Jacques Flament

@L’enfoiré
Belges de tous bords, unissons-nous pour sauver la France ! 

@Pomme de Reinette
Je ne parlais pas pour moi, j’ai malheureusement le triste privilège d’être plus vieux que lui et avais déjà été éditeur en Belgique bien avant qu’il ne commence l’expérience de l’université populaire.

Quelques mots pour conclure cet article (ou lui redonner de l’élan) pour dissiper tout malentendu suite à sa lecture. Des mots qui méritent peut être d’être répétés si j’en juge par les débauches d’énergie à l’encontre d’Onfray.

Je voulais avec cette lettre surtout mettre l’accent sur l’homme-phare qu’il a été et qu’il reste pour cet auditoire qu’il appelle les gens du peuple, et qui depuis les débuts de l’université populaire s’est élargi à un plus large public. Ces gens qui n’ont peut-être pas eu les moyens ou la possibilité d’acquérir une culture classique ou universitaire, ces gens qui ont le courage d’essayer d’échapper aux chemins trop bien tracés de l’ignorance par les chemins de la connaissance plutôt que de suivre bêtement les âneries qu’on essaie de leur faire bouffer de façon très réfléchie dans les médias (je ne m’étendrai pas ici sur l’intérêt financier bien connu évident de garder le peuple dans l’ignorance via des médias généralistes abrutissants).

Il a surtout été et reste, pour moi et pour beaucoup d’autres, un générateur d’envie, de se cultiver, de s’élever par la lecture, les mots, l’écoute, d’assimiler des connaissances philosophiques ou autres (la palette des propositions s’étant fortement diversifiée depuis les débuts) et surtout accessibles au grand public, loin de l’hermétisme souvent de mise dans ces milieux.

Je ne parlerai pas de son analyse sur Freud, qui apparemment pose problème à certains, ne l’ayant pas lue et étant donc incapable d’y porter un jugement.

Je me rappelle par contre très bien de ses cours que j’écoutais en différé sur France Culture sur Thoreau, Emerson, Diogène, Démocrite, Nietzsche, sans oublier les utopies passées finement en revue et ses brillantes démonstrations pour un athéisme salvateur dans une époque où l’on tue à tour de bras au nom de Dieu.

Plus de dix ans de cursus libre et gratuit, qu’il a mis en place et qui ont demandé un boulot et une capacité de travail exceptionnelle pour être menés à terme et avec brio, un travail de titan d’un homme digne de respect et d’estime.

Et ce ne sont pas quelques phrases qui ont été mal interprétées et sur lesquelles il s’est d’ailleurs exprimé très clairement en démontant toutes les critiques de la meute qui peuvent remettre en cause le travail d’un homme passionnant et motivant.

@soi même

Monsieur,

Votre suffisance est totalement écoeurante et risque de vous étouffer si vous continuez à encombrer cet espace de libre expression de votre bile.

Vous faites partie de cette catégorie de gens qui ne trouvent du plaisir qu’à déverser leur humeur au sens glaireux du terme (et anonymement bien entendu) quel que soit l’interlocuteur en face de vous et quel que soit son propos, et dont la virulence est généralement inversément proportionnelle à leur capacité à faire et proposer quoi que ce soit. 

Vous êtes un nuisible, dans tous les sens du terme ! Point. 

Et je me surprends d’ailleurs à vous répondre car face à des individus comme vous, il n’est qu’une façon de résister, le silence, la bêtise crasse et non argumentée telle que vous la prodiguez n’appelant définitivement aucun commentaire. 

Evitez donc dorénavant de martyriser votre clavier, cela sera salutaire pour tout le monde.

@philippe baron-abrioux
Je dirais même plus… délectable, raffiné, tragique !