Disons aussi qu’entre les intentions louables affichées, et les résultats moins louables, il y a souvent un gouffre. N’est-ce pas sous Mitterrand que furent signés la majeure partie des accords de libre-échange contemporains ?
Il faut soigneusement distinguer ce qui est du bien particulier et ce qui est du bien commun. Quand le libéralisme donne trop au bien particulier et cherche à tout privatiser, le socialisme donne trop au bien commun et cherche à tout socialiser.
Ces deux postures aboutissent à une restriction des libertés. Pour le libéralisme, c’est la liberté laissée aux riches qui fait qu’ils vont entraver nos vies. Pour le socialisme, c’est la non-reconnaissance des biens particuliers, qui légitime le vol et le non-respect des personnes par un état tyrannique.
De plus, la gauche transporte, à coté de ces louables intentions, tout un fatras idéologique qui n’a rien à y faire et qui ambitionne de créer un « homme nouveau », ce que personne ne lui a jamais demandé.
Il y a d’autre doctrines, classées à droite, tel le christianisme, qui conçoivent l’égalité, la solidarité, la justice, la charité.
On peut dire que le socialisme est un demi-christianisme qui refuse Dieu.
Or ou Dieu n’est pas, il y a Satan.
Qu’on croit en Dieu ou pas, il est clair que l’URSS ressemblait un petit peu à l’enfer. Allez savoir pourquoi, les Russes, épuisés par le communisme et le court intermède libéral, s’en sont remis à un régime autoritaire puis se sont réconciliés avec leur foi chrétienne orthodoxe.
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