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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Sandra Lou parraine la trilogie « La Porte » : retour sur un (...)

Sandra Lou parraine la trilogie « La Porte » : retour sur un phénomène

Décrit comme le nouveau Dan Brown français, A.-L. Douzet, inconnu du grand public voilà six mois n’arrête pas de multiplier les réussites. Sa trilogie déjà culte « La Porte » est désormais parrainée par la ravissante animatrice TV Sandra Lou. Retour sur une histoire de conte de fées.

Comme il le dit sur son blog, c’est en fumant son ultime cigarette à son balcon face à la cathédrale de Meaux que lui serait venue l’idée de la saga, La Porte. Une promesse ? Apporter à ses lecteurs la vérité sur un mythe contemporain.

L’histoire est tout de même intrigante :

Une nuit et tout un lundi auront alors suffit à créer un tableau d’ébauche de 81 chapitres pour 3 tomes.

De 2002-2007, Anthony-Luc Douzet, s’isole, voyage, revient puis s’isole à nouveau. L’écriture est devenue une drogue pour ce jeune enseignant de la région lyonnaise : "J’ai toujours énormément voyagé. J’aime aller à la rencontre de l’autre, comprendre son passé, ses traditions, mêmes les moins communes. L’archéologie est fortement liée à cette idée de renouer le passé avec le présent. Je n’aime pas abandonner les choses au temps. La Chine est un joyau à l’heure actuelle. C’est je pense l’un des plus beaux pays sur terre qui peut s’enorgueillir d’une longue et illustre histoire. Le pays a, je crois, plus de 2 200 musées... Ces visites ont été capitales pour moi. J’y ai découvert des choses inconnues en Europe et dans le monde occidental."

Octobre 2007 éclate la rumeur du pseudo A.-L. Douzet.

Pendant près d’un an (février 2007-janvier 2008), une rumeur a circulé autour de l’identité de l’auteur de la trilogie. M.-O. Fogiel, Guillaume Canet ou encore Romain Duris ont été soupconnés d’avoir écrit la saga.
Lors d’une interview, un journaliste s’est même permis de demander à A.-L. Douzet : "Alors, soyons sérieux, pour qui l’écrivez-vous ? Fogiel ? Canet ?"
Aujourd’hui un réel mystère plane encore autour du roman le plus vendu sur Facebook et à Lyon en novembre 2007.

Décembre 2007 : La Porte, tome 1, sort et déjà un journaliste du Progrès s’intéresse à cette mystérieuse saga. Ancien critique de polar, le journaliste n’aura qu’un seul qualificatif "Le nouveau Dan Brown" français.

Après cinq ans d’écriture, ce passionné de polars passe désormais ses mercredis à sillonner les venelles lyonnaises, tracts en mains, à la rencontre de ses futurs lecteurs ou autres fans.

Car La Porte, à ses débuts, s’est vendue dans les rues lyonnaises, et cela en a fait son atout majeur de vente. Comme le souligne A.-L. Douzet : "La Porte est le premier roman portant le nom de Street Bookster (comprenez la contraction de Book et de blockbuster). Un Street Bookster est un roman dont les ventes via la rue ou le web veulent égaler ou dépasser celles d’un best-seller (25 000 exemplaires) ou dont la renommée s’est construite grâce à un immense soutien local via la distribution de tracts, d’affiches publicitaires, etc. A ses débuts, un SBB n’a pas d’éditeurs".

Février 2008 : l’animatrice TV Sandra Lou apprend par la presse que le jeune auteur s’est inspiré de plusieurs de ses photos pour créer un personnage féminin très énigmatique du nom de Maryline. Le contact est pris, l’animatrice TV lit le tome1 en deux jours, en ressort "droguée", voire "trop impatiente de lire la suite", mais surtout fait part au jeune auteur de devenir la marraine de la saga. Réaction de la principale intéressée : "La Porte mérite le même succès que le Da Vinci Code : l’intrique y est aussi forte, les personnages tout aussi attachant et la plume d’Anthony-Luc Douzet, tout aussi fine !! Un best-seller en puissance... je pense !!"

8 mars 2008 : Une interview du duo paraît sur le site Télésphère et est lisible sur le site officiel de la star.

Le duo commence à l’heure actuelle une énorme aventure. Imaginez... un écrivain voit une de ses protagonistes devenir marraine.

Et l’oeuvre en elle-même ? Une fois entamée, impossible de la lâcher. La Porte, premier tome d’une trilogie qui mêle intrigue policière et univers fantastique, ressemble à une sorte de puzzle palpitant à travers les âges et le monde. La porte tombeau d’un prince roumain se trouve mystérieusement profanée, ce qui pousse l’agent d’Europol, Richard Pleasance à mener l’enquête.

Entre la Grèce du Moyen Âge et le Pékin de 2008 se cache peut -être la clé qui mène à la vérité sur un mythe contemporain. Au travers de trois histoires parallèles que le lecteur devra lire dans une construction romanesque inédite, La Porte offre la vérité sur un mythe populaire contemporain. Tragique histoire maintenue occultée durant cinq siècles, que seuls les voyages de l’auteur ont permis de dévoiler...

Mais La Porte a une force en plus que le simple polar fantastique. A.-L. Douzet et Frédéric Dupain (dessinateur bordelais de bandes dessinées) ont créé un vrai roman codé avec une dizaine d’illustrations guidant le lecteur dans la résolution du puzzle."Nous avions un vrai désir de renouer avec le grand livre d’aventures illustré par Gustave Doré", souligne l’auteur lyonnais.

Indéchiffrable si elle n’est pas lue page après page, La Porte aura deux autres battants, La Boule de la porte (2009) et Le Sang de la boule (2010).

Site officiel : www.la-porte.fr

Site officiel de Sandra Lou : www.sandralou.com


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5 réactions à cet article    


  • tvargentine.com lerma 3 avril 2008 13:40

    Ou est l’esprit critique,car l’article ressemble comme deux gouttes d’eau à du publi-reportages comme sur un bouquin comme aiment le pratiquer les médias traditionnels. ???

     

     


    • G-max 3 avril 2008 14:41

      AU vu de la marraine, je confirme, oui, conte de fees !

      sacrée histoire


    • Manuel Atreide Manuel Atreide 3 avril 2008 15:16

      @ l’auteur ...

      j’aurais aimé avoir quelques liens vers les articles et papiers que vous mentionnez. Peut être pourrais-je y trouver les analyses de ce "phénomène" que vous décrivez sans aucun développement critique ou analytique.

      Prenons un exemple, voulez vous : Vous dites que cette jeune animatrice a inspiré l’auteur pour un de ses personnages, qu’elle l’a su, qu’elle a aimé le bouquin et qu’elle le parraine.

      - Parraine comment, dans les faits ?

      - En quoi est-ce exceptionnel ?

      - En quoi cela -est-il intéressant ? A part le fait évident d’une bonne pub croisée, qu’est ce que cette association peut apporter au public de l’une, aux lecteurs de l’autre ?

      Vous avez, je crois aimé le livre. j’aurais aimé le lire plus distinctement. Là, j’avoue ne pas trop savoir où vous voulez en venir. Et cela peut passer, Lerma a raison, pour un publi rédactionnel assez pauvre.

      Quelques explications complémentaires dans les commentaires, afin de mieux satisfaire vos lecteurs laissés sur leur faim ?

      Manuel Atreide


      • Yohan Yohan 3 avril 2008 19:20

        @ rédaction d’agoravox

        Faudrait savoir : soit on ne passe pas ce genre d’article promotionnel soit on prend tous les autres

        Merci de répondre

         


        • Marcus 29 septembre 2008 20:26

          Plusieurs articles sur des auteurs ont été refusés par Agora parce que promotionels. C’est une politique rédactionnelle que je conçois. Mais pourquoi cet article de publicité rédactionnelle qui contredit votre ligne rigoureuse ? Ca fait tout drôle.

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