Y a-t-il des bons et des méchants ?
Dans mon journal "Réflexions du Miroir", un peu de philosophie en plus ne serait pas mal pour le jour de Noël..
Le magasine "Philosophies" posait cette question qui fait penser immédiatement à un film qu'il faut cette foi mettre au pluriel "Les bons, les brutes et les truands".
Avec des questions comme "Est-on mauvais par nature ? Peut-on mal agir volontairement ? Existe-t-il des circonstances atténuantes ?
Les réponses à ces trois questions
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Les maux pour le dire
Partager le monde entre les bons et les méchants, c'est tout simplifier et tomber dans le manichéisme.
"Pour faire face au mal, c'est peut-être en changeant de vocabulaire avec ses interlocuteurs", dit le magazine.
Changer de vocabulaire comme le propose Carl Schmidt permet parfois à faire la paix avec un ennemi de concepts généraux sans considération pour la dimension éthique des actions. Le Cœur et la Raison selon Pascal appelle la distinction des ordres savants et mystiques sans état d'âme et sans mélanger la rationalité et la révélation de l'action associée à la théorie philosophique.
Mon billet sur la Saint Nicolas s'adressait aux adultes qui gagneraient avec la sagesse qui n'est pas nécessairement en restant sage pour autant.
"Il n'y a pas de bons et de méchants métaphysiques de manière abstraite" dit le pape François dans le contexte de la guerre en Ukraine. Un guide religieux incarnant l'éthique de la conviction fondée sur des valeurs absolues, c'est bon pour les enfants. Les dessins animés pour enfants comme "Tom et Jerry" sont parfois très méchants pour faire rire sur la pomme du malheureux qui se fait avoir par la malice de son "enfoiré". Tout est relatif à différents paramètres et l'âge en fait partie.
Au niveau personnel, cela commence par l'éthique (et tics) qui ne se limite pas à des convictions religieuses sur des valeurs absolues limitées pas des critère moraux dans des agression armées.
Etre touché par l'adversité ou par une blessure qui exprime la souffrance peut s'exprimer par la méchanceté et la vengeance, est tout à fait normal à des moments de stress et de détresse morale. Le domaine personnel est condamné par un manichéisme. L'interlocuteur qui en est touché, voudrait influencer jusqu'à casser sa propre personnalité. Les conseilleurs ne sont pas les payeurs.
Toute bonté envers quelqu'un peut créer une jalousie pour celui qui n'y a pas eu droit. En songeant aux ravages des idéologies des hommes prêts à tout afin de faire advenir leur propre idéal en détruisant celui des autres, laissent des traces indélébiles.
Souffre-t-on en permanence ? Ne rit-on jamais pour vider la hargne et la haine en nous ? C'est un bon sujet de dissertation de rhétorique et de personnalisation d'un candidat au suicide.
En d'autres mots, il faut être bon et méchant en même temps.
En 2017, j'écrivais "Le bien et le mal, une question branchée ?" via sept différents chapitres.
On ne nait pas méchant mais on peut devenir face aux nuances du réel dans l'équivoque et l'incertitude de notre époque. Même chose pour la solitude et la sociabilité, on ne nait pas solitaire qu'en fonction des déceptions et des réactions d'autres qui ne seraient pas conformes à ses espérances et espoirs personnels. Plutôt que diaboliser un adversaire,, il vaut mieux le comprendre pour avoir une chance de le maitriser ou de le faire changer. C'est dire qu'il faut tester ses contacts pendant un temps proportionnellement au secret des cohésions potentielles ou des discordances pour comprendre jusqu'à quelle extrémité un contact est près d'aller. Les brutaux, les cyniques et les agressifs sortiront de ce filtre de tests. Magritte n'a pas été un tendre dans sa jeunesse. Une image de mauvais garçon, de voleur lui collait à la peau dans son enfance avec des qualificatifs infamants à cause de son entourage. Il a changé du tout au tout quand il a rencontré sa future épouse. Ses tableaux conservent aujourd'hui ses deux faces de sa vie.
La guerre entre Gaza et Israël
En Israël, là où toutes les croyances et religions monothéistes se rencontrent, elles finissent toujours par une guerre civiles de concepts généraux jusqu'à un dérapage au niveau mondial entre clans irréconciliables.
Des philosophes donnent leur opinion dans le magazine "Philosophies".
"Comment les terroristes n'ont-ils pas été rebuté par leurs propres actes" se demande à ce sujet Robert Albin. "Les philosophes ont loué le rationalité qui définit l'homme. Je vois avec netteté et douleur combien is se sont trompés", répond-il
"Marquée par la pluralité, les gouvernements doivent être très attentifs à ces jeunes qui refusent l'héritage si violent dans lequel ils vivent", dit Yara el-Ghadhan.
"La dépolitisation est la fonction primordiale de l'action humanitaire quand la distinction entre combattants et non-combattants est devenue floue", dit Rony Brauman.
"Le 7 octobre restera une expérience traumatisante pour les Israéliens, et la dévastation de Gaza risque d'avoir un effet similaire du côté palestinien. Le statut moral des actions d'Israël à Gaza n'est pas clair", dit David Enoth.
Faire de la philosophie même désabusée, tenter de s'élever à un niveau généraliste sans précaution et sans s'autocensurer dans ses commentaires, est affaire de doigté au niveau psychologique plutôt que de règlements par la raison ou par le cœur.
Réflexions du Miroir
L'année 2023 a été violente. Deux guerres à proximité, une fusillade à l'Université de Prague cette semaine, chasse aux sorcières et une ambiance délétère sur les réseaux sociaux.
Ce magazine "Philosophie" venait bien à propos avec des questions pour comprendre l'air du temps.
S'orienter dans les idées pour affronter la précarité de l'existence, la fuite du temps et de la mémoire, demande de vivre sa vie dignement.
Je prends la maxime "Nulle part, l'homme ne trouve de plus tranquille et de calme retraite dans son âme" à mon compte.
En fin d'année, il est utile de revoir ce qui se passe en parallèle à ce site "Réflexions du Miroir".
Les hommes ne sont pas aussi rigoureux que les machines aux ordres d'un programme. Ils ont leurs spécificités cachées que l'on découvre dans le détail psychologique de chacun plutôt que dans le cadre de la généralité sociologique.
La bien-pensance du "clan du bien" n'a pas à accepter n'importe quel contact si il le désir de communiquer dans des échanges pacifiés, n'existe pas.
Accepter la distinction entre les bons et les méchants, c'est se donner les moyens de s'y opposer.
Le billet "Réapprendre à débattre et à dialoguer" est essentiel dans un dédale de sentiments adverses. Il suivait des réponses un autre "Garder la santé sur les réseaux sociaux".
Je me suis marré à la lecture d'un email qui disait que les gens n'aiment pas être testé et que mes propos étaient nocifs. Suis-je méchant dans ceux-ci ?
J'ai même dû définir que veut dire le mot "éclectisme" qui caractérise mon site qui a pris la forme d'un journal personnel et hebdomadaire sans parti pris, sans convention, sans conviction. Plus rien à voir avec un blog. Je survole l'actualité avec plusieurs chapitres relatifs à des événements d'une semaine, passés à la télé, à la radio, au cinéma ou encore ailleurs.
Il est construit à ma manière avec ses qualités et ses défauts, influencée par personne.
Les risques de dérapage dans la virtualité sont plus importants que dans le réel de tous les jours. Les discordances d'idées théoriques se pratiquent en dur sur le Web.
On ne peut pas plaire à tout le monde.
Pour exprimer ses idées, il y a le fond et la forme.
La maxime "Faites ce que je dis mais pas ce que je fais", frisent parfois l'hypocrisie dans les ressorts de communications.
Pour communiquer par cette voie, il ne faut pas être fou à la recherche de nuances mais cela peut aider.
Je le dis une dernière fois : je me fous de la forme et des "fôtes d'orthogaffe" qui subsisteraient, non décelées par le correcteur orthographique. On perd trop de temps à se préoccuper des formes alors que le fond est bien plus vital.
Qu'on se le dise, ma franchise est maladive. Pour un diplomate, c'est un défaut.
Les sources des faits et ce qu'on en fait personnellement, y sont bien plus importantes. Etre imaginatif, créatif, c'est extrapoler un futur de manière romancé même si cela parait être de science fiction, dans les dédales des faits.
Emmanuel Kant utilise le droit comme seule référence solide. En politique, tout est utilisé pour détrôner l'adversaire dans le domaine public. Condamner la violence des Etats et la malignité des dirigeants, c'est après la guerre qu'il faudra les analyser pour envoyer les auteurs devant un tribunal pour leurs exactions. Les motifs de l'éthique considérée comme bafouée par des impératifs moraux, ne se figent pas sur des principes supérieurs. "Tout ce qui n'est pas interdit, est permis", observé lors des émissions de débats oraux dans "Ce soir ou jamais", était la bonne formule. Mais il faut garder un ombudsman qui dirige les débats pour éviter les dérives.
Le forum Agoravox.fr n'a plus de modérateurs attitrés. La modération se limite à la bonne volonté de ses acteurs avec les règles de base du site comme support.
Dans le cas contraire, à force de barbotter dans la semoule d'un sujet trop précis, on risque de s'accommoder de l'intolérable.
Le point de vue de la chronique Kody est aussi le mien
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Extraverti, d'une franchise maladie, un interlocuteur bisounours risque d'avoir d'énormes surprises à la lecture de mes bafouilles. Mes propos deviendraient alors "nocifs" à leurs yeux.
"Connais-toi, toi-même" de Socrate , "Je ne sais qu'une chose, c'est que je ne sais rien" de Platon et « Le tout est plus que la somme de ses parties » d'Aristote pour ne citer que les trois principaux philosophes grecques.
Stoïcien, l'empereur Marc Aurèle écrit "Pensées pour moi-même" sous la tente, à la tête de ses armées, sur le Danube et en Syrie. La philosophie lui permet de se tenir debout, d'être tourné vers les autres et d'honorer ses responsabilités.
Quelques journaux d'informations papier ou sur Internet donnaient la capacité d'émettre des opinons sous forme de commentaires à la suite d'articles ont dû y renoncer puisque les contacts devenaient des pugilats verbeux entre des adversaires. Sans modérateur neutre, cela devenait très désagréable pour les autres lecteurs qui abandonnaient le journal papier que les lecteurs devaient acheter.
Ce n'est plus être interactif avec des allers et des retours en flip flop entre interlocuteurs.
Si j'écris c'est tout d'abord, pour mon plaisir et pour pouvoir retrouver l'évolution des idées.
Mon billet précédent "Faut-il se préparer à une guerre idéologique ?" passait du passé au futur en transitant dans l'actualité.
Sa préversion a atteint près de 2300 visiteurs sur Agoravox. Je n'ai pas dit lecteurs.
Puisque ma devise est "Tout est dans tout et inversement", cela veut dire qu'il faut rechercher ou interpréter le lien entre chaque élément du journal par soi-même.
Un journal papier informe de situations dans le monde et ne s'attend pas ou plus à dialoguer. Dialoguer peut être confondu avec un match de foot moderne.
Pour lire mes texte, il faut 5 minutes et bien plus qu'une heure pour écouter les attachements.
Le lien entre chaque chapitre de mon journal personnel existe mais il est à interpréter avec imagination comme ferait le visiteur d'une œuvre picturale surréaliste de Magritte qui indique "Non, ce n'est pas une pipe".
Quand la violence des propos frise la guerre intestine idéologique et politique ; il faut l'humour "Hara-kiri, bête et méchante" pour transforme une mini-guerre civile en rigolade.
J'aime la métaphore des figures de style quand elle modifie le sens en transformant le terme concret dans un contexte abstrait par substitution analogique de la critique.
La figure de style, du latin "figura", est un procédé d'écriture qui s'écarte de l'usage ordinaire de la langue et donne une expressivité particulière au propos. Elle vient souvent à mon secours. Les dix principales sont la Métaphore. la Répétition, l'Euphémisme, l'Hyperbole, l'Ironie, la Personnification, la Métonymie et la Litote.. Le sarcasme n'en fait pas partie alors qu'il le faudrait parfois pour se foutre des conneries humaines.
Je l'avais invité pour venir s'exprimer sur mon journal pour écrire une dissertation en tant qu'invité.
N'est-ce pas une hospitalité qui se confond avec l'immigration des idées ?
Ah, si j'avais pu dessiner les événements comme le fait Nicolas Vadot...
Ah, si j'avais pu composer une symphonie dodécaphonique en 3 mouvements du style de Stravinski, peut-être n'aurais-je jamais commencé à écrire.
Pour résumer, les bons et les méchants n'existent pas vraiment si on reste au stade de la généralité sans influencer quiconque. Quand ce "quiconque" se place en opposition flagrante comme une gageure, la violence empièterait sur une personnalité plus faible par son influence.
Je ne suis ni influençable et je n'essaierai pas de le faire avec d'autres.
Conversion autonome de la Corée du XVIIIème siècle : Réflexions du Miroir (hautetfort.com)
Le film "Sur la route de Madisson", passé sur ARTE, est une preuve que même très temporaire, il faut garder de l'aventure en réserve en mémoire.
Voilà, c'est dit, c'est écrit et c'est même chanté
C'est Noël. Stop aux situations litigieuses
Pour une fin d'année, le sujet du "bon et du méchant" était à la fois, une occasion et un risque d'en parler mais pas dans une période de "Trêve des Confiseurs".
La Noël, c'est en principe une période de renouveaux des instincts belliqueux pour certains, une période de cadeaux à acheter pour d'autres.
J'ai eu quelques billets dans le cadre de Noël.
Dans le dernier, "L'esprit de Noël", je reprenais déjà les billets précédents.
En 2022, s'y est ajouté "L'heure H des écrivains et du Père Noël".
Avec un doigt dans le bénitier, Noël peut avoir une signification plus importante.
Ce n'est pas mon cas.
Je n'aime pas la période de Noël pendant laquelle il faut rire, faire des cadeaux alors que c'est toute l'année qu'il faut trouver la blague qui fait rire, s'offrir des cadeaux, faire la fête sans prendre la mesure du temps qui passe. Vivre toute l'année, quoi.
Procrastiner permet au temps de ne pas s'épuiser.
Postposer la fête de Noël de quelques jours en janvier verrait chuter les prix avec les soldes d'hiver.
Les homards invendus auraient des étiquettes de rabais.
Ceux qui n'ont plus de famille, souvent âgés, se sentent abandonnés par la société et n'auront pas le cœur nécessaire pour fêter Noël dans la joie.
J'ai pensé écrire un conte de Noël, avec à bord, un bon et un méchant.
L'Heure H du Noël de Charles Dickens avec Scroutg avec un bon et un méchant, je l'avais déjà mentionné en 2022
Sur le Web, j'ai trouvé celui-ci Un conte de Noël - DESSIN ANIME COMPLET VF - YouTube.
J'ai eu aussi un prédécesseur conteur qui m'a définitivement sorti l'idée de la tête.
Si je n'avais pas déjà écrit "Qui a tué le Petit Prince ?" en novembre 2022, j'aurais pu user de la vidéo "Un petit prince, naissance d'une étoile".
Composé d’archives et de formidables séquences d’animation, ce documentaire éclaire la genèse du chef-d'œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944) en retraçant les quatre dernières années de sa vie, marquées par la guerre et son exil aux États-Unis. Après la défaite française de 1940, démobilisé, il décide de gagner New York, où il accoste fin décembre. Récompensé pour "Terre des hommes", l’écrivain aviateur entend jouer de sa notoriété pour convaincre les États-Unis de s’engager dans le conflit. Le choc de Pearl Harbor, en décembre 1941, change la donne. Le mal devient un bien pour lui. Sa vie sentimentale chaotique, tiraillée entre ses maîtresses et son épouse Consuelo, le mine. En juin 1942, ses éditeurs lui suggèrent de s’atteler à un conte illustré pour enfants. Toujours dans l’enfance, il accueille l’idée avec enthousiasme. Puisant dans ses souvenirs, son quotidien et les événements, il imagine les aventures du petit prince, célébrant l’amour et l’amitié au moment pour les adultes qui voient le monde s’écrouler. Le 31 juillet 1944, il est porté disparu au cours d’une banale mission d’observation au-dessus de la France.
Ce documentaire invite à relire avec un œil neuf, ce conte devenu un best-seller mythique.
Après Noël, quelques souvenirs rémanents dans une indigestion particulièrement tenace.
Ce qui fait l'attraction pour Noël, c'est l'arbre et ses cougnous qu'aucun belges n'appellerait "cougnoles"
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La recette est facile et bien grasse.
A y réfléchir, il n'y a que les enfants qui se sont bien amusés cette nuit de Noël-là.
S'il faut vraiment un conte moderne pour Noël, j'espère que celui qui est écrit avec des belgicismes, fera l'affaire.
"En fin de la soirée de Noël, celui qu'on appelait "Babeler" a eu quelques accroche-pieds. Ne participant pas la fête avec autres, il s'était endormi. Il a été nommé "Bob" par les autres. Pour les ramener les autres chez eux, il était resté sobre. Avant de se quitter et de les ramener chez eux, il a donné des baises à plusieurs biesses, zieverers et dikkeneks qui faisaient de leur nez pris par les relents d'alcool. Il a penser à zwanzer avec des stoeffers qui n'ont pas aimé et qui ont dû être retenu dans leur envie de se battre. Il a donné des dringuelles aux plus petits et reçu des cadeaux en vlek. De ces cadeaux, il n'a rien gardé. Ils les tous mis sur eBay ou sur le site "2ème main". Un message de BPost est arrivé en réponse. Il a cliqué sur le lien indiqué. Son ordinateur n'a plus répondu. Il a été arnaqué. Voilà, un nuit de Noël dont il se souviendra. Il n'est plus Bob cette année. Cette fois, il va rire comme tout le monde.
Il le jure, il fera mieux la semaine prochaine, lors du dimanche suivant. Nous serons à la veille d'une nouvelle année 2024 avec des feux d'artifice en prime.
J'ai fait allusion à Bob, mais j'aurais pu l'être. Ne rêvez pas trop, les histoires et événements de 2023 ont été violents.
2024 pourrait avoir une saveur chinoise de canard laquée à l'aigre-doux.
Il y a un film qui me restent en mémoire avec une envie de rire et que je regarde toujours, même si j'en connais les scènes du script par cœur.
L'aventure, c'est toujours l'aventure avec des bons et des méchants.
Si tous les protagonistes ne connaissent plus l'aventure sur Terre, ce sont les anges et les démons qui doivent bien s'en amuser.
Allusion
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