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Accueil du site > Culture & Loisirs > Extraits d’ouvrages > Une Terre promise à récupérer (2-3)

Une Terre promise à récupérer (2-3)

En 2019, après avoir lu la première partie du livre "Une Terre promise" de Barack Obama, j'avais écrit le billet "Une Terre promise difficile à conquérir". Cette partie montre toutes les étapes de son ascension à la présidence des Etats Unis. En reprenant quelques passages intéressants de ce qu'il a écrit, on peut comprendre ce que représente le travail d'un président américain en parallèle avec ce qui nous parvient par la transition des médias. Beaucoup de noms cités dans le livre d'Obama sont inconnus de ce côté de l'Atlantique. Je ne les reprendrai que rarement. Par contre, je vais reprendre quelques réflexions du livre sans interligne avec uniquement les sécures des grands chapitres.

La deuxième phase, appelée "Renagate" en parlant en son nom, constitue le début de son mandat démocrate en 2008 et cela coince très vite pour raison liée souvent à la présence républicaine pour le contrer.

3. RENEGADE : Recovery Act

La présidence, c'est comme une voiture neuve. Elle commence à se déprécier à la minute où on sort du parking. Certaines initiatives suscitant un intérêt modéré de la part des médias, d'autres sont remarquées uniquement par ceux qui sont directement concernés. Pour le public et les médias, pour moi et mon équipe, une seule question importait : qu'allions-nous faire pour éviter l'effondrement de l'économie, dans le contexte d'une économie qui souffre déjà de niveau de pauvreté structurellement élevés, d'un déclin de la part des actifs dans la population en âge de travailler, de gains de productivité en baisse et d'une stagnation des salaires médians avec le chômage en indicateur différé ? Les licenciements durant les récessions n'apparaissent pas immédiatement dans leur totalité et se poursuivent bien après la reprise économique. La relance budgétaire passe par comment faire en sorte que l'Etat dépense plus d'argent comme le bailleur en dernier recours comme la réponse qu'avait apporté Keynes et après, à fermer le robinet et récupérer l'argent injecté via les recettes fiscales générées par la croissance. Au plan politique, ce ne serait pas seulement dur mais brutal. Si on effraie trop les marchés, cela ajouterait à la panique. Les réformistes se sont plaints que les réductions d'impôts, concédées aux entreprises, sont des cadeaux faits aux riches. Tout impôt est confiscatoire en ouvrant la porte au communisme. Toute régulation, une trahison des principes du libre marché et du mode de vie américain. Pas question de compromis ni consensus. Coopérer avec l'administration à vos risques et périls et montrer que ce n'est pas de gaieté de cœur. L'égocentrisme est le père de la sécurité. Apprendre la distinction à faire entre ce qui est important et ce qui est urgent. Les obstacles logistiques doivent déterminer ce qui est dans les intérêts des créanciers hypothécaires pour que les familles restent dans leur maison et faire pression pour que les banques participent. Au lieu de cela, celles-ci avaient titrisé en fragments éparts à divers investisseurs dans le monde et laissé au service de la dette, le soin d'une agence de recouvrement. Une question épineuse : l'assistance de l'Etat peut-elle être consacré les impôts en réduisant les dettes d'une maison achetée au-dessus de ses moyens ? Le problème n'est plus seulement la discrimination contre les personnes de couleur mais les minorités jouant la carte raciale pour obtenir un avantage supplémentaire, non mérité. Ce n'est pas comme les banquiers "casinos". Ce sont les fainéants avec la complicité de leurs alliés gauchistes à Washington pour parasiter les piliers de l'économie. Notre démocratie nous avait livrés à nous-mêmes avec la liberté impliquant trop souvent leur propre assentiment. La société devenue plus complexe, la fonction du gouvernement a pris la forme d'une sécurité sociale en l'espace d'une génération qui suppose une certaine confiance plutôt défaillante. L'étendue de la sollicitude est à attribuer aux gens méritants qui bossent dur, s'est réduite et a été donnée à d'autres qui ne partagent pas nos valeurs. Les convictions démocrates sont placées sur une défensive moins audacieuse au lieu de résoudre les problèmes de stagnation des salaires et la sécurité des retraites. Nationaliser les banques les plus faibles qui restent, aboutit à une mainmise en cascade de l'Etat sur le secteur financier. Les leçons à tirer demandent un protocole plus strict avec une meilleure communication, d'anticiper les problèmes, de résoudre les conflits avant que les projets soient rendus publics pour que les idées germent indépendamment de la pression extérieure, en soignant les détails sur le fond dans la mise en scène et en restant sur la même longueur d'onde. Tresser trop de lauriers au président lorsque l'économie va bien et lui faire porter le chapeau en cas de marasme. Une fois l'économie stabilisée, c'est avoir du temps pour enclencher des changements structurels dans la fiscalité, l'éducation, l'énergie, la santé, la législation du travail et l'immigration avec l'équipe Larry SummersTim GeithnerChristie Romers et Dean McDonaugh en définissant les menaces pour la sécurité du pays sur des idéaux de liberté. 

4. LE NOBLE COMBAT : Politique étrangère et la santé

Merkel et Sarkozy sont utilement complémentaires. Sarkozy respectueux de la prudence innée de Markel en la poussant à agir. Merkel, oubliant la manie de Sarkozy, d'une grande adresse pour canaliser les propositions les plus impulsives. Les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud) ont peu de choses en commun. Alors qu'ils représentent 40% de la population mondiale pour un quart du PIB et une fraction de la richesse. Une politique étrangère consiste à s'occuper de ses propres affaires en préférant des bases bilatérales en attendant une contrepartie. Un système dans son ensemble, c'est un luxe de l'Occident repu et heureux. Le métier de président est de donner l'ordre de tuer des gens, sans le formuler ainsi, en se réorganisant pour faire face au terrorisme d'Al-Qaida. Après le colonel charismatique et raffiné Abdel Nasser qui avait institué Etat laïque avec un parti unique, Hafez El-Assad, Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi se maintiennent au pouvoir grâce à la corruption au clientélisme et à la répression brutale contre Israël. Notre histoire a toujours été la somme des choix faits et des actions entreprises individuellement. J'ai découvert en mon chien Bo à l'adorable boule de fourrure noire, le ventre et les pattes d'un blanc immaculé, le seul ami sur lequel un homme politique peut vraiment compter. Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que le corps médical et certaines figures politiques du Sud s'opposent avec virulence à toute intervention gouvernementale en matière de santé assimilé à une forme de bolchevisme. La médecine socialisée conduirait au rationnement, à la disparition du médecin de famille et à une mise en péril des libertés individuelles auxquelles le peuple américain est passionnément attaché. La réformer était risquée. La solution, une loi pour stimuler la reprise en donnant les moyens d'injecter des fonds afin de maintenir l'économie à flot et de permettre de conserver les emplois ? Une telle loi entrainerait des centaines de pages d'amendements et de régulations âprement discutés. On peut être d'accord, parti de zéro avec un Medicare pour tous mais le remplacer par un système nouveau était une idée vouée à l'échec et aussi susceptible de provoquer un désastre économique. La nature de la présidence est que l'essentiel du travail pouvait passer totalement inaperçu. Le cas Brown v.Board of Education parvint à l'unanimité à la conclusion inverse par un texte constitutionnel. Les relations entre les Noirs et les forces de l'ordre sont plus que les autres aspects de la société américaine, un sujet clivant. En 2009, le Tea Party était mobilisé contre l'abomination de l'Obamacare qui allait entrainer l'instauration d'un nouvel ordre socialiste et répressif par une authentique mouvance populiste. Le défaitisme pour réparer les torts donnait le Tea Party vainqueur. Les sourires forcés permettent de sentir planer la tension et le doute. J'étais diabolisé sans règles qui tiennent. Les critiques sont plus déplaisantes lorsqu'elles viennent de notre propre camp sans être le seul motif de mon énervement. Nancy Pelosi était intraitable, pragmatique en mettant au pas les éléments les plus indisciplinés de son groupe parlementaire. Souvent ceux qui avaient le plus à perdre se révélaient les moins difficiles à convaincre. L'Affordable Care Act' résultant était complexe, exhaustif, politiquement clivant, lourd de conséquences et imparfait. 

Rappel historique à partir du 9 septembre 2001 et de l'assassinat du commandant Massoud en Afghanistanpodcast

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5. LE MONDE TEL QU'IL EST 

J'ai pris l'habitude et je suis devenu plus à l'aise dans mon rôle de commandant en chef en abordant mes responsabilités avec l'esprit d'un démineur prêt à couper un fil ou d'un funambule prêt à quitter sa plateforme en améliorant ma concentration, en me débarrassant de peurs superflues et en évitant de me montrer trop détendu, sous peine de commettre des étourderies. En considérant la résistance des talibans et les dysfonctionnements du régime de Karzaï, le succès de nos projets était tout sauf assuré. J'ai reçu le prix Nobel de la Paix, mais pourquoi ? En encadrant les menaces posées par les armes nucléaires, pour le climat, pour les inégalités économiques, pour respecter les droits fondamentaux, pour surmonter les divisions raciales, ethniques et religieuses qui alimentent les conflits ? J'étais dans un esprit qui voyait des menaces à tous les coins de rues, tirais une fierté perverse de son unilatéralisme avec l'action militaire comme manière presque ordinaire de régler les situations géopolitiques. Dans nos interactions avec les autres nations, nous étions irréfléchis et inflexibles, rétifs au travail lent qu'est la formation d'une coalition et d'un consensus, convaincus que la sécurité des Etats-Unis était indissociable d'un renforcement de nos alliances et des institutions internationales. Il faut montrer que nous tenons compte des autres points de vue et de d'être capable de les situer sur une carte. Ces étapes donnent l'occasion d'interagir avec autant de gens ordinaires que des hauts responsables et des élites fortunées souvent déconnectés de la réalité. Sur tous les continents, l'image des Etats-Unis s'améliorait, signe que notre effort portait ses fruits. La ligne dure commençait déjà à prétendre que des manifestations avaient été provoquées par des agents étrangers et des militants qui redoutaient que notre soutien ne soit instrumentalisé pour discréditer leur mouvement. Plus la violence s'intensifiait, plus je la condamnais, sans que cette approche passive me corresponde. Mon cœur était désormais enchaîné à des considérations stratégiques et à des analystes tactiques. Le pouvoir de Poutine bénéficiait d'une réelle popularité et la coercition dans un nationalisme historique à rendre à la Mère Russie sa gloire passée. Entre les mains de personnes rusées et sans scrupules, le chaos peut se révéler un don du ciel. Il ressuscita les symboles communistes, se rapprocha de l'Eglise orthodoxe russe et s'efforça d'empêcher que les blocs de l'Est ne sortent de l'orbite russe. Ma rencontre avec Medvedev s'est déroulée au palais appartenant au complexe du Kremlin à un endroit à la majesté appropriée. Question : qu'est-ce qu'il pense de l'état des relations entre les Etats-Unis et la Russie, histoire de lui vider son sac ? Aux yeux de Poutine, les Américains s'étaient montrés arrogants et méprisants. Eviter la guerre ouverte avec Pékin n'est pas une affaire de chance, non plus. Le conseil de Deng Xiaoping était de cacher sa force et attendre son heure. Au lieu de se militariser, la Chine s'était industrialisée et les entreprises américaines, cherchant une main-d'œuvre bon marché, étaient invitées à délocaliser leurs usines en choyant les gouvernements américains jusqu'au moment où la Chine obtenait un siège à l'OMC er augmente sa pénétration des marchés américains en montrant les dents dès qu'elle sentait ses revendications territoriales contestées et en s'agaçant des critiques de l'Occident sur la question des droits de l'homme. Des hordes d'avocats, de consultants et de lobbyistes fluidifiaient les échanges croissants. Au lieu de se replier sur le protectionnisme, l'Amérique s'inspira de la Chine. Il fallait travailler plus et économiser plus. L'automatisation, la robotisation, les pratiques chinoises, les délocalisations avaient ainsi accéléré le processus de la mondialisation. Les gratte-ciel futuristes de Shangaï n'étaient pas moins flamboyants que le Strip de Las Vegas à la nuit tombée. Comment prouver au soporifique Hu Jintao qu'il y avait une vie meilleure par le système américain, pluraliste et démocratique ? Pour la majorité de la population mondiale, l'environnement passait après la satisfaction des besoins vitaux. Concernant le réchauffement climatique, les gouvernements sont notoirement mauvais à mettre en œuvre des politiques neuves et immédiate face à une économie en chute libre avec une économie constituée autour du pétrole. Les Chinois ont inondé le marché des panneaux solaires subventionnés et peu chers. Suivre les sondages était l'assurance d'obtenir la médiocrité et une trahisons des espoirs pour qu'une régulation ambitieuse pousse les entreprises à rénover et à adopter des technologies "vertes" par un système de "cap and trade". Le Sénat contrôlé par les républicains ne considérait pas le réchauffement climatique comme un problème.

Réflexions du Miroir

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J'ai été une nouvelle fois impressionné par la mémoire d'éléphant de Obama et le travail en coulisses de nombreuses personnes pour écrire ce livre avec autant de souvenirs et d'anecdotes racontés souvent avec humour.

Obama prenait-il des notes dans un journal quotidien ?

La part de psychologie dont Obama a dû tenir compte en tant que président américain pour tenter de suivre les annonces et les promesses de son action, énoncés dans ses discours avant l'investiture, sont dignes d'un expert en management dans des moments de panique. En véritable entomologiste, il étudie la résistance et les ressorts de ses interlocuteurs. Pas sûr que toujours présent, il pourrait refaire cet exercice d'équilibriste ailleurs dans les mêmes circonstances.

La Russie de Poutine est entrée en guerre depuis deux ans. La guerre entre les dirigeants extrémistes israéliens et les Palestiniens n'est pas parvenue à trouver un accord de paix durable.

Lire ce livre, douze ans après, juste avant les nouvelles élections de novembre 2024, apporte un nouvel éclairage sur la manière de gérer un pays comme les Etats-Unis. Ce livre ne raconte même pas la totalité du premier mandat d'Obama.

Il a été réélu avec un deuxième mandat.

En 2012, dans le billet "Le rêve américain vit-il encore ?", le réalisateur d'une vidéo "My America" avait tenté de prendre contact avec Obama et connu une désillusion.

Entre les deux mandats, j'avais écrit "The best is yet to come" lorsque son avenir de président était remis en jeu. 

Un deuxième livre pourrait raconter son aventure complète de président. 

Le 20 août 2024 à la Convention, Kala Harris et son colistier Tim Walz sont officiellement, les nouveaux candidats démocrates.

 La famille Obama était là pour les soutenir face à Trump.

- “Trump se fout de votre avenir, c’est un milliardaire qui n’arrête pas de pleurnicher" était-il lancé par Obama.

Avec la maxime "Make America Great again", Trump sème la division comme seule stratégie de fond pour gagner l'élection en assurant un ancrage local et en attaquant ad hominem l'adversaire par la forme. Le clivage de fond entre Harris et Trump est complet vis-à-vis de l'immigration, l'avortement, l'austérité et les redistributions.

Comme d'habitude, les évangélistes soutiennent Trump

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Condamnation de Trump : sa défense demande le renvoi devant la justice fédérale après les élections

 Pendant ce temps, la bataille entre démocrates et républicains a continué de faire rage dans une course au coude à coude.

Lors de la Convention démocrate à Chicago, les Obama ont exprimé leur soutien à Kamala Harris et à son colistier Tim Walz. Barack Obama et son épouse Michelle sont bien conscients du gap qui sépare les deux politiques.

"Ce sera une course au coude à coude dans un pays profondément divisé", a déclaré Barack Obama. Il a appelé le public à voter et à « travailler comme nous n’avons jamais travaillé auparavant »

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"Les gens qui décideront de cette élection se posent une question très simple. Qui se battra pour moi ? Qui pense à mon avenir, à celui de mes enfants ?Une chose est sûre : Donald Trump ne s’en soucie pas. C'est un milliardaire de 78 ans qui n'arrête pas de pleurnicher."

Obama a poursuivi son discours de soutien en mettant le public en garde contre quatre années supplémentaires de Trump, dont il a résumé la présidence à « de l’esbroufe, de la maladresse et du chaos. C'est encore pire maintenant qu'il a peur de perdre contre Kamala. Avec ses surnoms enfantins, ses théories conspirationnistes folles et cette étrange obsession de la taille des foules. Ne criez pas, allez voter. L’Amérique est prête pour une meilleure histoire. Nous sommes prêts pour la présidente Kamala Harris. Elle est prête pour ce travail. C’est quelqu’un qui a consacré sa vie à se battre pour les personnes qui ont besoin de s’exprimer. De plus, elle travaillera pour tous les Américains. Yes she can", a conclu Obama.

podcast


 

29/8/2024 : Premier interview de Kamala

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29/8/2024 : Premier interview de Kamala

Capture d'écran 2024-09-10 140552.png10/9/2024  : Débat entre Kamala et Donald. 

La veille, Trump et Harris se trouvaient à égalité dans les sondages.

Donald Trump et Kamala Harris ont négocié chaque détail du dispositif de leur match télévisé : un débat, souvent synonyme de record d’audience.

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Moment décisif d’une campagne électorale aux Etats-Unis. Ce débat permet surtout de scruter les prises de position de Kamala Harris et "la manière dont elle se défend et dont elle attaque une personnalité comme Donald Trump".

Kamala Harris, démocrate de 59 ans, s'attend à ce que Donald Trump "dise de nombreux mensonges" lors du débat. Elle veut attaquer son adversaire "qui se bat pour ses propres intérêts, pas pour les Américains.".

La veille du 10 septembre, un pré-débat entre démocrates et républicains sur TV5Monde Europe

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Le lendemain, le résultat du débat Trump-Harris pendant lequel Donald Trump, sur la défensive, joue sur le ressentiment d'une masculinité blessée ""Nous devons faire entendre notre voix sur l'exemple que nous voulons donner à nos enfants, c'est-à-dire des hommes forts et masculins". Il plébiscite les cryptomonnnaies, le MMA et considère que la société américaine a sombré dans le wokisme

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Kamala s’en est tirée avec brio, rassurant son camp et acculant son adversaire là où son ego paraissait fragile.

La plume de Thomas Gunzig parle de la politique en général par les duels à la belge
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Le compte à rebours rebondit jusqu'à l'élection du 7 novembre : 53 jours. 

Suite et fin au 3ème épisode bientôt dans "Une Terre promise à conserver"

 

Allusion

 


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1 réactions à cet article    


  • Réflexions du Miroir Réflexions du Miroir 16 septembre 13:33

    Le 3ème et dernier épisode à la fin de cette semaine.

    Le suspense continue.

    L’épisode de la deuxième tentative d’assassinat explique d’autres raisons à cette élection américaine hors du commun.

     smiley

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