Galette de l’Elysée
Vivre à l’Elysée présente des inconvénients mais aussi des avantages. Le 7 janvier dernier, c'est ensemble que François Hollande et Valérie Trierweiler ont partagé la traditionnelle galette des Rois de l'Élysée. Impressionnante, elle faisait 1,5 mètre de diamètre, pas moins. C’est une partie des fastes dont bénéficient les locataires du palais.
Les épouses des anciens présidents ont acceptées les frasques sexuelles de leurs époux et sont restées avec eux uniquement pour la grandeur de la France. Peut être également pour ce train de vie plus que confortable. Si le divorce de Napoléon Bonaparte par exemple, le 15 décembre 1809, quittant Joséphine de Beauharnais – officiellement stérile – pour Marie-Louise d’Autriche, a politiquement et moralement choqué, l’évolution des mœurs a conduit à une large banalisation de ces comportements, heureusement relégués au rang d’affaires strictement privées.
Nicolas et Cécilia Sarkozy "ont divorcé par consentement mutuel", a annoncé l'Elysée le 15 octobre 2007, environ deux heures après la diffusion d'un premier communiqué évoquant une "séparation par consentement mutuel". Dans un premier temps, à 13H20, un communiqué transmis par le porte-parole de la Présidence aux agences de presse accréditées à l'Elysée faisait état d'une "séparation par consentement mutuel", sans mentionner le mot divorce. Puis, deux heures plus tard, à 15H15, l'Elysée précisait que par "séparation", il fallait comprendre "divorce". Le mot de divorce n'apparaît pas, alors que des constitutionnalistes avaient débattu tout au long de la semaine sur la possibilité pour le chef de l'Etat de divorcer, en raison de son statut qui le protège de tout acte en justice.
Le paradoxe de la situation actuelle est que le citoyen Hollande peut changer sa maitresse (ou favorite) actuelle, car ils ne sont unis par aucun lien. Mais pour le Président, homme public s’il en est, il doit ménager l’opinion des français et de l’international. La répudiation n’est valable que dans l’Islam. Nous ne sommes plus au temps d’Agnès Sorel, Diane de Poitier, Gabrielle d’Estrées et de bien d’autres.
Historique de la situation actuelle.
Valérie Trierweiler et François Hollande se fréquentent depuis le milieu des années 2000. En 2007, Ségolène Royale ne prévoyait pas que son ex-compagnon deviendrait un jour président, elle a elle-même brigué cette fonction en 2007, chutant devant Nicolas Sarkozy.

Vers le 20 juillet 2013, en effet, Closer explique que Valérie Trierweiler est partie en vacances avec ses enfants en Grèce. François Hollande doit la rejoindre quelques jours plus tard. Mais il ne viendra pas. Ce fameux 20 juillet, il fait une visite surprise en Corrèze qui démarre à Tulle et se conclut à Brive-Plage, rapporte un discret papier du quotidien La Montagne, qui précise que "ce n'était pas prévu". Au même moment, toujours selon le quotidien, l'actrice Julie Gayet assiste au Brive Festival, qui se tient dans la ville...
Le 16 décembre, Stéphane Guillon, invité du "Grand Journal" de Canal+, présente alors avec Julie Gayet le fameux film Les âmes de papier. L’humoriste s’amuse de l’évocation du nom de François Hollande par Antoine de Caunes. L’ex-éditorialiste de France Inter affirme que "Hollande venait sur le tournage" et qu’il "aime beaucoup le film, mais sa femme beaucoup moins".

Elle semble d'ailleurs avoir voulu y croire jusqu'au bout. Le 7 janvier encore, on la voyait tout sourire, poser aux côtés de François Hollande lors de la célèbre galette des rois à l'Elysée. La veille de la parution du dossier "choc" de Closer, son entourage aurait aussi tout fait pour empêcher la parution des photos
Pour l’instant, Valérie Trierweiler est hospitalisée à la Pitié Salpêtrière, mais pas au VAL de GRACE (hôpital des "hautes personnalités). Dans son entourage, on croit à une réconciliation possible : "Elle semble prête à pardonner, elle ne veut pas claquer la porte sur un coup de tête, mais elle veut savoir très vite quelles sont les intentions de François Hollande." Malgré l’humiliation publique en France et à l’étranger ? Connaissant son caractère dominant, impulsive, agressive et même parfois choquant, je n'y crois pas (1). Même pour une bonne galette.
D’un autre coté, on peut comprendre qu’un homme « craque » pour une femme portant ce genre de robe :
Julie Gayet festival de Cannes 12 mai 2010
Dans "Le Grand blond avec une chaussure noire" d'Yves Robert (1972), la sculpturale Christine (Mireille Dac) doit séduire un homme bizarre et maladroit un François (Perrin interprété par Pierre Richard). Elle l’attire avec ce genre de robe :
Illustration : http://www.purepeople.com/article/valerie-trierweiler-une-premiere-dame-mal-aimee-face-a-sa-plus-grande-epreuve_a134699/4
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