Elle était une folle à L’Ouest !
Déjà lâchée par son ancien lieutenant Vincent Peillon, ses soutiens ressemblent de plus en plus au désert de Monument Valley ! Il parait même qu’elle ne supportait plus son ancien amant Hollande qui portait à la fois une ceinture et des bretelles !
"Je ne peux pas désirer quelqu’un qui n’a pas confiance en son falzar !"
Elle alimente sa légende de femme solitaire qui brosse la crinière des chevaux égarés pour une alliance grise, mais sans la messe qui l’accompagne. Elle n’hésite pas à crier dans sa folle chevauchée, qu’ils ont massacré toute la famille socialiste, mais qu’elle ne baissera jamais les bras ! Noyée dans sa bravitude, elle jette ses dernières cartes sur les terres de son parti tenu par une autre courtisane au sourire barbelé et aux défenses d’ivoire, Martine Aubry, la tenancière aigri !
Mais à Solferino Town, les citoyens entonnent un chant de lassitude sur cette quête incessante du pouvoir. Ces plus piteux ennemis, tel que François Bayrou, lui tourne même l’échine. Et au sein du clan, sa folle détermination fait grincer les chicots cariés.
Allongée sur son lit de roses flétries, la belle esseulée du Poitou-Charentes, voit périr son avenir à travers de la dentelle noire et une pauvre maquette en bois vierge, où elle se surprend à jouer avec, de temps à autres, en imaginant l’Elysée gravé sur le petit panneau suspendu. Elle se murmure que l’humanité est privé d’amour et de fraternité et elle se voit amener, cheveux ébouriffés, vêtue d’une simple serviette de bain, un seau d’eau et un sourire à ses hommes... qui font marcher le train !
Une parodie d’©SB LE SNIPER.
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