Comprendre le fonctionnement des bourses
Des crises récentes, qui ont été parfois jusqu’au risque de rupture, ont interpellé le public sur le fonctionnement des bourses. Le présent article vise à lui fournir les informations basiques sur ce point, sans toutefois trop déflorer le sujet.
Les bourses sont des organismes impliqués dans le processus de création, qu’elles fertilisent à la satisfaction de tous.
Quand une jeune pousse arrive à maturité, elle peut ressentir une tension sur ses actifs, qui va la conduire à chercher les moyens d’accompagner sa croissance. Des mécanismes incitatifs peuvent la conduire à se tourner vers les bourses. Elle demande alors son introduction, en faisant certaines déclarations en toute transparence, comme des offres publiques, auxquelles peuvent répondre des acteurs comme les chevaliers blancs, les raiders - hostiles - ou les cherry pickers. Après l’introduction, les actions sont légitimes, et caractérisent la possession. Dans la phase postérieure, les bourses injectent les liquidités nécessaires par le canal adéquat.
Une fois la nouvelle venue intégrée aux groupes existants, sa cote dépendra de ses performances et de ses avantages comparatifs. Par exemple, les spécialistes de transports et d’énergie sont bien cotés, surtout s’ils ont une bonne pénétration dans leur secteur. Mais le succès n’est pas au bout de toutes les entreprises.
L’introduction permet de mesurer la performance de ces entreprises et la valeur de leurs actions. La performance doit être appréciée sur le long terme. Il n’en existe pas de norme, mais des indices permettent de comparer à certains étalons. La sous-performance implique souvent le downsizing.
Il y a des moments plus favorables pour l’introduction, comme les périodes de fusions. Il faut faire attention aux cycles et en respecter les règles.
Il existe des bourses de toutes les tailles, selon les pays. On les caractérise par leur volume d’échanges, en flux d’entrées et sorties. Elles fonctionnent toutes de la même manière. Les bourses ont une structure flottante, et peuvent également comprendre des noyaux durs. Elles ont des phases alternées d’expansion et de contraction. Dans les phases d’expansion, quand les bourses regorgent de liquidités, elles ont tendance à monter et favorisent la croissance. C’est pendant la croissance qu’on bénéficie le plus des actions et qu’on stimule au mieux la consommation. Les bourses redescendent quand elles sont asséchées, et la croissance s’écroule, ce qui peut induire la débauche massive ou le spillover. Les liquidités sont créées par des organes centraux, qui veillent sur la fluidité et se mettent en branle en cas de risque d’assèchement. Ils soutiennent alors les bourses.
Il existe diverses stratégies compétitives pour s’attirer les faveurs des bourses. Les stratégies dynamiques sont plus payantes que les approches passives. Il ne faut jamais hésiter à diversifier ses positions. Les techniques sophistiquées ne sont pas les plus efficaces. Les swaps par exemple peuvent présenter des risques contre lesquels il faut user d’outils préservatifs. L’analyse des affinités est plus saine que l’approche virale ou tribale. Ceux qui croient trop à l’effet de levier ont tendance à abuser de produits dérivés. Certains dopent leurs actions par des procédés illégaux, mais ceux-ci ne sont pas durablement efficaces. La prudence permet de préserver ses valeurs et évite de se retrouver en slip.
En conclusion, rappelons que seules les bourses permettent la croissance, et que l’essentiel est l’esprit d’entreprise.
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