J’ai fait mon service militaire dans les transmissions. On communiquait parfois en graphie (l’alphabet Morse).
Dans les manœuvres, on avait des téléphones mobiles gros comme le la cuisse, et pour alimenter nos bousins, on avait des gégènes à manivelles. Quel bonheur !
Aujourd’hui, le plaisir qu’ils ont à communiquer est inversement proportionnel à la technologie mise en œuvre, et dont ils se fichent éperdument, puisque aucun être humain n’est capable de les connaitre toutes en même temps. Et pourtant, je ne vous dis pas le plaisir de savoir comment ça marche.