Ce qui est sur, c’est que cette polémique spécieuse lancée par des idéalistes est du pain béni pour le FN.
Rien ne tient dans les arguments qui nous ont présentés.
la jeune expulsée poursuivait des études en France mais y’a pas d’écoles au Kosovo ? En quoi est-ce un drame de retourner dans son pays après un séjour à l’étranger ?
Ah, la longueur du séjour, la jeune expulsée était en France depuis 5 ans et donc intégrée, ben ouais, mais qui est responsable de la longueur de la procédure pour répondre à la demande de statut de réfugiés des parents,
c’est pas les parents eux-mêmes et leurs défenseurs qui ont multiplié les recours, contesté toutes les décisions, cherché toutes les arguties et techniques juridiques possibles, pour retarder la décision finale ?
Donc il suffit que les clandestins aient des enfants scolarisés ou/et que leurs défenseurs prolongent les procédures suffisamment longtemps pour interdire toute reconduite à la frontière et on s’assoie sur la décision des juges.
Si la donne a changée c’est que la Russie a reconnu que le régime syrien posait problème avec les armes chimiques dont il dispose.
Si avec l’aval russes, ces stocks sont détruits, ce sera une punition pour le régime syrien quelques soient les arguties utilisées pour masquer la reculade de Poutine et de son vassal Assad.
Quant à la supposée efficacité de l’armée russe tout démontre qu’elle est encore loin d’inquiéter les occidentaux :
« Et ce n’est pas les Arabes qui l’ont chassé depuis 2000 ans de la Terre sainte, mais l’Histoire ou si vous voulez le Tribunal de l’Histoire. En d’autres termes l’Esprit de l’Histoire, selon la philosophie de Hegel. »
Un peu facile comme argument, vous ne trouvez pas ? L’histoire ne se fait pas toute seule, elle est faite par des hommes.
La conquête arabe et musulmane ferait elle partie du « grand plan de la providence » à l’instar des guerres napoléoniennes chères à Hegel ?
Tandis que la création de l’Etat d’Israel serait un raté de la marche glorieuse des peuples vers la raison ?
Quand devient-il obligatoire à l’enfant de jeûner et quelle est la limite d’âge ?
Réponse :
On ordonne à un enfant de prier quand il atteint l’âge de sept et le frappe pour l’accomplir à l’âge dix et cela lui devient obligatoire quand il atteint la puberté.