Bonjour,
Notre Ségolène manie des idées, des mots, des « concepts » sans en préciser le contenu, les moyens des actions, ce qui se nomme la langue de bois.
Dans le dernier C Politique, elle est « partie en guerre » contre les marchés financiers, les banques, les profits, les rémunérations indécentes, mais sans jamais aborder les moyens qu’elle veut utiliser pour y parvenir.
Pas un mot sur un Glass-Steagall Act pour les banques, ni un Bretton-Woods, ni de moyens de lutte contre les paradis fiscaux, sur une régulation des marchés financiers...
Donc de belles paroles et beaucoup de vent.
De même pour la règle d’or, pas d« information sur son mode de calcul, taux, assiette, etc...
A-t-elle connaissance comment a été déterniné le taux de 3% dans le traité de Maastricht ?
L’explication simple se trouve ci-dessous :
»En juin 1981, alors qu’il était chargé de mission à la Direction du Budget du ministère des Finances, l’économiste Guy Abeille raconte avoir été mandaté avec son chef de bureau de l’époque Roland de Villepin d’établir un critère économique utilisable par le Président Mitterrand dans ses discours. Faute de mieux, Abeille et Villepin proposent alors ce critère relativement simple basé sur un ratio déficit/PIB qui, du propre aveu d’Abeille, « ne mesure rien » et sur une norme (3%) qui « n’a pas d’autre fondement que celui des circonstances » (le déficit budgétaire de l’époque atteint déjà presque 2% du PIB)."
Et vous voulez toujours avoir confiance en eux ?
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