Mais on n’a toujours pas réussi à trouver un seul virus du Sida, ni chez un séropositif ni chez un malade du Sida. On trouve juste des éléments censés appartenir à un virus introuvable, qu’il faut amplifier par PCR pour les identifier, mais qui ne sont pas spécifiques du Sida et peuvent avoir une toute autre origine.
C’est quand même embêtant.
Parce que tous les virus que je connais, on les retrouve à des millions d’exemplaires chez les malades.
Si on ajoute le fait que les rétrovirus ne tuent jamais leur hôte, on se retrouve avec un virus vraiment exceptionnel.
Rappelons que les tests peuvent être positifs avec une soixantaine de maladies en dehors du Sida.
La grossesse fait d’ailleurs parie de ces maladies épouvantables...
Donc on trouve des séropositifs, ça c’est sur.
Mais des malades et des morts, j’ai cherché, on n’en trouve plus en France. Ca se saurait.
D’ailleurs, lisez cet article qui parle de la fameuse maladie mortelle. Elle parle bien de 900 cas de sida nouveaux annuellement en France, mais où voyez-vous qu’on parle des morts ? Et comment peut-on faire un article sur une maladie mortelle sans parler des morts ?
C’est donc une maladie mortelle qui ne tue pas, alors qu’1/6 des séropositifs ignorent qu’ils le sont et n’ont donc pas de traitement ?
Des SIDA, on en trouve dans les pays pauvres, forcément, la tuberculose et un tas de maladies liées aux carences alimentaires et au manque d’hygiène y fleurissent.
En fait, ce sont une quarantaine de maladies qui sont étiquetées Sida sans recherche particulière dans ces pays pauvres. C’est trop cher. Ce regroupement incongru fait grossir les chiffres, forcément..
Mais :
1) On peut être séropositif sans avoir le Sida, c’est le cas de la plupart des « dépistés » (on attribue cette absence de maladie au traitement qu’on leur impose par la terreur). On peut aussi penser qu’ils ne sont pas malades et qu’il ne leur est donc pas difficile de rester en vie.
2) On peut aussi avoir le Sida sans être séropositif.
Mais alors, que valent ces tests ?
Et qu’en est-il de ces 25,000 Français qui seraient séropositifs, chaque année, sans avoir la chance d’être dépistés ?
Pourquoi n’ont-ils pas le bon goût de mourir ni même d’être malades puisqu’ils n’ont pas de traitement et que cette maladie est censée être mortelle ?
Sida, ça veut dire Syndrome d’immunodéficience acquise. Ca existe, évidemment. Mais on peut acquérir une immunodéficience par bien d’autres moyens qu’un virus : drogues et carences alimentaires, et quelques autres causes, médicamenteuses par exemple.
Ce virus est bien commode pour imposer des tests et des traitements hors des prix à des gens terrorisés.
Mais qu’en est-il de sa formidable nocivité, quand, selon le Pr Montagnier, prix Nobel et inventeur du Sida, on peut en guérir avec une bonne alimentation et de l’eau pure ?
Et si la séropositivité n’était que la signature, assez hypothétique, d’une rencontre fortuite avec un virus non moins hypothétique mais parfaitement banal, lequel n’aurait même pas produit d’anticorps résiduels détectables, comme le fait toute autre maladie virale (encore une particularité extraordinaire) ?
Et si cette fâcheuse rencontre, sans conséquence en soi, déclenchait une formidable armada thérapeutique parfaitement inutile mais très iatrogène, ainsi qu’une terreur sans nom, dont chacun sait qu’elle affaiblit les défenses ?
Je vous laisse sur toutes ces questions, et m’apprête à en prendre plein la tronche.
J’ai maintenant l’habitude.