalifes, l’influence et le charme de la femme intellectuelle disparurent de l’Arabie orientale.
            Une classe à part se forma dans l’Arabie méridionale, composée de femmes artistes, les chanteuses des cours des princes ; mais on ne les glorifie plus, l’envie remplace la louange, on les accable de tant de mépris que personne ne veut plus les connaître.
            Islamisme, Ismaéliens, Arabes et Touareg


            • Séraphin Lampion Séraphin Lampion 15 septembre 2019 15:04

              chez les musulmanes, le voile est un problème en soie


              • popov 16 septembre 2019 04:48

                @OMAR

                Comme héritage culturel, on peut faire mieux que le haik.
                Regardez les vêtements traditionnels des femmes indonésiennes. Ces vêtements sont maintenant de plus en plus remplacés par d’affreux attirails arabes qui font ressembler les collégiennes à des nonnes catholiques.


              • popov 16 septembre 2019 10:32

                @OMAR

                Qu’est-ce qui vous fait dire que je suis un « grand consommateur de vodka » ?


              • popov 16 septembre 2019 15:04

                @OMAR

                Qu’est-ce qui vous fait dire que je suis un « grand consommateur de vodka » ?

                Alors, pas de réponse ?

                Depuis un certain temps, vous m’accusez d’être un adepte de la vodka bien que je vous aie dit clairement que je n’aime pas les alcools forts.

                Mais vous continuerez évidemment à me traiter d’alcoolique, puisque le mensonge est la seule arme qui vous reste quand vous n’avez pas d’arguments.

                Et puis, c’est un mensonge halal, le genre de mensonge qui plaît à votre grotesque idole de Bédouins et qui a été permis par l’ordure que vous appelez « le prophète ».


              • popov 16 septembre 2019 01:51

                @rosemar

                Bonjour

                La femme grillagée.



                • popov 16 septembre 2019 10:35

                  @OMAR

                  Et, parmi ces 121 femmes, quel est le pourcentage de femmes tuées par un mahométan ?


                • rosemar rosemar 16 septembre 2019 12:49

                  @popov

                  Et c’est là le sort de beaucoup de femmes musulmanes ou non...


                • popov 16 septembre 2019 12:58

                  @rosemar

                  On y verrait plus clair s’il y avait des statistiques ethniques. Mais cela révélerait la monstruosité de la politique migratoire du gouvernement.


                • rosemar rosemar 16 septembre 2019 13:16

                  @popov

                  « Dans la région, on dénombre d’autres victimes, recensées par le Parisien : Michèle, 72 ans, morte le 21 janvier dans l’Hérault, une octogénaire le 1er février dans l’Hérault, Céline à 38 ans dans l’Hérault le 3 février, une sexagénaire le 14 mars toujours dans l’Hérault, Fabienne, 51 ans, décédée le 24 mars dans les Pyrénées-Orientales, une quinquagénaire tué le 29 mars dans le Gard, Chantal morte le 4 avril en Ariège, une jeune femme de vingt ans dans l’Hérault le 20 juin, et Michele, décédée le 23 juin dans l’Hérault. »

                  Ce ne sont pas des prénoms d’origine musulmane...

                  https://www.ladepeche.fr/2019/06/30/feminicides-70-femmes-tuees-par-leurs-compagnon-en-2019-qui-sont-les-victimes-en-occitanie,8287041.php



                • rosemar rosemar 16 septembre 2019 13:25

                  @popov

                  Mais on n’a pas les prénoms des assassins...

                  https://ripostelaique.com/feminicides-on-veut-les-noms-des-assassins.html


                • popov 16 septembre 2019 13:35

                  @rosemar

                  Ce ne sont pas des prénoms d’origine musulmane...

                  On parle de l’origine des meurtriers, pas de celle de leur victime !!!

                  Je ne dis pas que les Français ne commettent pas de violences envers les femmes. Je dis qu’il y a déjà assez de violences envers les femmes sans qu’il y ait besoin d’importer une population dont la religion permet cette violence.


                • bebert titi 16 septembre 2019 15:34

                  @OMAR
                  Omar m’a tué ???????


                • Aimable 16 septembre 2019 16:24

                  @rosemar
                  Même encore a notre époque les hommes ont du mal a extirper ce que l’on leur a enfoncé de mortifère dans crâne depuis 2000ans .


                • Aimable 16 septembre 2019 16:26

                  @Aimable
                  Com , pour le votre de 12h49


                • the clone the clone 16 septembre 2019 13:26

                  En tout cas ça ne les empêche pas de pondre 1 fois par an et de profiter de tous les avantages de l’état protecteur ....


                  • the clone the clone 16 septembre 2019 13:30

                    Et les longs sanglots des manifestants qui se sont fait crever un œil , qui se sont fait arracher une main , qui ont étés roués de coups par la police sanguinaire au « sévice » de l’état, les sanglots de la famille de la dame tuée sur son balcon a Marseille , ha non la ce ne sont pas des « chances pour la RANCE » .... 


                    • Jonas 17 septembre 2019 12:56

                      Rosemar, ( 1) 

                      L’islam est une religion arriérée et obscurantiste , elle l’est encore plus lorsqu’il sait s’agissant des femmes. La condition de la femme musulmane est définie par le Coran , mariage, divorce, adultère, polygamie , relations sexuelles , relations homosexuelles etc. et quel que soit l’habillage verbale rien ne changera , sauf pour quelques femmes courageuses , qui mettent leur vie en péril.

                      Lors de la 57e session de la Commission des Nations unies de mars 2013 a New York, , l’Union internationale des savants musulmans (UISM) s’en est pris aux Nations unies pour avoir défendu l’égalité des sexes et des résolutions interdisant la polygamie, le mariage des mineures et le viol conjugal.

                       Dans une longue déclaration , l« Union internationale des savants musulmans affirme »respectée« la diversité religieuse et les valeurs islamiques dans les accords internationaux , ainsi que dans tout autre document concernant les femmes et les enfants. L’islam affirme la déclaration , défend les droits des femmes et s’oppose à toute violence à leur encontre , tandis que l’ONU , elle présenterait , souvent des documents qui contredisent les principes religieux des nations islamiques , leurs valeurs et leurs honorables lois islamiques. , puis exercerait des pressions sur les gouvernements musulmans afin qu’ils signent ces documents.

                      Et l’Union internationale des savants musulmans ajoute ; outre que les résolutions onusiennes sur les femmes entendent » éliminer toute différence naturelle entre les hommes et les femmes , dans leurs rôles et leurs lois ". L’ONU , considère , tout ce qui suit comme forme de violence envers les femmes , qu’il faut éradiquer ; diverses lois islamiques , sur le mariage , le divorce , l’avortement , l’héritage et la garde des enfants ; le droit donné à l’époux d’avoir des relations sexuelles avec sa femme , y compris sans son consentement ; la responsabilité exclusivement réservée à l’homme de subvenir aux besoins de la famille ; l’interdiction aux femmes et aux filles d’avoir accès à des contraceptions ou des relations homosexuelles.  


                      • Jonas 17 septembre 2019 14:00

                        Rosemar (suite)

                        L’islam est une religion arriérée et obscurantiste, qui a peur des femmes. 

                        L’Union internationale des savants musulmans (UISM)( Savants dans quel domaine ? NDLR) exige que "l’ONU , comprenne la nécessité des valeurs , l’éthique et les lois des religions révélées scellées par l’islam , comme un moyen de préserver la paix et la sécurité internationale. Elle exhorte également les pays musulmans à adopter une position unifiée qui irait à l’encontre de la CHARIA, islamique et des religions révélées (...) 

                        (...) A l’heure où de nombreux pays arabes sont attelés à se construire , à bifurquer vers la démocratie et à créer un environnement propice au développement et aux progrès , les troupeaux de corruption et de perdition au sein de l’ONU, qui sont les ennemis de l’humanité , oeuvre pour miner les peuples arabes et les priver des éléments les plus précieux qu’ils possèdent : 

                        leur honneur et leurs valeurs , leur identité arabe islamique, et leur divine CHARIA. Ce sont leurs principales sources de force et de fermeté et leur raison . La soi-disant ONU n’est rien qu’une petite porte pour prendre le contrôle des sociétés et des peuples et un outil dans les mains des puissances impérialistes et du sionisme mondial, qui veulent vaincre les pays arabes et islamiques... Voilà un discours de soi-disant savants musulmans qui doit certainement aider les femmes musulmanes à évoluer et à s’épanouir , comme au Pakistan , en Afghanistan où les petites filles sont interdites d’écoles. 

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