Ah tiens, hier soir, il y avait Ahmadinejad à la télé. A moins que ce ne soit Fidel Castro ou encore Rahmon.
Bref, il y avait un gus sorti de nulle part monopolisant le haut-parleur dans une sorte de pièce de théâtre héritée de l’ère soviétique.
Dans ce long monologue (vagal), on a pu distinguer ceci :
- Tout va bien chers compatriotes (à moins que ce ne soit camarades, je ne sais plus), la crise appartient au passé, nous développons de nouveaux axes, nous conquérons de nouveaux territoires, nous vaincrons les ennemis du peuple, vous serez bientôt tous riches et le meilleur : j’ai un petit-fils.
db