J’étais en train de me promener sur la plage quand je fus attiré par des gémissements. Des cris d’extases qui contrastaient singulièrement avec le vrombissement continu, inquiétant et monotone des maudites vuvuzélas.
L’Afrique du sud vit certes à l’heure du football, mais ces plaintes ne ressemblaient en rien à des clameurs. N’écoutant que mon courage je me dirigeais vers l’attroupement formé par des admirateurs aux yeux écarquillés.
Le spectacle que je découvris alors était indescriptible. Ou plutôt non : dans un enclos de bonne taille, sur le sable, quelques filles superbes jouaient au football.
Les unes portaient le maillot blanc de la Mannschaft allemande, les autres, le maillot jaune à liseré vert de la sélection australienne. Rien d’extraordinaire à première vue si ce n’est une affiche alléchante et prometteuse. De toute évidence, les deux équipes étaient à égalité, ce qui ne fut pas le cas de la rencontre « officielle » qui vit la victoire de l’équipe d’Allemagne par quatre points à zéro.
Toutefois, ces filles s’activaient avec une ardeur inaccoutumée. Je compris soudain d’où venaient ces cris que j’avais entendus plus tôt, parfois semblables à ceux que poussent les joueuses de tennis pendant l’effort.
Il était clair que pour ces beautés blondes et brunes ce qui comptait alors c’était de donner le maximum de plaisirs aux hommes assemblés autour d’elles comme des taureaux en rut. La scène voyez-vous était cocasse. Généralement les taureaux sont dans l’arène. Mais cette fois les reines les excitaient en se jetant dans d’excitants corps à corps.
Je compris soudain pourquoi en regardant leurs maillots. Elles n’en portaient tout simplement pas ! A l’exception d’un léger cache-sexe masquant à peine leur intimité leur peau était peinte. Il s’agissait bien de body-painting. C’est pourquoi leurs poitrines tressaillaient au moindre geste.
Leur jeu était tellement furieux qu’on aurait pu penser qu’elles se croyaient sur le plateau de tournage d’un film porno. Je me tournai vers un spectateur et lui demandait naïvement quel était le but de cette exhibition peu commune sous cette latitude et par cette température ?
Mais monsieur, me dit-il, ces femmes sont des stars du X.
Ainsi donc, en Afrique du sud, pendant la coupe du monde de football, alors que des homme couverts de sueurs tapaient dans le ballon, des actrices du porno tripotaient la boule. Sans les mains. Un exploit.
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Réalité supportrices hollandaises arretées car mini jupes aux couleurs d’une marque de bière...
tiens je croyais que le orange était la couleur de l’équipe hollandaise, interdit ???
Grosse défaite ce soir de l’Afrique du Sud, temps pourri, la fète va etre de courte durée, on sent une ambiance en déclin, preuve que la com et les milliards ne remplacent pas la ferveur...
Les hommes sont vraiment des chiens décidément ! Une paire de nichons passe et le peu de lucidité dont la nature les a doté s’enfuit en courant. Triste monde et on ne s’étonne pas pourquoi !
En tous cas, bravo omnibuzz, votre article fait encore boum avec la première place dans le palmarès ! 4564 voyeurs, + 1, se sont jetés sur votre ballon mou et peint, en effet, c’est ce qui m’est arrivé quand j’ai voulu jouer avec elles...
Personne n’a encore compris comment le phénomène fouteballe et formule 1, enfin le sport en général est entouré de fossés profonds dans lequel tombent toutes les sportives décervelées en quête d’un cerveau. A défaut, elles se feront greffer des couilles au menton...