@baldis30 J’ai choisi de ne pas pas parler de l’expansion Prussienne et des idées de Napoléon III (et du XIXème siècle en général, post Premier Empire), de part la complexité des relations à ce moment la. Les convoitises conjuguées Austro-Allemandes étaient plus qu’antagonistes, il aurait fallu parler du rapport particulier de Napoléon III au catholicisme, qui lui a fait prendre beaucoup de pincettes (et de mauvaises décisions au final) pour allier politique intérieure et extérieure, et du lien particulier qui existait avec les Bourbons d’Espagne. Bref cela mériterait une encyclopédie. Mais en soit chaque période mérite son tome, c’est peut être un jugement hâtif de ma part ! En tous cas merci pour votre commentaire.
J’ai également volontairement décidé de ne pas traiter le IIIème Reich comme une forme de construction européenne, le but de l’article est de proposer une lecture un peu « historique » et millénaire de cette jeune Union ; je ne voulais pas brusquer totalement un lecteur europhile, en comparant l’Union Européenne à un phénomène à la fois très récent et catégoriquement abject. A mon sens, aborder cette période aurait été trop polémique par rapport à l’apport à l’idée générale qui est simplement de proposer cette lecture historique, bien que teinté d’un Euroscepticisme assumé.
@Alren ERRATUM et EXCUSES ! J’ai fait une (grosse) coquille, lourde de sens, qui vient s’ajouter à une phrase qui était peut claire à la base. « La CEE est composée originellement de 6 membres : La France, l’Italie, la RFA, la Belgique, les Pays-Bas, le Luxembourg. Ou l’on pourrait dire, avec une pointe de cynisme : La France, un pays n’étant pas une vraie nation se relevant à peine du fascisme, une moitié de pays se relevant du nazisme, un ancien département français, un pays de taille moyenne qui a toujours été charié par les grandes puissances, et un confetti. Peut-être envisageait-il la CEE comme étant la France et sa périphérie, ce qui aurait été cohérent alors. »
La France s’est glissé à la place de l’Italie. Le sens clarifié de la phrase est en fait : « L’italie, un pays n’étant pas une vraie nation se relevant à peine du fascisme, la RFA, une moitié de pays se relevant du nazisme, La Belgique un ancien département français, Les Pays-Bas un pays de taille moyenne qui a toujours été charié par les grandes puissances, et un confetti, Le Luxembourg. »
@dr.jambon-beurre Vous prêchez un convaincu, l’aspect démocratique de l’affaire est un aspect tellement dense que je n’ai pas voulu faire plus qu’effleurer le sujet dans la Tribune.