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L’analyse de la Psy

Postface du livre : "Jeunes mariés, Tricia et Ethan, vivant dans un appartement étroit de New York, recherchent la maison de leurs rêves. Alors qu'ils visitent un manoir isolé ayant appartenu au docteur Adrienne Hale, psychiatre renommée disparue sans laisser de trace quatre ans plus tôt, une violente tempête de neige les piège sur place. Et la maison n’a rien d’un cocon rassurant... Il y a ces empreintes de pas récentes sur le parquet, ces bruits à l’étage, comme si quelqu’un vivait là. Pire encore : Tricia découvre une pièce secrète qui renferme les enregistrements audio de chaque patient du docteur Hale. La jeune femme les écoute les uns après les autres, tard dans la nuit. La toile de mensonges ayant conduit à la disparition de la psy se dévoile lentement. Mais déterrer de vilains petits secrets est un jeu dangereux, et lorsque Tricia écoute le dernier enregistrement, il est déjà trop tard...".

Préambule

Je ne vais pas déflorer l'intrigue. Je vais seulement mettre en relief les attitudes de la psy Adrienne en fonction de ce qu'elle disait mentalement avant sa disparition. Les incompréhensions et la peur de Tricia d'habiter dans l'énorme maison de cette psy. Son mari Ethan est enthousiaste de vivre dans la grande maison de la psy Adrienne qui est à vendre. 

Sous le pseudo Freida McFadden, l'écrivaine est médecin spécialiste dans les lésions cérébrales. Elle est auteure de thrillers depuis 2013. Le premier "Le diable s’habille en blouse" et en 2022, a obtenu un best-seller avec "La femme de ménage". 

Le scénario est décrit en alternance avec deux titres des chapitres.

"Avant" quand c'est la psychologue, psychiatre et écrivaine Adrienne qui se raconte.

"Aujourd'hui", quand c'est Tricia qui est mise en scène avec ses réflexions.

Le chantage est déterminant de bout en bout de l'histoire. 

Adrienne "Avant"  : "Comment allez-vous ?", les trois mots les plus inutiles de l'univers de la communication puisque tout le monde ment. Celui qui pose la question ne veut jamais connaître la réponse. Celui qui répond ne dit pas la vérité de peur de couper l'enthousiasme d'un interlocuteur. Le Smartphone est l'outil de la conversation moderne qui ne m'intéresse pas. Il a enregistré avec une orthographe parfaite dès l'introduction les premières lettres les questions potentielles et les options de réponses par un algorithme adapté. Cela ne m'a pris que 15% de ce que j'ai gagné. Une auteure de best-seller comme moi, n'est pas obligée de répondre à Page, mon agente qui promeut mes écrit. C'est moi qui décide et mon contrat d'édition a été conclu avec mon agence et pas avec elle. Les êtres humains ne supportent pas bien les rejets. J'enregistre toutes mes séances de thérapie. J'écrirai peut-être un mémoire avec mes expériences enregistrées. Le trouble de la personnalité narcissique n'a aucune espèce de conscience de ses défauts et montre aucun désir de changer. 70% des femmes assassinées l'ont été par un partenaire intime. Trouver un petit ami que l'on me propose est non seulement très moralisateur et insultant mais cela ne ferait qu'augmenter le risque que je connaisse une fin violente. Page a insulté ma maison et mes choix de vie. Elle a été la plus critique de mes manuscrits. Je refuse les patients avec lesquels je ne me sens pas à l'aise. Page croit que ses flatteries sincères et sa familiarité excessive vont me rendre aimable. Le fait de tricher ou d'enfreindre les règles se traduit après coup par un accès de bonne humeur dans un bref sentiment de libération de toutes les règles. Les fantasmes proviennent des psychopathes et des paranoïaques et font chanter le psyché avant de trouver les remèdes aux traumatismes. "Anatomie de la peur" est mon dernier roman. L'être humain n'aime pas que les choses aillent à l'encontre de ses attentes. Des hommes m'ont déclaré leur amour et je ne leur ai pas rendu la pareille. Ils sont statistiquement plus rapides à exprimer des sentiments amoureux malgré les stéréotypes qui prêtent le contraire. Je préfère ne pas avouer que mes parents ne se sont jamais soucié de moi et que c'était réciproque. Les gens comme moi sont destinés à faire seul. Je peux me permettre d'être agréable maintenant que la source de tous mes problèmes git en tas froissé sur le sol de mon bureau. Mes patients ont des troubles de la personnalité de SSPT.   

(Pat)Tricia aujourd'hui : "J'ai toujours rêvé d'être la meilleure amie de mon mari. C'est moi qui ai fait le premier pas. Ethan n'a pas eu beaucoup d'amis et de femmes avant moi. J'ai le pressentiment que la conversation avec lui, ne passera pas bien avec le grand tableau d'Adrienne aux yeux verts. Je vais lire "Shining" de Stephen King plus dans mon style. Un déclic me fait découvrir une pièce secrète contenant une bibliothèque de cassettes avec les initiales, un numéro, une date et une couleur. Les consultations d'Adrienne sont enregistrées en violation des confidences reçues des patients.". 

Ethan aujourd'hui est le plus heureux des hommes. Il va quitté son appartement pour une grande maison loin de tout.

La conclusion du livre "La seule façon pour que deux personnes gardent un secret, c'est que l'une d'elles soit morte". 

L'auteure de ce roman a trouvé utile d'ajouter un guide avec des questions pour être sûr que tout a été lu et compris comme elle l'a écrit. 

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"ö travers de l’humain
On comprend des choses
Controversons nos travers
En vers ou bien en prose
Regardez-moi de travers
Je prendrai la pause
Moi je les aime mes travers
Donnez les vôtres
J’en ferai quelque chose
Ô travers de chacun
S’installent des choses
Traversez donc vos travers
Découvrez vos névroses
Découvrez-vous, et l’envers
Et trouvons la cause
C’est en connaissant nos travers
Que vient la métamorphose"

 

Réflexions du Miroir

Je n'en dirai pas plus au sujet de ce roman. Si vous pensez avoir compris l'intrigue du livre, c'est que vous vous trompez. Pas beaucoup d'indices de compréhension. L'étonnement viendra tout à la fin du livre.

Dès que ce roman de fiction "La psy" est paru, je me suis assuré de me le procurer.

Le 25 septembre, j'ai terminé la lecture de ce livre.

Le soir, le film-culte d'Hitchcock "Psychose" était présenté dans Classic Ciné. Présentation et Film. J'y ai trouvé quelques ressemblances avec le livre de Frida McFadden comme la maison énorme perdue au milieu de nulle part, les assassinats imprévus, l'argent, les personnages victimes de dédoublement de la personnalité...

Que peut-on dire en fonction des extraits au sujet de la psychologue Adrienne ?

  • Un certain mépris envers ses interlocuteurs qui se retrouvent dans les relations avec ses patients.
  • Un rapport entre eux assez froid, sans confidences, sans franchise, sans confiance et donc sans une cohérence avec les besoins du métier.

Les réponses aux problèmes psychologiques que j'avais repris dans les "Théories de psychologie " correspondent-elles aux réalités du terrain en apportant le succès par un retour au bonheur des âmes humaines et à leur complexité ?

Vu la complexité de l'esprit humain, je dirais qu'elles pourraient y répondre dans certains cas mais pas dans d'autres plus spécifiques.

Le top dix des pays où les psychologues sont les plus consultés, se retrouvent parmi les pays les plus riches, là où, en principe, le bonheur devrait être trouvé majoritairement pour atténuer les problèmes psychologiques. Dans l'ordre dégressif, on trouve : les Etats-Unis, le Canada, l'Australie, les Royaume-Unis, les pays scandinaves, les Pays-Bas, la France, l'Allemagne, la Nouvelle-Zélande et Israël. Les raisons se retrouvent derrière des facteurs très différents qui se rassemblent avec les possibilités de ces pays de rechercher parfois leur mal-être dans leurs autorités respectives et leur environnement dans lesquels les personnes vivent et se désynchronisent. La conclusion logique est que l'argent ne fait pas le bonheur même s'il peut y contribuer.

Quelques définitions des tâches de psys s'imposent.

Le psychologue, dans son cabinet ou au sein d'une institution, écoute et accompagne des patients en souffrance morale : enfants, adolescents, adultes, handicapés, prisonniers... 

Le psychanalyste est un thérapeute qui aide une personne à mieux vivre grâce à une cure inventée par Freud, en explorant son inconscient pour essayer de résoudre les conflits qui remontent à l'enfance et pèsent sur l'existence entière.

Le psychiatre est un médecin spécialement formé à établir un diagnostic et à prescrire des médicaments comme les psychotropes et par la parole et l'écoute.

En 2012, j'écrivais "Troublé par la personnalité" dans lequel il était question d'une relation avec un psychopathe et d'un alter ego qui s'attirait (il est décédé depuis longtemps) les sympathies sociales au bénéfice de sa propre image.

Les psys ne laissent pas indifférent. S'ils tentent d'apporter une solution aux problèmes de ceux qui les consultent, ils le font avec des idées apprises, "cousues mains", du magasin "Tout fait" qui ne correspondent pas toujours comme réponses au désarroi de ses patients.

Quand les psys y associent leurs propres problèmes privés qu'ils ne parviennent pas à résoudre par eux-mêmes de l'intime au collectif et du collectif à l'intime, cela risque de tomber sur des méprises.

La psychologue a, en principe, une relation entre lui et son patient indépendamment de son environnement.

Rien à voir avec la sociologie qui étudie les relations, les actions et les représentations sociales par lesquelles se constituent les sociétés pour comprendre comment elles fonctionnent et se transforment en y associant seulement quelques rapports individus - société.

La question est "Que recherche le patient chez un psychologue" ?

La même chose qu'un médecin pour son corps : recevoir une écoute d'un psychologue pour obtenir des conseils et des médications. 

Ces derniers comme les antidépresseurs, les anxiolytiques, les neuroleptiques, somnifères, etc. sont souvent des palliatifs, incompétents et imprécis comme la chimiothérapie en médecine pour réduire le cancer de manière générale.

Personnellement, j'ai reçu des cours de management avec des mises en situations de conflit et de compréhension des autres dans des jeux de rôles qui se produisent sur le terrain et non racontés sur un divan. Définir la différence entre ce qui est important et ce qui est urgent pour les projets à réaliser en gardant une bonne ambiance de travail dans une équipe. Un cadre professionnel n'est pas le même que dans un cadre familial et privé même s'il y a des confidences intermédiaires.

Dans mon domaine plutôt scientifique extrapolé dans celui du numérique, rien de tout cela. On n'y tergiverse pas. Si on comprend un problème posé, qu'il est ensuite assimilé, les résultats à atteindre, même par des voies originales, ne sont pas très éloignés l'un des autres. Dans les sciences exactes, on cherche la meilleure solution parmi des options possibles à un problème jusqu'au dilemme final. La solution la plus adéquate et la moins coûteuse est celle qui est la plus pragmatique.

J'ai approché le problème dans "Le magasin des Suicides".

Mardi, il était question d'un policier qui avait penser mettre fin à ses jours et qui avait abandonné l'idée à cause du regard de son chien. podcast

En 2021, j'avais écrit "En thérapie psychologique". Cet article parlait des vidéos d'une série télévisée qui racontaient des thérapies de patients effectuées par le psychologue Dayan, après les attentats terroristes de 2015 en France. Il avait sa contrôleuse.

Un policier était son premier patient.

Vous voulez savoir ce qui m'empêche de dormir. Je ne suis pas angoissé. Je suis en colère. Quoique je fasse aussi entrainé que je sois, ça ne sert à rien à cause des gens comme vous, lançait il à l'adresse de Dayan.  

Un article de la presse de l'époque disait "Les psychologues sont les rois du divan" en démontrant que les psys étaient dans leur rôle quand une situation scabreuse ébranle les populations à la suite de traumatismes. A chaque fin de semaine, Dayan devait retrouver sa vérificatrice ou médiatrice pour infirmer ou confirmer la méthode choisie et les appréciations qu'il faisait de ses patients. La question posée était "Un bon psy est-il bienveillant ?". En gros, peut-être s'il n'avait pas associé son existence qui se reflétait dans ses raisonnements. 

Il y a des choses qu'on ne peut pas dire" lui disait sa vérificatrice.

Si les patients savaient ce qui se passe dans ma tête, lui répondait Dayan 

C'est peut-être là le problème : mêler sa propre vie a celle des autres pendant la thérapie d'un patient . 

La vie n'est pas un long fleuve tranquille, c'est un fait mais il ne faut pas tout mélanger ou amalgamer les vies. 

En 2022, sortait la suite par "En Thérapie (saison 2)". Le dernier épisode appelait à nouveau, une vérificatrice. Dans ce rôle, Claire, montrait le même phénomène d'extrapolation des problèmes des autres sur elle-même. Ce qui l'avait poussé à abandonner les thérapies et quitté le métier.

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La semaine dernière, la psychologue Nathalie Von Zelobitz était interviewée

podcast

.

Elle fait partie d'une autre catégorie de psychologues en entrant dans la tête des cannibales
Psychologue en prison, depuis dix ans, elle écoute les confessions d’un homme qui en a mangé un autre qu'elle surnomme Bernard. Contrairement aux auteurs de crimes cannibales qui, le plus souvent, ont été jugés irresponsables, Bernard purge sa peine dans un centre pénitentiaire. C’est là, dans cet établissement qui abrite des détenus ingérables, qu'elle écoute son patient. Au fil des séances, elle aborde à travers lui la notion de monstruosité. Elle partage aussi ses doutes, ses émotions, sa réflexion sur ce tabou ultime, l’anthropophagie. Et contre toute attente, Bernard apparaît par bien des aspects presque familier.

Avec une personne humaine, il faut des précautions infinies en prenant en considération tous les paramètres cachés derrière ce qu'elle dit et dans leur interprétation en prenant un peu de recul en fonction de son inné, de son environnement, de sa santé générale, de l'acquis par ses expériences et, aujourd'hui en plus, en fonction du pseudo qu'elle a choisi dans les réseaux sociaux pour exister.

Il ne peut y avoir d'erreurs d'interprétation d'une situation donnée une fois qu'elle est définie complètement avec précision. Tous les solutions doivent être reproductibles à souhait et donneraient les mêmes résultats avec les mêmes arguments calculés avec seulement quelques variantes en fonction de l'évolution des processus.

Les erreurs, appelés "bugs", sont toujours à imputer aux concepteurs des programmes qui n'avaient pas échafauder la totalité des paramètres à prendre en considération.

A la retraite, je me suis mis à tester les caractères humains de manière plus précises dans mes contacts en dépassant parfois une certaine ligne jaune ou rouge. Ce que je peux en conclure, c'est que cette approche est nettement plus complexe que les formules les plus alambiquées du numérique.

Les polémiques sont souvent au détour d'un chemin mal apprécié au départ d'un contact.

Je me demande : pourquoi les femmes votent pour Trump ? 

J'ai trouvé une réponse dans l'interview de la psychologue et philosopheCarol Gilligan pour son livre "Une voix différente" : "J'ai été choquée par le nombre de femmes banches qui ont voté pour Trump. 51% en 2016 et 53% en 2020 alors que 90% des femmes noires ont voté pour Clinton en 2016 et Biden en 2020. Pourquoi la race et la classe peuvent-elles prendre le pas sur le genre ? Les femmes disent 'Je ne sais pas, alors qu'elles savent très bien. Il faut une sorte d'écoute radicale pour entendre la voix d'une femme qui s'est tue. Les neurosciences ont démontré que notre système nerveux est construit en reliant raison et émotions sinon il s'agit d'une lésion cérébrale ou d'un traumatisme" dit-elle à l'âge de 87 ans

En disant "prendre le pas sur le genre", elle ouvre un autre débat. Celui des différences entre l'homme et la femme qui n'ont souvent pas les même objectifs dans un couple. Cela me rappelle une réflexion d'une ancienne connaissance qui disait avec humour "Mon mari à le cerveau entre les jambes".

Tout peut être défendu devant un tribunal, même l'orthographe avec des ortogaffes. 

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Le livre "Les dessous de la langue française" raconte l'origine de 200 mots du français avec humour.

C'est quand ils sont utilisés et cadenassés ensembles derrière des règles absconses qui ne tiennent pas la distance que cela commence réchauffer le manque de simplicité. 

Ma conclusion qui n'est que mienne : "Le psychanalyste est un personnage étrange qui remonte aux histoires des dysfonctionnements dont l'objet n'est souvent pas renseigné par ses concepteurs et chercheurs mais progressent en fonction des réussites ou des échecs de thérapies de ses patients. Des bribes de situations du passé permettent de référencer des problèmes détectés avec une réponse généralisée mais qui évoluent en fonction des mœurs d'aujourd'hui".

J'ai toujours eu l'idée que si un patient aigri par la vie, ne sort pas ragaillardi d'une thérapie, dans les arcanes du bonheur, en lui apprenant à rire de son infortune, ce serait un raté pour le psy.

Capture d'écran 2024-10-01 085442.pngPlusieurs personnes ne se sentent plus bien dans leur peau et disent fermement et de manière automatique "Rien ne va plus".

"Fini de rire" écrivait le "méchamment gentil" Stéphane Guillon.

Podcast à ce sujet dans "C à Vous"podcast

Quelques personnes m'ont dit que j'étais toxique parce que je n'étais pas en correspondance avec leurs manières de vivre et d'être, pas assez le politiquement correct et que je voulais rire de tout même des conneries.

De savoir que "Je suis toxique", rien ne m'a plus amusé de l'apprendre, moi, qui parle avec un chien avec un chapeau, un blanc, un noir ou un arc-en-ciel. J'écris un billet humoristique lors des 1er avril depuis la naissance de ce site  et en autre temps, mes billets les plus noirs sont le plus souvent suivis de sketchs d'humour comme le cactus de mardi "le pape et la femme, c'est accueil fécond"podcast

.

Mes relations entre les hommes et les femmes sont les mêmes. Pas de différenciations, de galanterie ou d'autres salamalecs d'un autre temps.

Pourquoi en serait-il autrement puisque comme le dit Paul Dewandre le disait dans les langages féminins et masculins, nous avons quelque chose en commun en provenance de chaque sexe, en proportion variable dans chacun d'entre nous. D'autres traduisent cette façon radicale d'être par l'homosexualité.

A Bruxelles, on ne parle plus de Gay Pride, mais de Belgian Pride....

Tout est en fait une question de testostérones.

Ceux qui en ont trop perdent leurs cheveux à la ménopause pour les femmes ou à l'andropause pour les hommes, un peu plus tard. 

 

Un indice : l'homme réfléchit et agit plus séquentiellement et la femme plus en aléatoire en pensant à plein de choses en même temps, mais à part cela, tout se marie très bien...

Aujourd'hui, il y a des femmes au niveau CEO dans les profils STEM qui n'ont plus rien à voir avec des psychologues qui cherchent dans la sexualité les réponses comme le faisait Freud. 

Evidemment, il y a des bides dans toutes les relations humaines.

Des échecs avec ceux qui n'ont pas vu le film "Court Forest" probablement. 

Beaucoup de femmes psychologues dont l'une était en relation avec un cannibale.

"Il est le patient idéal, puisqu'il a le mode d'emploi. J'ai une bonne relation avec lui" disait-elle.

Perso, j'ai été en relation verbales avec une psy depuis quelques années. Elle n'accepte pas de voir un homosexuel même pas en peinture.

Les femmes ne sont plus reléguée au rôle d'un accueil fécond comme disait le pape. 

Elles ont acquis des profils STEM comme les hommes du temps jadis. 

Faibles femmes qu'on disait...

Je n'ai jamais dit que le contraire peut virer de la douceur à l'aigre puisque ma mécréance en tout me permet de le faire ou de l'imaginer.

Ce qu'on écrit ou dit n'est souvent qu'un ersatz de ce qu'on a à l'intérieur de soi et même si ce n'est pas tout à fait le miroir qui renvoie l'image inversée de soi, cela risque d'être encore plus toxique. 

La plume de Thomas Gunzig nous envoyait justement dans la dimension 44, là où tout est inversé. là où les femmes sont plus dures que les hommes

podcast

 .

Putain, elles peuvent tout attaquer avec véhémence avec des arguments et des convictions mais il faut avoir peur de cette dimension 44 là où on regarde la tête en bas.

Les psys sont là pour tenter d'aider leurs patients à se remettre sur les rails de la normalité. 

Qu'est ce qu'est être normal ?

Je n'en sais rien, je vous le demande...

Les psys essaient de comprendre leur patients mais ne remontent pas aux sources des maux eux-mêmes.

Cela peut être aussi "le deuxième cerveau : le microbiote"  qui ne va pas bien.

Je fais pipi et caca plus qu'à mon tour.

Les maladies neurologiques sont plus critiques.

On les appelle de manière générale "maladies du cerveau"

Elles sont souvent dégénératives. Et certaines augmentent en nombre.

Parmi elles, les tumeurs cérébrales. la douleur chronique. l'épilepsie, le traumatisme crânio-cérébral, l'anévrisme cérébral, les maladies de Huntington. de Parkinson, de la sclérose en plaques, de Charcot, d'Alzheimer dont j'ai déjà parlé en 2010 dans "Al ? Al, comment ? .

Un indice de la difficulté et du ralentissement des recherches dans ce domaine spécifique de la santé : les thérapies psychologiques comme la phytothérapie, naturopathie, la homéopathie ou la médecine traditionnelle chinoise, ne sont pas remboursées par les mutuelles.

Capture d'écran 2024-10-01 093507.png

Le docteur Jean-Michel Cohen parlait d'ajouter des compléments alimentaires comme le magnésium pour se booster et se sentir mieux sans prescription
podcast

..

Les neurosciences sont là aussi pour apporter de nouvelles solutions inédites.

Je répète, le 20ème siècle a été le siècle du cœur, le 21ème siècle sera celui du cerveau ou ne laissera pas de trace.

Apparemment, ce n'est pas aussi simple pour devenir thérapeute. 

Allusion


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11 réactions à cet article    


  • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 octobre 09:59

    Pour ceux que cela intéresse, voici la version définitive de ce billet.


    • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 3 octobre 17:47

      Ce mercredi, autre film de Hitchcock « Pas de printemps pour Marnie (1964) »
      Synopsis : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pas_de_printemps_pour_Marnie#Synopsis

      Autre cas psychologique
      C’est en 1960, durant un week-end passé à Santa Cruz, qu’Alfred Hitchcock, à la recherche d’un sujet pour un nouveau film, lut le dernier livre paru de l’écrivain Winston Graham, Marnie, dont l’intrigue est inspirée de l’histoire d’une femme kleptomane et frigide qui entreprend une psychanalyse. Ce thriller psychologique ne pouvait que séduire le réalisateur.


      • xana 4 octobre 12:13

        Personnellement j’ai arrêté la lecture après le premier tiers.

        Je ne critique pas, vous aurez remarqué.


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 4 octobre 13:27

          @xana,
            Moi non plus, je ne critique pas.
            Quand je lis un livre de 100 ou de 200 pages, je lis sur place dans la librairie ou à la bibliothèque. Quand c’est une brique de plus de 600 pages, j’achète et je prends avec moi.
            Vous voyez comme on peut être différent. smiley


        • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 4 octobre 13:29

          @xana,
            Juste pour mon plaisir, qu’est-ce que vous avez retenu de ce tiers d’article.
            Pourriez-vous le résumer ?
            Vous avez pu lire que l’auteur du livre apporte un guide pour les groupes de lecture.


        • xana 4 octobre 15:47

          Le fait est que la psychologie ne m’intéresse pas beaucoup.

          J’ai connu des psychologues dans ma vie. Beaucoup ne semblaient pas vraiment équilibrés. Je ne sais pas comment ils étaient AVANT, bien sûr...

          Curieusement, j’ai aussi eu ce sentiment avec une grande partie des enseignants que j’ai connu personnellement. Je précise quie j’ai aussi été marié avec (entre autres) une enseignante et que nous avons eu une fille enseignante... Mais ne tirons pas de conclusion sur si peu de matière.


          • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 4 octobre 16:11

            @xana,

              Voilà ce qui pourrait être intéressant de mentionner lors de l’inscription sur Avox.
              Comment est identifié xana « Cet auteur n’a pas encore renseigné sa description »
              Auteur de quoi ?
              Pas de billet publié mais 4515 commentaires.

              Je vais vous dire que la psychologie ne m’a pas intéressée avant un drame psychologique dans mon équipe, il y a plus de 20 ans. Personne n’avait pressenti ce qui allait arriver. 
              Je touche un mot à ce sujet dans Le magasin des Suicides 
              Ce billet-ci écrit en 2020, écrit pendant la période du Covid, de solitude, de crise à devoir rester chez soi, pendant laquelle les psys étaient plus consultés que d’habitude.


          • chat maigre chat maigre 4 octobre 15:54

            Mes relations entre les hommes et les femmes sont les mêmes. Pas de différenciations, de galanterie ou d’autres salamalecs d’un autre temps.


            Mais quel goujat !!

            la courtoisie avec un accent appuyé sur la féminité, les bonnes manières d’un gentleman même en 2024 smiley

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