Mais où sont passés leurs morts ?
Cette épidémie coronavirus a provoqué de lourdes pertes humaines un peu partout dans le monde, et bien sûr en France, pourtant les comptes n’y sont pas.
Si l’on analyse le nombre de morts, toutes causes confondues, en France, de 2004, jusqu’à 2019, on constate une progression quasi régulière : 519 470 décès en 2004 jusqu’à 612 243 en 2019, soit en moyenne 6 120 décès supplémentaires par an.
Sur la base de cette progression, on pouvait imaginer pour 2020 que notre pays aurait eu 618 363 décès.
Globalement c’est la réalité constatée par l’Insee qui a annoncé pour 2020 : 617 197 décès, soit 1166 moins que prévu, alors que logiquement, avec « les morts du coronavirus », nous aurions dû avoir 64 921 morts supplémentaires dus au virus.
En effet, s’il faut en croire les statistiques officielles, il y a eu en France au 18 décembre 2020, 59 733 morts du coronavirus. lien
D’après une autre source, comptabilisant les décès jusqu’au 31 décembre 2020, le chiffre des français passés de vie à trépas est de 64 921. lien
Autre étrangeté, dans un article paru dans Huffpost, on estimait qu’il y aurait, toutes causes confondues, 650 000 décès en France en 2020, ce qui est faux. lien
Plus étonnant encore, l’Insee affirmait que l’excès de mortalité du au coronavirus serait de 59 619 décès...
Mais on va de surprise en surprise lorsque l’on apprend que, toujours d’après l’Insee, qu’entre le 1 janvier et le 7 décembre 2020, 617 197 décès seraient survenus en France...alors que l’Insee en avait recensé 613 343 pour toute l’année 2019. lien
Quel est donc ce mystère ?
Où sont donc passés les morts du coronavirus ?
Il ne s’agit pas ici de contester la présence du virus mortel en France (et ailleurs), mais de s’interroger sur les chiffres publiés régulièrement ici ou là, assurant qu'il y aurait une mortalité de plus de 60 000 morts dus au coronavirus...
Mais alors, comment expliquer ce décalage ?
Un élément de réponse est donné par le journal « l’Indépendant », évoquant des « erreurs de transcription » et assurant qu’à maintes fois, SPF (Santé Publique France) avait accumulé des erreurs. lien
Mais il y aurait d’autres erreurs, comme celle constatée par Christophe Lugnot, directeur de cabinet de l’ARS (Agence Régionale de Santé), lequel évoquait le cas d’un décès classé par erreur mort du covid. lien
Et ce n’est pas un cas isolé, j’ai moi-même enregistré les témoignages de plusieurs personnes qui vont plus loin, affirmant que des personnes mortes d’un cancer avaient été volontairement classées « Covid-19 ».
Olivier Demeulenaere ajoute dans son blog : « plus de 40% des décès dus au covid sont des personnes qui sont malades, ou sur le point de mourir de toute façon ». lien
Pour aller plus loin, il faudrait une enquête indépendante qui recueille tous ces témoignages, faisant ainsi éclater une autre réalité...
Nos voisins outre-Manche ont fait la même constatation, amenant Matt Hancock, le ministre de la Santé, à réagir et à demander « de procéder à un examen urgent de la manière dont les statistiques des décès sont rapportées afin d’apporter plus de clarté sur le nombre de décès liés au Covid-19 ». lien
Autre étrangeté, la grippe hivernale habituelle a quasi disparu de nos écrans...lien
Qu’est-elle devenue ?
Rappelons qu’elle faisait, bon an, mal an, entre 10 000 et 15 000 morts. lien
A ce stade de la réflexion, il n’est pas inutile de souligner qu’au Japon, il y a eu plus de morts par suicide en octobre que du Coronavirus pendant toute l’année...chiffres qui mettent en lumière les conséquences de la pandémie sur la santé mentale...lien
Les responsables alarmistes ne devraient-ils pas être mis devant leurs responsabilités lorsqu’ils ont agité le drapeau rouge d’une deuxième vague en perte de vitesse...
Il n’y a pas si longtemps, Olivier Veran affirmait, sur la base de réflexions des dirigeants des Ehpads, qu’il y aurait 100 000 morts en France dus au Coronavirus ? lien
Terminons par une publication du Professeur Christian Perronne du 2 janvier 2021, publication qui mérite le détour. lien
Extraits :
« La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille. (...) Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. (...). Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première. Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Élysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.
Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit non moins de 400.000 morts, (lien) renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués.
Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-COV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact. Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. (...) Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. (...) Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.
Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.
Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or, on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible. Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05 % ? Aucun.
Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices. (...) Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse. Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connaît absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? (...)
Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (...), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement.
Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde pour des cobayes. (...).
https://www.salonbioeco.com/uploads/news/thumb_w384h250zc2q95__37.png
Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble. Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe. La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus ».
Un article récent confirme les dangers d’utiliser ce vaccin... à chacun de décider. lien
Les propos du lanceur d’alerte qu’est le professeur Christian Perronne, n’ont pas fait l’affaire du directeur de l’AP-HP, Martin Hirsch, celui-là même qui est l’un des artisans de l’affaiblissement du système sanitaire français. lien
...il a donc décidé de suspendre le professeur de ses fonctions. lien.
Une pétition pour soutenir le Professeur est sur ce lien.
A découvrir, le crime parfait, d’Olivier Probst.
Comme dit mon vieil ami africain : « la nuit dure longtemps, mais le jour finit par arriver ».
Le dessin illustrant l’article est de Malagon
Merci aux internautes pour leur aide précieuse.
Olivier Cabanel
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