DSK défendu par Natasha Kiss, actrice X : « Je me souviens encore de ses papouilles »
Et si le salut de DSK venait du cinéma porno ?
Nouveau rebondissement dans le feuilleton érotico-policier DSK, odacieux mélange de Derrick et de Kojak (deux joyeux pervers, l'un cachant on ne sait trop quoi sous son immense imperméable, l'autre passant sa vie à sucer... des sucettes), mais avec en plus du Sexe à l'intérieur !
On croyait l'ancien patron du FMI agressif envers les demoiselles, pressant, et même Manimal : Tristane Banon la romancière l'avait qualifié de "chimpanzé en rut", Martina la journaliste nous avait brossé le portrait peu reluisant d'un homme qui pratiquait une forme particulière d'échangisme - le chantage - exigeant d'elle un rapport sexuel en échange d'une interview, Irma Nici la prostituée bosniaque nous avait dépeint un client "agressif", un "animal", et la célèbre maquerelle Kristin Davis avait appuyé ce témoignage, déclarant que la première fille qu’elle lui avait envoyée l’avait trouvé agressif et ne voulait plus y retourner... Bouh, ça fait peur.
Mais voilà qu'un témoin de moralité vient contre-balancer tous ces méchants témoignages : celui de la star du X italien Natasha Kiss !
Triolisme avec Genghis Khan
Natasha Kiss assure en effet avoir eu des relations sexuelles avec Dominique Strauss-Kahn qui se seraient très bien passées. De quoi rassurer Anne Sinclair, qui doit avoir mal à la tête avec tous ces fichus ragots, qui décrivent son cher et tendre comme un homme des cavernes. La prétresse du hard se confie le 25 mai dans une interview au quotidien italien Corriere della Sera.
C'est dans un club privé parisien que Michelle Conti (c'est le vrai nom de Natasha Kiss) affirme avoir rencontré DSK il y a quatre ou cinq ans. Elle a décidé aujourd'hui de prendre la parole, prise de pitié pour un homme qu'elle avait à l'époque apprécié, et qu'elle n'imagine nullement être un violeur : "J’ai réfléchi avant de parler. Mais en voyant sur les journaux et la télé, qu’il (DSK) était traité comme un assassin, je me suis décidée", explique l'actrice. "Je me souviens très bien de lui. Je l’avais d’ailleurs immédiatement surnommé Genghis Khan." Pas sûr que la comparaison avec Genghis Khan soit la mieux choisie, quand on sait que cet empereur mongol est décrit comme "un conquérant impitoyable et sanguinaire"...
La donzelle voulait sans doute, par cette comparaison, attester de la fougue et de l'endurance de son partenaire d'un soir, qui sut honorer comme il se doit pas moins de deux femmes en même temps, dans un trio qu'on imagine des plus torrides : "Lui est au moins venu trois ou quatre fois [au club de strip-tease]. Un soir, il est venu tard. Nous avons bavardé et nous sommes allés à la maison avec une amie pour dormir". Voici le genre d'alibi dont un homme marié se passerait bien...
Des rateaux et des papouilles
Miss Kiss raconte avoir été touchée par la tendresse de son conquérant mongol aux appétits sensuels dignes de Rocco Siffredi. Selon elle, il était un véritable gentleman, puisqu’il "semblait encaisser les râteaux d’autres femmes avec beaucoup de classe". De quoi rassurer une nouvelle fois Anne Sinclair... son étalon ne réussissait pas à "trousser" à tous les coups. Au sujet de DSK elle affirme : "Le sexe est sa raison de vivre. Il était très doux. Il a essayé d’attirer l’attention d’une vieille dame distinguée mais elle lui lança un regard qui disait qu’elle n’était pas intéressée alors il lui a simplement rendu son sourire. Il a essayé avec d’autres, mais sans succès. Ce qui m’a attiré c’est le fait qu’il était un gentleman, malgré tous les râteaux qu’il prenait. Il s’est ensuite approché de moi et…"
Miss Kiss semble véritablement être tombée sous le charme du fauve prétendument affamé de la jungle, Shere Khan, transformé en la circonstance en gentil petit chaton câlin : "Strauss-Kahn n’était pas un lourd affamé de femmes comme il est dépeint. Il était très gentil, très bien élevé et ne s’est pas comporté comme un chien, comme ça arrive régulièrement. Au contraire ! Il m’a traitée avec douceur en me faisant des câlins. C’est ce qui m’a touchée. Il s’agit juste d’un libertin, rien d’autre", assure la jeune femme, qui ajoute, un brin émue et nostalgique : "Je me souviens encore de ses papouilles".
En tout cas, Natasha Kiss fait aujourd'hui la Une de la presse internationale. Une bonne publicité encore pour notre douce France... Si Dominique Strauss-Kahn sort indemne de son aventure judiciaire, il pourra toujours faire comme l'ex-Gouvernator de Californie, Arnold Schwarzenegger, lui aussi au coeur d'un scandale sexuel : revenir à ses premières amours à travers le cinéma... J'imagine bien un remake de La Piscine avec Natasha Kiss et DSK, en lieu et place de Romy Shneider et Alain Delon... Evidemment ce serait dans un autre genre...
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