»Bonjour à tous, Je voudrais ajouter que c’est bien plus que cela il n’y a pas une France, il n’y a pas une Europe, mais des décisions planétaires, intouchables qui établissent le programme d’une éducation
sexuelle à partir de l’âge de 4 ans dans toutes les école publiques ? qui a
écrit, édité et commercialise les livres d’éducation sexuelle, ce ne sont pas
nos élus. Qui commande et choisit les livres ? Qui a dit que les enfants
n’appartenaient pas à leurs parents ? ? ?
NON, ce n’est pas la France qui commande parce qu’il y a trop peu
d’élus qui s’intéressent à la question de protéger nos enfants, de toute façon,
les autres auront la possibilité de choisir une école à leur choix. Mais pas
nous !
NON ce n’est pas l’Europe qui commande, mais une instance planétaire.
—> C’est l’OMS qui a établi un tableau
détaillé et gère la vie sexuelle de nos enfants : page 38 à 51 du document ci-dessous
OMS - Bureau Régional de l’ Europe
Nouvelles recommandations européennes
sur l’éducation sexuelle : selon les experts, l’éducation sexuelle devrait
commencer dès la naissance"
—> c’est l’UNESCO qui a publié :
" Principes directeurs
internationaux sur l’éducation sexuelle "Une approche factuelle à l’intention des
établissements scolaires, des enseignants et des professionnels de l’éducation
à la santé. Un document de 132 pages.
Malgré la décision du Conseil d’Etat, l’éducation
sexuelle, continue comme avant. Elle est effectuée sournoisement et à l’insu des parents.
Est-ce une démocratie que de faire une éducation sexuelle
aux enfants à partir de 4 ans sans avertir les parents, ni du programme, ni du
jour, ni de l’heure, et de dissimuler les livres par crainte de scandaliser les
parents ?
De toute façon, « Les enfants n’appartiennent pas
aux parents » selon Laurence Rossignol. (sans doute un lapsus, puisque apparemment elle serait revenue sur ses propos ! Révélateur ou pas ? that is the question !
Bonjour Sandra et merci de votre réponse. Votre blog n’est pas un blog, C’EST UN LIVRE TRES APPROFONDI. C’est un travail de titan à la hauteur de votre motivation associative, celle de « construire un monde meilleur ». Je me sens vraiment petit à coté de vous, moi je ne fait qu’un travail de fourmi. Personnellement je n’ai pas été hospitalisé comme vous, mais d’autres, tout autant malade que moi, même avec des TS en moins, ont subi l’hospitalisation. Leurs souvenirs de l’hospitalisation demeure souvent très pénible à supporter.. De toute façon entre une tentative suicidaire avec une violence sur soi, et une anorexie avec le désir de mourir, je ne vois pas à priori, une grand différence dans l’absence du goût de vivre, et surtout la grande souffrance insurmontable qui nous envahit. A cette époque là, mes yeux ne voyait pas un chemin de vie possible dans mon existence. J’avais été détruit. Plus rien ne me semblait possible parce qu’il me manquait une étincelle d’amour autour de moi. J’ai eu la chance de faire des rencontres constructives parce que humaines et avec le mot juste pour me permettre d’avoir ensuite le désir de vivre, et donc la décision de guérir. Sans cela, rien ne me semble possible. J’ai toujours en mémoire un médecin généraliste et une responsable associative qui l’un tout autant que l’autre ont su m’accueillir avec bienveillance alors que je les ai rencontré pour la première fois. Mes amis n’étaient plus là. j’étais seul dans la vie. Psychologiquement seul. Ce sont des inconnus qui ont su me sourire et m’accueillir. un petit signe de la main, un sourire en font bien plus qu’un grand discours quant il n’y a rien à dire.
Sandra, au vu de votre blog, j’ai senti le besoin de partager ce qui me semble avoir pu être des points communs.
Je suis désolé, mais si vous ’avez pas pu atteindre mon site, c’est parce que j’ai fait une faute d’orthographe. J’ai oublié la lettre « S » dans le mot CONSTRUIRE Le voici donc à nouveau
http://construire-mon-bonheur.fr
et l’explication du titre c’est tout simplement parce que « construire mon bonheur, c’est protéger ma santé ».
Si j’avais pris soin de construire mon bonheur, dire non aux manipulateurs et aux emmerdeurs.
Si j’avais choisi mes amis et pensé un peu plus à moi, Si je m’étais connu dans mon être intérieur,
développé mon estime de soi et ma confiance en moi
et surtout cherché à construire mon bonheur, Je n’aurai pas vécu tout cela, avec le risque de ne plus être.
@ Claire29 Merci de votre commentaire. Vous dites : « Les - anges médecins - vous ont été d’un grand secours mais c’est en
vous que vous avez trouvé tout le courage et toute la force qu’il a
fallu pour vous en sortir, pour retrouver la joie de vivre et l’envie
d’aider des personnes qui souffrent de troubles alimentaires. »
Je vous réponds, que c’est vrai. TOTALEMENT
VRAI, mais incomplet, il y MANQUE l’étincelle, ce petit rien sans laquelle aucune
vie humaine ne peut venir sur terre, cette chose indispensable à toute guérison
psychique. C’est mon arme pour accompagner les personnes en troubles psy avec le
désir suicidaire, c’est le sens de la vie. « Toute naissance humaine est
née de l’amour, et il en est de même, aucune renaissance ne peut se faire sans
l’amour. » Ceci est ma conception, et cela fonctionne bien. Bien sûr il y
a une technique d’écoute et d’accompagnement et des formations que j’ai suivi, bien sûr j’ai appris à me protéger, bien
sûr j’invite la personne à une individuation, et à puiser dans ses ressources
intérieures, mais le point de départ c’est une écoute attentionnée, c’est de l’empathie,
c’est de l’amitié, c’est donner l’étincelle qui va faire démarrer le désir de
guérir. C’est la chose invisible et subtile, c’est la chose la plus importante,
sans quoi la vie humaine ne peut exister. Je m’adapte à chacun pour lui
transmettre un petit peu de chaleur humaine sous une forme compatible à son
attente. En un mot c’est l’amour. Et il m’est arrivé une fois, pour un accompagnement
anonyme au téléphone, que l’on m’ait rappelé pour me dire plus tard : «
Un Mars et ça repart ». Le « Mars » en question c’était tout
simplement une étincelle d’amour pour ranimer la flamme de la vie.
Pour une renaissance il faut quelqu’un d’autre, capable d’écouter et aimer.
Je ne fais pas grand-chose, je ne fais que donner ce que j’ai reçu en des
circonstances similaires. Je ne suis que le facteur celui qui transmet. Et c’est ainsi que la vie continue et que peut se
construire le bonheur. Construire le bonheur, parce que le bonheur c’est protéger ma
santé.
MERCI à
SABRINA, je suppose que lorsque vous parlez des « anges médecins », c’est
ce dont vous parlez. En tout cas, ceci est ma conception d’accompagner les
personnes dans mes responsabilités associatives. Sabrina je veux bien vous en
dire plus si je peux communiquer en privé. Merci SABRINA de votre réponse sur
mon site www.contruire-mon-bonheur.fr
Bonjour et Merci à Le Gaïagénaire pour ce commentaire
fort bien documenté. Effectivement, chaque enfant traîne « les casseroles »
des souffrances de son enfance, et celles des erreurs d’éducation des
générations précédentes. Cependant dans la vie avec un minimum d’amour, l’enfant
est capable de « résilience » selon la célèbre expression de Boris
Cyrulnik. Nous avons tous un trésor intérieur une source de vie, une capacité
de rebondir face aux difficultés de la vie. Ceci étant, j’aurai l’occasion d’aborder partiellement
ce sujet dans le prochain module celui de la « CONNAISSANCE DE SOI ».
Vous en trouverez le programme sur mon site internet.
Oui, de même que le poisson est dans l’eau et s’en
imprègne pour vivre, l’enfant est dans une ambiance familiale et sociétale et
se construit avec ce qu’il voit, ce qu’il entend, et aussi avec ce qu’il « respire ».
J’évoque ici, par le mot « respire » la capacité par son intuition d’enfant,
de prendre conscience de choses qui sont vécues dans son entourage, des choses
qu’il ne voit pas mais qu’il ressent. Des choses qui vont le construire ou le
conditionner. N’oublions pas que le non-dit dépasse souvent les frontières du
soi-disant secret gardé.
En essayant d’être objectif, j’ai l’impression qu’aujourd’hui,
on parle plus souvent qu’il y a 30 ou 40 ans de l’éducation des enfants, il y a
des livres et vous en avez cités quelques-uns que j’apprécie, il y a des pages éducation,
des pages psychologies, des pages vie à deux, des pages main-tendue dans des
journaux féminins. Ces articles en questions sont également lus par les hommes.
Ces journaux il y en de plus en plus. Il y a aussi aujourd’hui internet pour
ces mêmes sujets. Ceci serait donc une avancée positive. Par contre, sur la même période notre société
est de plus en plus dans la décrépitude, pour ne pas dire dans la décadence,
avec à tous les niveaux bien plus qu’un simple manque de respect, je dirai une absence
totale de respect, et de plus en plus une violence destructrice.
Vous évoquez, une éducation des filles à l’école : « Elles
prendront ainsi conscience de leurs émotions refoulées et ne seront plus
sujettes à la compulsion de répétition de l’exercice du pouvoir » Pour ma part je pense que les garçons aussi auraient
également besoin d’une éducation pour un mieux vivre ensemble. Je suis désolé,
mais j’émets des doutes sur la possibilité d’officialiser une formation
indépendante des enseignants, quand je vois aujourd’hui que le programme
ABCD de l’égalité a été initié, et continue d’être manipulé par une association
dont les buts et les objectifs n’ont pas encore été clairement exprimés aux
parents concernés. Je vous invite à consulter la décision du Conseil d’Etat à
ce sujet à http://www.theoriedugenre.fr/?Victoire-Le-Conseil-d-Etat-annule