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Chermau

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  • Premier article le 27/04/2013
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Derniers commentaires



  • Chermau 12 décembre 2014 17:24

    Deux petits reportages sur place à la manifestation du 16 et du 30 novembre, vous permettra de connaitre l’avis des associations et de quelques acteurs locaux, élus eux aussi.

    https://vimeo.com/113259591

    https://vimeo.com/112092248



  • Chermau 27 avril 2013 22:14

    Peut-on encore sac­ca­ger des cen­tai­nes d’hec­ta­res de zones humi­des, gas­piller des terres agri­co­les pour des pro­jets inu­ti­les comme le Lyon Turin qui va sup­pri­mer direc­te­ment 800 hec­ta­res de terres agri­co­les ? Et près du double avec les mesu­res com­pen­sa­toi­res zones humi­des ! ou siphon­ner selon les pré­vi­sions des cons­truc­teurs 25 à 30 mil­lions de mètres cubes d’eau pota­ble par an ?

    Le trans­fert modal des mar­chan­di­ses de la route vers le rail est pour la sau­ve­garde de l’envi­ron­ne­ment d’une extrême urgence, mais le projet fer­ro­viaire Lyon Turin ne serait en mesure de réa­li­ser cet objec­tif que dans 20 ans.

    Or avec les amé­na­ge­ments réa­li­sés entre 2007 et 2010 sur la ligne his­to­ri­que exis­tante, avec la mise au gaba­rit GB1 qui permet de mettre les camions sur les trains, la quasi tota­lité des 22 mil­lions de tonnes mar­chan­di­ses qui tra­ver­sent les Alpes du nord entre le tunnel du Mont Blanc, celui du du Fréjus et celles trans­por­tées par la ligne his­to­ri­que Dijon, Modane, Turin, pour­raient cir­cu­ler tout de suite sur la ligne his­to­ri­que actuelle. Seule la volonté poli­ti­que manque ! Avec 20 mil­lions de tonnes de capa­cité, seules 3,5 mil­lions de tonnes tra­ver­sent annuel­le­ment ce tunnel his­to­ri­que, dont on pour­rait encore amé­lio­rer les capa­ci­tés par la moder­ni­sa­tion du maté­riel rou­lant.

    Dans la pers­pec­tive de ce projet qui va coûter 30 mil­liards, le dou­ble­ment de la ligne entre Saint André le Gaz et Chambéry est tou­jours en attente.... il y a pour­tant une urgence de déve­lop­per ces trans­ports en commun du quo­ti­dien ! Ces dix der­niè­res années, sur la rocade de Chambéry, s’il passe jour­nel­le­ment 1000 camions de moins, ce sont 10 000 voi­tu­res sup­plé­men­tai­res qui emprun­tent quo­ti­dien­ne­ment cette VRU.

    Le film « Lyon Turin à tout prix » exa­mine les condi­tions qui ont pré­valu à la nais­sance à la fin des années 80 du projet de ligne nou­velle entre Lyon et Turin avec un tunnel de base de 57 km.

    Qu’en est-il en 2013, avant que la France et l’Italie ne se lan­cent défi­ni­ti­ve­ment dans la cons­truc­tion de ce projet qui détruira de nom­breux espa­ces natu­rels et agri­co­les ?

    Ne vau­drait-il pas mieux conti­nuer par la moder­ni­sa­tion du maté­riel rou­lant et réa­mé­na­ger la ligne à voie unique entre Lyon et Chambéry ?



  • Chermau 27 avril 2013 22:08

    Peut-on encore sac­ca­ger des cen­tai­nes d’hec­ta­res de zones humi­des, gas­piller des terres agri­co­les pour des pro­jets inu­ti­les comme le Lyon Turin qui va sup­pri­mer direc­te­ment 800 hec­ta­res de terres agri­co­les ? Et près du double avec les mesu­res com­pen­sa­toi­res zones humi­des ! ou siphon­ner selon les pré­vi­sions des cons­truc­teurs 25 à 30 mil­lions de mètres cubes d’eau pota­ble par an ?

    Le trans­fert modal des mar­chan­di­ses de la route vers le rail est pour la sau­ve­garde de l’envi­ron­ne­ment d’une extrême urgence, mais le projet fer­ro­viaire Lyon Turin ne serait en mesure de réa­li­ser cet objec­tif que dans 20 ans.

    Or avec les amé­na­ge­ments réa­li­sés entre 2007 et 2010 sur la ligne his­to­ri­que exis­tante, avec la mise au gaba­rit GB1 qui permet de mettre les camions sur les trains, la quasi tota­lité des 22 mil­lions de tonnes mar­chan­di­ses qui tra­ver­sent les Alpes du nord entre le tunnel du Mont Blanc, celui du du Fréjus et celles trans­por­tées par la ligne his­to­ri­que Dijon, Modane, Turin, pour­raient cir­cu­ler tout de suite sur la ligne his­to­ri­que actuelle. Seule la volonté poli­ti­que manque ! Avec 20 mil­lions de tonnes de capa­cité, seules 3,5 mil­lions de tonnes tra­ver­sent annuel­le­ment ce tunnel his­to­ri­que, dont on pour­rait encore amé­lio­rer les capa­ci­tés par la moder­ni­sa­tion du maté­riel rou­lant.

    Dans la pers­pec­tive de ce projet qui va coûter 30 mil­liards, le dou­ble­ment de la ligne entre Saint André le Gaz et Chambéry est tou­jours en attente.... il y a pour­tant une urgence de déve­lop­per ces trans­ports en commun du quo­ti­dien ! Ces dix der­niè­res années, sur la rocade de Chambéry, s’il passe jour­nel­le­ment 1000 camions de moins, ce sont 10 000 voi­tu­res sup­plé­men­tai­res qui emprun­tent quo­ti­dien­ne­ment cette VRU.

    Un film « Lyon Turin à tout prix » exa­mine les condi­tions qui ont pré­valu à la nais­sance à la fin des années 80 du projet de ligne nou­velle entre Lyon et Turin avec un tunnel de base de 57 km.

    Qu’en est-il en 2013, avant que la France et l’Italie ne se lan­cent défi­ni­ti­ve­ment dans la cons­truc­tion de ce projet qui détruira de nom­breux espa­ces natu­rels et agri­co­les ?

    Ne vau­drait-il pas mieux conti­nuer la moder­ni­sa­tion avec du maté­riel rou­lant et réa­mé­na­ger les lignes pas­sa­ger entre Lyon et Chambéry ?



  • Chermau 9 février 2013 07:25
    • Il ne faut pas prendre les vessies pour des lanternes ; Une animation décrivant le le principe de fonctionnement d’une rame, n’est pas le guide technique de construction de cette rame !
       


  • Chermau 8 février 2013 11:07
    • Un des prétexte les plus utilisé pour les projets inutiles est la création d’emploi, C’est évidemment celui qu’utilisent aussi les promoteurs de cette nouvelle infrastructure inutile ! mais ils oublient simplement que parmi les alternatives proposées, par les opposants il y a aussi de l’emploi parfois beaucoup plus durable. Ainsi la construction de rames R-shift-R, pourrait donner un second souffle à une industrie sinistré par les délocalisations et la crise. De plus une technologie innovante est en mesure de s’exporter !
    • Nos dirigeants qui prétendent que l’innovation est un facteur de développement, font preuve ici dans le Lyon Turin, d’un manque total d’imagination en construisant un projet dont les contraintes de la création d’une ligne nouvelles sont les mêmes que celle de l’époque des locomotives à vapeur, l’impératif des faibles pentes n’est plus aussi contraignant, ce que ferait R-shit-R, qui ppourrait utiliser la ligne historique, sans les contraintes actuelle des 4 locomotives.
    • Quand aux économies d’énergie invoquées, n’oublions pas que les moteurs électriques peuvent être réversibles, un train qui descend pourrait générer de l’électricité pour alimenter les convois qui montent...

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