Un lien sur un pdf de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) intitulé : Violences commises par les groupes ultranationalistes ukrainiens envers les personnes soupçonnées de séparatisme.
Extrait : Selon l’OSCE, « l’usage extensif de la torture et le
fait qu’elle soit pratiquée systématiquement prouvent que la torture
constitue une stratégie intentionnelle des dites institutions
[ukrainiennes] avec l’autorisation de leur commandement ». L’introduction du rapport résume les principales pratiques signalées :
« Les prisonniers étaient électrocutés, battus cruellement et
plusieurs jours d’affilée avec différents objets (barres de fer, battes
de base-ball, bâtons, crosses de fusil, lames de baïonnettes, matraques
en caoutchouc). Les techniques largement employées par les forces armées
et les forces de sécurité incluent le simulacre de noyade et la
strangulation avec un « garrot banderiste » ou par d’autres moyens. Dans
certains cas, dans un but d’intimidation, des prisonniers étaient
conduits sur un champ de mines ou des véhicules roulaient au-dessus
d’eux, pouvant entraîner leur mort. D’autres méthodes de torture
consistaient à briser les os [des prisonniers], frapper avec la pointe
ou le tranchant d’une lame, brûler avec des objets chauffés au rouge,
tirer des balles d’armes à feu. Des prisonniers étaient exposés pendant
plusieurs jours à des températures glaciales, privés de nourriture ou de
soins médicaux, et souvent contraints d’absorber des substances
psychotropes causant de vives douleurs. Une majorité absolue de
prisonniers a subi un simulacre d’exécution ainsi que des menaces de
tuer ou violer des membres de leur famille. »
Un lien sur un pdf de l’OFPRA (Office français de protection des réfugiés et apatrides) intitulé : Violences commises par les groupes ultranationalistes ukrainiens envers les personnes soupçonnées de séparatisme.
Extrait : Selon l’OSCE, « l’usage extensif de la torture et le fait qu’elle soit pratiquée systématiquement prouvent que la torture constitue une stratégie intentionnelle des dites institutions [ukrainiennes] avec l’autorisation de leur commandement ». L’introduction du rapport résume les principales pratiques signalées :
« Les prisonniers étaient électrocutés, battus cruellement et plusieurs jours d’affilée avec différents objets (barres de fer, battes de base-ball, bâtons, crosses de fusil, lames de baïonnettes, matraques en caoutchouc). Les techniques largement employées par les forces armées et les forces de sécurité incluent le simulacre de noyade et la strangulation avec un « garrot banderiste » ou par d’autres moyens. Dans certains cas, dans un but d’intimidation, des prisonniers étaient conduits sur un champ de mines ou des véhicules roulaient au-dessus d’eux, pouvant entraîner leur mort. D’autres méthodes de torture consistaient à briser les os [des prisonniers], frapper avec la pointe ou le tranchant d’une lame, brûler avec des objets chauffés au rouge, tirer des balles d’armes à feu. Des prisonniers étaient exposés pendant plusieurs jours à des températures glaciales, privés de nourriture ou de soins médicaux, et souvent contraints d’absorber des substances psychotropes causant de vives douleurs. Une majorité absolue de prisonniers a subi un simulacre d’exécution ainsi que des menaces de tuer ou violer des membres de leur famille. »
"Lorsque le virus infecte les cellules de l’organisme,
il s’y réplique, c’est-à-dire qu’il s’y multiplie. Il y donne naissance à
des copies de son génome, mais en recopiant son code génétique dans un
nouvel hôte, il commet parfois des erreurs.
Ces mutations sont d’autant plus nombreuses que le virus circule abondamment au sein de la population. Tout
ce qui est capable de réduire la circulation intense d’un virus est
susceptible de réduire l’apparition des variants. Et non l’inverse. La vaccination n’a donc en aucune manière conduit à l’apparition des variants identifiés à ce jour."