Les cimetières représentent nos origines, notre identité, la lecture de notre histoire. Depuis une trentaine d’années, ils sont l’objet d’exhumations, certains cimetières ressemblent à des champs de labour. Pendant que les collectivités publiques dépensent des sommes exhorbitantes pour la protection du patrimoine (fouilles archéologiques...) et la culture et que l’étalement urbain galope. Pourquoi n’existent-ils pas de politiques publiques pour la protection des cimetières. Apparemment, ce sujet n’intéresse ni les partis politiques ni le mouvement associatif. A qui profite ce scandale ?
Nous proposons aussi de limiter la retraite des fonctionnaires et assimilés aux fonctionnaires (y compris la retraite des élus) à 2 500 euros par mois.
Le financement des dépenses publiques uniquement par la TVA aurait en outre l’avantage d’être plus écologique puisqu’il inciterait à moins de dépenses de consommation et à plus d’autoproduction.
Nous proposons également l’établissement d’une liste de produits de base de première nécessité (farine, riz, lait, légumes, fruits…) auxquels un taux de TVA symbolique serait appliqué par exemple 1 % afin d’éviter toute exclusion fiscale.
Nous proposons aussi la limitation des écarts de rémunération notamment dans les collectivités publiques qui devraient donner l’exemple.
Il n’y a pas de solution parfaite. Mais la priorité est de trouver des solutions pour le redressement économique de notre pays.
Avec les 400 à 500 niches fiscales – leur nombre exact n’est pas connu - il est difficile de prouver que l’impôt sur le revenu est un impôt juste. Ces niches fiscales permettent sous certaines conditions de payer moins d’impôt ou d’éviter l’impôt. Frédéric Cazenave, dans un article paru dans Le Monde du 29 novembre dernier, démontre que gagner 60 000 euros par an et ne pas payer un centime d’impôt sur le revenu serait possible !