Il me semble, a tort peut être, que la notion de RECONNAISSANCE de l’abus deviens prépondérante une fois que le temps à passé. ça n’est plus tant la condamnation du coupable que la reconnaissance en place publique de sa souffrance que recherche la victime.
Personnellement, une fois que le temps a passé... je dissocierai volontiers, la reconnaissance de la souffrance et de la faute... de la necessité de la condamnation.
Actuellement, un proces d’assise, ne fait AUCUN distinguo. Il ferait même la part belle à la condamnation. Et la portion congrue à la douleur de la victime.
Apres 20 ans ? Est ce la condamnation de son violeur dont a besoin la victime ? Ou bien est ce la simple reconnaissance de la faute et de la souffrance qui en a résulté ?
Finalement, ça n’est pas à moi de répondre à cela, c’est à la victime !
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