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chtio 9 février 2012 19:56

mon avis sur le lien : quel ramassis de conneries pseudo-psy, de mauvais raccourcis, de stéréotypes, de mauvaises relations de causes à effets, etc. Digne d’un article CareVox. Comme « d’où le sentiment chez les homosexuels que les femmes sont tellement gourde et d’où également des sentiments misogynes »... quelle connerie !
Il serait trop long d’expliquer des années d’observations, de « contemplations », d’interrogations perso car ma plume est faible hélas (sans connotation smiley et que je me sens plein de fainéantise aussi smiley mais, bon... manque énorme d’affection dans mon enfance ; mis en face de certaines réalités trop tôt ; mère castratrice ; père souvent violent, « diabolisé » et absent de l’éducation ; pas de doudou, pas de peluche,pas de jouet « artificiel » ; je pensais au suicide vers 9/10 ans, etc... On ne choisit pas ses préférences sexuelles, elles s’imposent ; c’est seulement bien plus tard qu’on peut se les expliquer, et encore. Je ne nie donc pas le lien entre traumatisme dans l’enfance et orientation sexuelle mais je me demande souvent si la linéarité de cause à effet est juste... comme si ces trauma étaient vu comme des trauma justement parce que je suis comme ça ? car si tous ceux qui n’ont pas une enfance heureuse deviennent homo je ne serais pas célibataire à l’heure qu’il est smiley Je pense que c’est la pression sociale, la dichotomie radicale hétéro/homo qui pose problème ; elle est récente et n’existait pas dans l’antiquité. Perso, quand j’aime et bien, j’aime, tout simplement.
Pour revenir à l’article, l’art est un moyen de sublimation, un acte de résilience aussi.


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